Actualites Actualites http://www.drogues-info-service.fr/Actualites Des dérivés du fentanyl classés comme stupéfiants arrêté du 5 septembre 2017, des substances dérivées du fentanyl ont été ajoutées à la liste des stupéfiants. Il est désormais interdit de faire usage, détenir, produire, vendre, échanger, importer ou transporter ces substances. Le fentanyl, produit de la même famille que l’héroïne, est l’un des opiacés les plus puissants qui existe. Il est utilisé en médecine pour son fort pouvoir antidouleur. Depuis de nombreuses années il fait l’objet d’une surveillance sanitaire pour son risque d’abus, de dépendance et d’overdose. Il fait partie des substances classées comme stupéfiant. Dans la période récente et suite à la crise des opiacés qui frappe l’Amérique du nord, des dérivés synthétiques du fentanyl sont apparus sur le marché noir des drogues. Ces dérivés sont à l’origine d’une recrudescence des overdoses et des décès liés aux drogues. Leur apparition sur le marché européen a donc conduit les autorités sanitaires à ajouter ces... ]]> Techno Parade : repérer ceux qui vous aident à passer un bon défilé Réduction des risques L’association Fêtez Clair, qui intervient en milieu festif depuis de nombreuses années, est partenaire de la TechnoParade. Ses bénévoles, reconnaissables à leur tee-shirt au logo de l’association, peuvent vous distribuer du matériel d’information et de réduction des risques. Ils peuvent également répondre à vos questions, notamment concernant la consommation de drogues. Premiers secours Les hommes et les femmes orange et bleus de la Protection civile interviennent bénévolement en cas de malaise ou de blessure. Ils appliquent les premiers gestes de secours et sécurisent les personnes en difficulté. Présents sur... ]]> 23% d'accidents mortels impliquent un conducteur positif aux stupéfiants Faire une pause dans sa consommation de drogue : un bon moyen de se tester lancement de « moi(s) sans tabac » pour faire le test. Moi(s) sans tabac Moi(s) sans tabac propose aux fumeurs d’arrêter de fumer pendant 30 jours au mois de novembre. Cette année le thème est « on arrête ensemble et en équipe ». Arrêter 30 jours favorise la prise de conscience de sa dépendance et des bénéfices de l’arrêt. Arrêter en équipe aide à renforcer la décision et à recevoir du soutien en cas de difficulté. Ce principe peut être appliqué à l’usage des drogues récréatives (cannabis, cocaïne, speed, ecstasy, nouvelles drogues de synthèse…) pour tester si, comme on le pense, on peut vraiment les arrêter « quand on veut ». Faire une pause, faire le point Décider de faire une pause dans sa consommation de drogue... ]]> Overdose d’opiacés : l’importance d’appeler les secours La naloxone a une durée d’action limitée L’administration de naloxone permet de contrecarrer rapidement les effets des opiacés mais son temps d’action est court. Ses effets commencent à s’estomper au bout de 20 minutes et il est toujours possible qu’un usager présente de nouveau une dépression respiratoire lorsque la naloxone cesse d’agir. Les secours pour sécuriser la situation Appeler les secours permet d’apporter les soins d’urgence nécessaires au patient et de le mettre ensuite sous surveillance médicale. Cette surveillance permet d’agir en cas... ]]> Les consommations régulières de cannabis chez les lycéens sont stables Moins d’expérimentation et d’usages occasionnels Entre 2011 et 2015, le nombre de lycéens ayant essayé au moins une fois le cannabis a diminué, passant de 48,6 à 44%. Les usages occasionnels, mesurés par l’usage dans l’année et l’usage dans le mois, diminuent également : de 40,5 à 35,9% pour l’usage dans l’année, de 26,9 à 22,6% pour l’usage dans le mois. Les « années lycées » sont propices à l’expérimentation Les chiffres précédents ne doivent pas masquer que c’est au lycée que l’expérimentation du cannabis fait un bond, passant de 34,8% en seconde à 54% à la fin... ]]> Ouverture de la première salle de consommation à moindre risque Des objectifs bien définis Elle est destinée à recevoir des usagers de drogues pratiquant l’injection, dans l’objectif de :
