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Des dérivés du fentanyl classés comme stupéfiants
arrêté du 5 septembre 2017, des substances dérivées du fentanyl ont été ajoutées à la liste des stupéfiants. Il est désormais interdit de faire usage, détenir, produire, vendre, échanger, importer ou transporter ces substances. Le fentanyl, produit de la même famille que l’héroïne, est l’un des opiacés les plus puissants qui existe. Il est utilisé en médecine pour son fort pouvoir antidouleur. Depuis de nombreuses années il fait l’objet d’une surveillance sanitaire pour son risque d’abus, de dépendance et d’overdose. Il fait partie des substances classées comme stupéfiant. Dans la période récente et suite à la crise des opiacés qui frappe l’Amérique du nord, des dérivés synthétiques du fentanyl sont apparus sur le marché noir des drogues. Ces dérivés sont à l’origine d’une recrudescence des overdoses et des décès liés aux drogues. Leur apparition sur le marché européen a donc conduit les autorités sanitaires à ajouter ces...
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Techno Parade : repérer ceux qui vous aident à passer un bon défilé
Réduction des risques L’association Fêtez Clair, qui intervient en milieu festif depuis de nombreuses années, est partenaire de la TechnoParade. Ses bénévoles, reconnaissables à leur tee-shirt au logo de l’association, peuvent vous distribuer du matériel d’information et de réduction des risques. Ils peuvent également répondre à vos questions, notamment concernant la consommation de drogues. 23% d'accidents mortels impliquent un conducteur positif aux stupéfiantsFaire une pause dans sa consommation de drogue : un bon moyen de se tester
lancement de « moi(s) sans tabac » pour faire le test. Moi(s) sans tabac Moi(s) sans tabac propose aux fumeurs d’arrêter de fumer pendant 30 jours au mois de novembre. Cette année le thème est « on arrête ensemble et en équipe ». Arrêter 30 jours favorise la prise de conscience de sa dépendance et des bénéfices de l’arrêt. Arrêter en équipe aide à renforcer la décision et à recevoir du soutien en cas de difficulté. Ce principe peut être appliqué à l’usage des drogues récréatives (cannabis, cocaïne, speed, ecstasy, nouvelles drogues de synthèse…) pour tester si, comme on le pense, on peut vraiment les arrêter « quand on veut ». Faire une pause, faire le point Décider de faire une pause dans sa consommation de drogue...
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Overdose d’opiacés : l’importance d’appeler les secours
La naloxone a une durée d’action limitée L’administration de naloxone permet de contrecarrer rapidement les effets des opiacés mais son temps d’action est court. Ses effets commencent à s’estomper au bout de 20 minutes et il est toujours possible qu’un usager présente de nouveau une dépression respiratoire lorsque la naloxone cesse d’agir. Les secours pour sécuriser la situation Appeler les secours permet d’apporter les soins d’urgence nécessaires au patient et de le mettre ensuite sous surveillance médicale. Cette surveillance permet d’agir en cas...
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Les consommations régulières de cannabis chez les lycéens sont stables
Moins d’expérimentation et d’usages occasionnels Entre 2011 et 2015, le nombre de lycéens ayant essayé au moins une fois le cannabis a diminué, passant de 48,6 à 44%. Les usages occasionnels, mesurés par l’usage dans l’année et l’usage dans le mois, diminuent également : de 40,5 à 35,9% pour l’usage dans l’année, de 26,9 à 22,6% pour l’usage dans le mois. Les « années lycées » sont propices à l’expérimentation Les chiffres précédents ne doivent pas masquer que c’est au lycée que l’expérimentation du cannabis fait un bond, passant de 34,8% en seconde à 54% à la fin...
