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Vos questions / nos réponsesBonjour,
Depuis un an et demi, mon fils se drogue, au début avec du cannabis, ensuite cocaïne, et crack.
il a perdu son travail, sa compagne son fils etc...
il s est retrouvé à la rue, plusieurs fois, il a détruit 2 voitures la sienne et celle de son père,. Il a perdu tout ses papiers, sans compter les amendes qu il a eu.
Enfin depuis là, nous vivons une descente aux enfers.
Tant moralement que financièrement.
Il se fait suivre dans un centre ,et nous également, mais il y a des rechutes ,je me dis qu'il n arrivera jamais à s en sortir.
il ment, s est un pro pour ça. je ne le crois plus.
et il y a des jours où j ai envie d y croire.
avez-vous vécu une telle situation et y a t il des solutions. ?
moi je fatigue psychologiquement et physiquement.
vous remerciant pour vos retour.
Mon fils se drogue il a 43 ans depuis 5 ans entre hospitalisation sevrage posture traitement, la drogue a pris le dessus dans sa vie je là pour le réconforter je me suis ruinée à lui donner de l'argent et là je suis détruite je ne crois plus a rien ni au docteur qui me promette une hospitalisation assez rapidement il fréquente beaucoup de droguer et partage de la drogue il ne travaille plus ne mange plus ne sors plus de chez lui ,c'est une descente eux enfers pour lui et pour moi j'ai essayé de raisonner de l emmener voir des professionnels mais envain il continue il va devenir sûrement clochard pour moi c'est l enfer qui commence.
Malheureusement, le retour à une vie normale ne ressurgir que par la personne qui s’en ai éloignée, les proches doivent impérativement se préserver de la perte de vitalité subie par l’usager, car il y a un effet de vase communicant…Le déni n’est pas une solution ni les décisions radicales, il faut juste trouver la solution qui lui permettra d’avoir une bonne résolution pour sa vie future en gros un déclic, pour cela utilisez sa memoire post consommation afin qu’il puisse considérer par lui même les dégâts causés à lui et à vous. Travailler sur ses fréquentations et ses environnements. Supprimer toutes verbalisation de jugements, car c’est une maladie pas un vice. Partager les périodes de tensions si possible, restez positif en chassant cette nuée toxique, voir un professionnel en addictologie, Csapa, Les AA ou NA aident souvent plus que l’on imagine, je vous souhaite de trouver beaucoup de courage…Timo
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