  • leur offrir un espace sanitaire protégé afin de contribuer à réduire les risques de décès, de maladies et d’infections
  • permettre aux usagers en situation de précarité d’entrer en contact avec des professionnels
  • contribuer à améliorer le cadre de vie des riverains en réduisant l’usage de drogues et la présence de seringues dans les espaces publics
 Un parcours organisé Disposant d’une entrée distincte de l’hôpital, elle ouvre 7 jours/7, de 13h30 à 20h30. Dans la cour, les usagers peuvent récupérer du matériel stérile d’injection, dans le cadre du programme d’échange de seringues.... ]]>
Webdoc : la réduction des risques à l'honneur A consommer avec modération ? » est constitué de plusieurs chapitres qui interrogent aussi bien le rapport de la société avec les drogues, les raisons et principes de la réduction des risques, les salles de consommation à moindre risque, la notion de drogue, les recours des usagers pour être aidés, l’addiction et ses mécanismes et d’autres encore. Pour chaque chapitre des spécialistes sont interviewés, des usagers de drogues témoignent, des capsules vidéos et des liens pour en savoir plus sont proposés. Un excellent support pour comprendre les usages de drogue dans notre société et la réduction des risques. ]]> Parents : l'importance de fixer des règles claires En savoir plus : Écoutez d'abord : information pour les parents Articles en lien : Comment parler... ]]> Partir en vacances en France avec un traitement de substitution aux opiacés ici. Cas 1 : Vous partez pour une durée inférieure à la durée de délivrance de votre traitement Munissez-vous simplement de votre ordonnance et de votre traitement. Cas 2 : Votre séjour dure plus longtemps que votre durée de délivrance mais moins longtemps que la durée maximale de prescription Vous devez trouver, avant de partir, une pharmacie-relais ou un CSAPA délivrant des traitements de substitution (voir champ de recherche en bas de page). Votre médecin prescripteur vous délivre une ordonnance couvrant la durée du séjour en indiquant l’adresse de la pharmacie-relais ou du CSAPA. Cas 3 : Votre séjour dure plus longtemps que la... ]]> Journée mondiale de la santé : le temps de faire le point sur ses consommations Consultations jeunes consommateurs permettent d’aborder toutes les situations de consommation et de faire le point en quelques entretiens confidentiels. Pour les adultes et les usagers cherchant une prise en charge médicale, les Centres de Soins, d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie (CSAPA) permettent de faire le point sur ses consommations. Les professionnels des CSAPA aident les usagers en toute confidentialité à construire et mettre en œuvre leurs projets de diminution ou d’arrêt d’une drogue. Chaque personne peut bénéficier d’un accompagnement médical, social et psychologique en ambulatoire sur le... ]]> Cannabis : les adolescents en ont une image positive Un produit jugé « meilleur » que les autres Pour les adolescents de 13 à 18 ans, le cannabis tient ses promesses, surtout lorsqu’ils le comparent aux drogues légales. Il procure du plaisir et ils jugent qu’il a bon goût, ce qui n’est pas le cas du tabac. L’adhésion au cannabis tient au produit lui-même mais aussi à la dimension sociale de s’initier ensemble à sa consommation, qui renforce les liens entre eux. Il est vu comme une « drogue douce » en opposition aux « drogues normales » et on lui prête des vertus thérapeutiques. C’est la forme « herbe » du cannabis, jugée plus saine, qui est préférée à la résine, contenant trop de produits de coupage. Les effets négatifs du cannabis minimisés En consommant du cannabis et en... ]]> Les nouveautés en réduction des risques et des dommages article consacré à la réduction des risques pour tenir compte des dernières évolutions :
  • Depuis fin 2016, deux salles de consommation à moindre risque ont été ouvertes à titre expérimental pour une durée de 6 ans. Elles accueillent les usagers de drogues injectables les plus précarisés
  • Depuis janvier 2018, un antidote aux overdoses d’opiacés, le Nalscue®, peut être délivré par les CAARUD (Centres d’Accueil et d’Accompagnement à la Réduction des risques liés à l’Usage des Drogues).