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Ouverture de la première salle de consommation à moindre risque
Des objectifs bien définis Elle est destinée à recevoir des usagers de drogues pratiquant l’injection, dans l’objectif de :
leur offrir un espace sanitaire protégé afin de contribuer à réduire les risques de décès, de maladies et d’infections
permettre aux usagers en situation de précarité d’entrer en contact avec des professionnels
contribuer à améliorer le cadre de vie des riverains en réduisant l’usage de drogues et la présence de seringues dans les espaces publics
Un parcours organisé Disposant d’une entrée distincte de l’hôpital, elle ouvre 7 jours/7, de 13h30 à 20h30. Dans la cour, les usagers peuvent récupérer du matériel stérile d’injection, dans le cadre du programme d’échange de seringues....
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Webdoc : la réduction des risques à l'honneur
A consommer avec modération ? » est constitué de plusieurs chapitres qui interrogent aussi bien le rapport de la société avec les drogues, les raisons et principes de la réduction des risques, les salles de consommation à moindre risque, la notion de drogue, les recours des usagers pour être aidés, l’addiction et ses mécanismes et d’autres encore. Pour chaque chapitre des spécialistes sont interviewés, des usagers de drogues témoignent, des capsules vidéos et des liens pour en savoir plus sont proposés.
Un excellent support pour comprendre les usages de drogue dans notre société et la réduction des risques.
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Parents : l'importance de fixer des règles clairesEn savoir plus : Écoutez d'abord : information pour les parents Articles en lien : Comment parler...
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Partir en vacances en France avec un traitement de substitution aux opiacés
ici. Cas 1 : Vous partez pour une durée inférieure à la durée de délivrance de votre traitement Munissez-vous simplement de votre ordonnance et de votre traitement. Cas 2 : Votre séjour dure plus longtemps que votre durée de délivrance mais moins longtemps que la durée maximale de prescription Vous devez trouver, avant de partir, une pharmacie-relais ou un CSAPA délivrant des traitements de substitution (voir champ de recherche en bas de page). Votre médecin prescripteur vous délivre une ordonnance couvrant la durée du séjour en indiquant l’adresse de la pharmacie-relais ou du CSAPA. Cas 3 : Votre séjour dure plus longtemps que la...
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Journée mondiale de la santé : le temps de faire le point sur ses consommations
Consultations jeunes consommateurs permettent d’aborder toutes les situations de consommation et de faire le point en quelques entretiens confidentiels. Pour les adultes et les usagers cherchant une prise en charge médicale, les Centres de Soins, d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie (CSAPA) permettent de faire le point sur ses consommations. Les professionnels des CSAPA aident les usagers en toute confidentialité à construire et mettre en œuvre leurs projets de diminution ou d’arrêt d’une drogue. Chaque personne peut bénéficier d’un accompagnement médical, social et psychologique en ambulatoire sur le...
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Cannabis : les adolescents en ont une image positive
Un produit jugé « meilleur » que les autres Pour les adolescents de 13 à 18 ans, le cannabis tient ses promesses, surtout lorsqu’ils le comparent aux drogues légales. Il procure du plaisir et ils jugent qu’il a bon goût, ce qui n’est pas le cas du tabac. L’adhésion au cannabis tient au produit lui-même mais aussi à la dimension sociale de s’initier ensemble à sa consommation, qui renforce les liens entre eux. Il est vu comme une « drogue douce » en opposition aux « drogues normales » et on lui prête des vertus thérapeutiques. C’est la forme « herbe » du cannabis, jugée plus saine, qui est préférée à la résine, contenant trop de produits de coupage. Les effets négatifs du cannabis minimisés En consommant du cannabis et en...
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Les nouveautés en réduction des risques et des dommages
article consacré à la réduction des risques pour tenir compte des dernières évolutions :
Depuis fin 2016, deux salles de consommation à moindre risque ont été ouvertes à titre expérimental pour une durée de 6 ans. Elles accueillent les usagers de drogues injectables les plus précarisés
Depuis janvier 2018, un antidote aux overdoses d’opiacés, le Nalscue®, peut être délivré par les CAARUD (Centres d’Accueil et d’Accompagnement à la Réduction des risques liés à l’Usage des Drogues).
Ces évolutions reflètent la reconnaissance par la loi d’un élargissement du champ d’action de la réduction des risques. La réduction des dommages liés aux usages de drogues est devenue un objectif en soi, au même titre que l’objectif de diminution des contaminations qui avait permis la reconnaissance de la réduction des risques en France. A lire : La réduction des risques Articles en...
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Dico des drogues : mise à jour de la fiche sur le protoxyde d’azote
Dico des drogues.
La section « risques et complications » apporte de nouvelles informations sur les risques neurologiques associés à l’usage régulier et intensif de ce gaz. En effet, cet usage entraîne des carences en vitamines B12 qui affectent le fonctionnement de la moelle osseuse. Une succession de troubles neurologiques peuvent en découler, comme par exemple des fourmillements aux extrémités (doigts, orteils), des difficultés pour se déplacer ou des décharges électriques dans la nuque.
Découvrez-en plus en consultant la fiche « Protoxyde d’azote » du Dico des Drogues.
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Usage intensif de cannabis et syndrome cannabinoïde
fiche cannabis du dico des drogues afin de rendre compte d’un syndrome peu connu lié à l’usage intensif régulier de cannabis.
Le « syndrome d’hyperémèse cannabinoïde » ou « syndrome cannabinoïde » n’est soulagé que par des douches très chaudes et ne disparaît qu’avec l’arrêt total du cannabis. Il est caractérisé par des vomissements fréquents et incontrôlables, des nausées intenses, des douleurs abdominales et parfois de la fièvre. Il est précédé de signes avant-coureurs comme les nausées matinales, le manque d’appétit et des vomissements occasionnels. Il est conseillé aux usagers qui connaissent de tels symptômes avant-coureurs de lever le pied sur leur consommation.
Articles en lien :
Est-il possible d’arrêter seul le cannabis ?
La consommation de cannabis des Français (23/06/2017)
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Femmes usagères de drogues : commencer à en parler
personne ne sait, elles n'osent pas en parler" et la demande d'aide, l'entrée dans le soin sont tardives.
Pour dépasser les réticences imposées par cette stigmatisation il est possible d'en parler avec des pairs de façon anonyme. L'entraide est un moteur pour dépasser la honte. depuis sa création, Drogues info service propose ainsi un forum pour les consommateurs qui permet de commencer à parler en toute sécurité. C'est un premier pas vers un mieux-être.
Articles en lien
Personne ne sait, je n'ose en parler
Je souhaite me faire aider
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Les usages d'antidouleurs sous surveillance
site Internet. Alors que la généralisation des antalgiques opioïdes a plongé les Etats-Unis dans une véritable « crise des opiacés » qui a fait près de 64 000 morts en 2016, la France n’est pas à l’abri d’un phénomène similaire. Toutes proportions gardées, une augmentation des overdoses d’opiacés a par exemple été constatée ces dernières années en France. L’ambition de l’OFMA, emmenée par le professeur Nicolas Authier du CHU de Clermont Auvergne, est ainsi de surveiller, d’informer et de comprendre les usages de ces antalgiques. L’objectif est de prévenir les dérives, repérer les phénomènes émergents de mauvais usages et maintenir un accès pertinent à ces médicaments. Le site de l’OFMA est un site ressource aussi bien pour...
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Que sait-on des drogues collectées par SINTES en 2016 ?
72% de ceux-ci contenaient le produit que l’usager pensait avoir acheté. Dans 4% des cas la substance recherchée était associée à une autre. Dans 16% il s’agissait d’une autre substance et enfin dans 8% des cas, le produit ne contenait aucune trace de substance psychoactive. Les produits classiques sont les plus collectés...
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Participez à l'évaluation d'une nouvelle aide à l'arrêt du tabac
étude nationale peut vous aider face à votre consommation.
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Etudiants : répondez à un questionnaire sur vos conditions de vie et vos consommations
Un questionnaire d’auto-évaluation en ligne est proposé à tous les étudiants français majeurs. Anonyme et sécurisé, il vous faut moins de 15 minutes pour répondre aux différentes questions.
Les questions portent sur vos conditions de vie et votre état de santé, sur votre recours aux médicaments et vos consommations de produits psychoactifs.
Ce questionnaire entre dans le cadre d’une recherche menée par le Centre d’Evaluation et d’Information sur la Pharmacodépendance – Addictovigilance (CEIP-A) des régions Ile-de-France – Centre Val de Loire. Il fera l’objet d’un rapport final et de communications scientifiques. Les résultats seront disponibles fin 2018 et vous pourrez les consulter sur le site du CEIP-A : http://addictovigilance.aphp.fr
Merci, par votre réponse à ce questionnaire, d’aider la recherche à avancer !
Questionnaire « Santé et conditions de vie des étudiants »
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Les Festivals d'été : culture, évasion et responsabilité
Identifiez les lieux de repos et d’assistance Un festival bien organisé n’a pas que des scènes et des lieux de vente de boissons. Essayez de repérer où se trouve le poste de secours, s’il y a des stands tenus par des associations de réduction des dommages, où sont les zones de « chill out ». Les associations distribuent du matériel et des informations vous permettant de limiter les risques liés à un usage de drogue ou d’alcool. Les volontaires discuteront volontiers avec vous pour répondre à vos questions. En cas de « bad trip » ou de malaise ils pourront vous accueillir en zone « chill-out » et...
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L'ordonnance du médecin obligatoire pour les médicaments à la codéine Hépatites : se faire dépister pour se protéger
Faire un dépistage et se protéger Les usagers de drogues sont particulièrement exposés au risque d’être contaminés par le Virus de l’Hépatite C (VHC). En France, 44% des usagers de drogues sont touchés par le VHC et ce taux s’élève à 65% chez les personnes qui consomment de la drogue par injection (1). Les usages de drogues par injection ou par sniff peuvent être des portes d’entrée des virus de l’hépatite B ou C. Tout partage de matériel (« coton », seringue, paille, cuiller…) souillé par du sang est une prise de risque importante. L’existence de traitements efficaces et la gratuité des dépistages doivent inciter chaque personne ayant un usage de drogue par injection ou sniff à se faire dépister. Connaître son statut sérologique permet d’entamer des démarches...
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NBOMe : une substance peu connue mais dangereuse
Une « nouvelle » drogue illégale Le NBOMe est une drogue hallucinogène qui fait partie de la vague des « nouvelles substances psychoactives » créées depuis quelques années pour contourner les lois. Cette substance et ses dérivés n’est cependant plus ni tout à fait nouvelle ni légale : elle a été classée parmi les stupéfiants en 2015. Elle est souvent présentée comme un substitut du LSD. Elle a été parfois vendue sous le nom de « mescaline synthétique ». Elle existe sous différentes formes : poudre blanche, liquide ou buvards imprégnés. Pourquoi est-elle dangereuse ? De nombreux cas d’intoxication au NBOMe ont été rapportés en Europe dont plusieurs mortels (2). Les dangers de cette substance tiennent à plusieurs facteurs. Tout d’abord elle a une...
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La prévention des overdoses en France
rapport sur les drogues 2017, une hausse des décès par surdose, liée principalement à la prise d’opiacés. Ne consommez pas seul En cas de surdose, la présence de tiers peut sauver. Les proches peuvent repérer les premiers signes d’overdose, alerter les services d’urgence (112) et prodiguer les gestes de premiers secours. Les services d’urgence sont soumis au secret médical. Un spray qui sauve Les usagers d’opiacés peuvent se voir prescrire un spray à base de naloxone, antidote de l’overdose d’opiacés (héroïne, morphine…). Ce spray nasal est à utiliser dès les premiers signes en attendant les secours. Le spray est disponible dans les CSAPA (Centres de soin,...
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Canicule : attention à l'usage de certaines drogues
Stimulants et opiacés L’Agence nationale de sécurité du médicament (Ansm) informe que les médicaments qui augmentent la présence de sérotonine dans le cerveau favorisent l’hyperthermie ou empêchent le corps de se refroidir (1). C’est le cas de plusieurs familles d’antidépresseurs mais c’est aussi le cas de l’ecstasy (MDMA), de la cocaïne, des amphétamines. D’autres substances psychotropes, notamment les neuroleptiques et certains opiacés (tramadol, dextrométhorphane) peuvent également favoriser le « coup de chaud ». Le coup de chaleur : une urgence Le coup de chaleur se manifeste pas des crampes, une fatigue inhabituelle, des maux de tête, des vertiges ou nausées voire des propos incohérents. Si une personne fait un malaise suite à un coup de la chaleur...
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Consommer à moindre risque
Je consomme à moindre risque ».
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La consommation de cannabis des Français
Tendances ( n°119). En 2016 17 millions de Français entre 18 et 64 ans (42%) ont expérimenté le cannabis au moins une fois dans leur vie. 5 millions de Français (11%) en ont consommé dans l’année. 1,4 millions au moins 10 fois dans le mois et 700 000 en consomment tous les jours. Les consommations se stabilisent Il n’y a pas d’évolution notable des consommations entre 2014 et 2016. En revanche les niveaux de consommation sont bien supérieurs à ceux qui existaient dans les années 90, marquant ainsi la progression de la diffusion du cannabis en France. La consommation de cannabis est un « phénomène générationnel ». Le plus gros de la consommation concerne les 15-34 ans. 28% des 18-25 ans ont fait usage...
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Une vidéo pour les parents : usages de drogues chez les ados
Stupéfiante addiction
Articles en lien :
Comment parler des drogues à mon enfant ?
J’ai découvert que mon enfant se drogue
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Chemsex : une ligne d'appel pour les consommateurs de drogues en contexte sexuel
Info Chemsex (by AIDES) ». Chaque personne contactant le dispositif aura un interlocuteur formé aux problématiques du Chemsex. Les réponses sont immédiates ou données au maximum dans les 6 heures après avoir laissé un message. Attention, cette ligne ne traite pas les urgences vitales. En...
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Héroïne : alerte sur des cas d'overdose en Seine-Saint-Denis
L’Agence Régionale de Santé d’Ile-de-France et le Centre d’Evaluation et d’Information sur la Pharmacodépendance – Addictovigilance d’Ile-de-France-Centre ont eu connaissance de 3 cas d’overdose d’héroïne survenus le 20 juillet à Aulnay-sous-Bois. Ces cas laissent suspecter la circulation d’héroïne fortement dosée ou frelatée actuellement en Seine-Saint-Denis. Les usagers d’héroïne sont appelés à la plus grande vigilance. Voici des conseils de réduction de risque à l’attention des usagers :
Ne consommez pas seul
Commencez à consommer une faible dose, surtout lors d’un nouvel achat
Favorisez le « sniff » plutôt que l’injection ou la voie fumée
Evitez les mélanges avec d’autres produits favorisant les détresses respiratoires (benzodiazépines, alcool, autres opiacés)
Appelez les urgences (15 ou 18 ou 112) en cas de suspicion d’overdose
Demandez préventivement un spray nasal à base de naloxone (Nasclue®) à un centre de soins spécialisé dans les addictions
Les trois overdoses sont survenues indépendamment les unes des...
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La substitution aux opiacés : qu'est-ce que c'est ?
Infographie sur la place du Subutex et de la méthadone dans le problème de la toxicomanie
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Vivre avec la substitution
J’ai envie d’arrêter mon traitement de substitution
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Prévention des usages de drogues : Parents, "écoutez d'abord" !
Pour plus d’informations : Écoutez d’abord : informations pour les parents 26 juin : la prévention et l'écoute des jeunes à l'honneur (Mildeca) Vidéo de la campagne "écoutez...
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Vidéo : comment réagir à la consommation de drogue de son ado ?
A l’occasion de la Journée mondiale des Parents le 2 juin, Drogues info service propose une vidéo pour aider les parents.
Comment aborder le sujet ? Comment maintenir le lien dans ce contexte difficile ? Comment surmonter ses propres angoisses ?