Ces évolutions reflètent la reconnaissance par la loi d’un élargissement du champ d’action de la réduction des risques. La réduction des dommages liés aux usages de drogues est devenue un objectif en soi, au même titre que l’objectif de diminution des contaminations qui avait permis la reconnaissance de la réduction des risques en France. A lire : La réduction des risques  Articles en... ]]>
Dico des drogues : mise à jour de la fiche sur le protoxyde d’azote Dico des drogues. La section « risques et complications » apporte de nouvelles informations sur les risques neurologiques associés à l’usage régulier et intensif de ce gaz. En effet, cet usage entraîne des carences en vitamines B12 qui affectent le fonctionnement de la moelle osseuse. Une succession de troubles neurologiques peuvent en découler, comme par exemple des fourmillements aux extrémités (doigts, orteils), des difficultés pour se déplacer ou des décharges électriques dans la nuque. Découvrez-en plus en consultant la fiche « Protoxyde d’azote » du Dico des Drogues. ]]> Usage intensif de cannabis et syndrome cannabinoïde fiche cannabis du dico des drogues afin de rendre compte d’un syndrome peu connu lié à l’usage intensif régulier de cannabis. Le « syndrome d’hyperémèse cannabinoïde » ou « syndrome cannabinoïde » n’est soulagé que par des douches très chaudes et ne disparaît qu’avec l’arrêt total du cannabis. Il est caractérisé par des vomissements fréquents et incontrôlables, des nausées intenses, des douleurs abdominales et parfois de la fièvre. Il est précédé de signes avant-coureurs comme les nausées matinales, le manque d’appétit et des vomissements occasionnels. Il est conseillé aux usagers qui connaissent de tels symptômes avant-coureurs de lever le pied sur leur consommation.   Articles en lien : Est-il possible d’arrêter seul le cannabis ? La consommation de cannabis des Français (23/06/2017) ]]> Femmes usagères de drogues : commencer à en parler personne ne sait, elles n'osent pas en parler" et la demande d'aide, l'entrée dans le soin sont tardives. Pour dépasser les réticences imposées par cette stigmatisation il est possible d'en parler avec des pairs de façon anonyme. L'entraide est un moteur pour dépasser la honte. depuis sa création, Drogues info service propose ainsi un forum pour les consommateurs qui permet de commencer à parler en toute sécurité. C'est un premier pas vers un mieux-être. Articles en lien Personne ne sait, je n'ose en parler Je souhaite me faire aider ]]> Les usages d'antidouleurs sous surveillance site Internet. Alors que la généralisation des antalgiques opioïdes a plongé les Etats-Unis dans une véritable « crise des opiacés » qui a fait près de 64 000 morts en 2016, la France n’est pas à l’abri d’un phénomène similaire. Toutes proportions gardées, une augmentation des overdoses d’opiacés a par exemple été constatée ces dernières années en France. L’ambition de l’OFMA, emmenée par le professeur Nicolas Authier du CHU de Clermont Auvergne, est ainsi de surveiller, d’informer et de comprendre les usages de ces antalgiques. L’objectif est de prévenir les dérives, repérer les phénomènes émergents de mauvais usages et maintenir un accès pertinent à ces médicaments.   Le site de l’OFMA est un site ressource aussi bien pour... ]]> Que sait-on des drogues collectées par SINTES en 2016 ?  72% de ceux-ci contenaient le produit que l’usager pensait avoir acheté. Dans 4% des cas la substance recherchée était associée à une autre. Dans 16% il s’agissait d’une autre substance et enfin dans 8% des cas, le produit ne contenait aucune trace de substance psychoactive.
Les produits classiques sont les plus collectés
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Participez à l'évaluation d'une nouvelle aide à l'arrêt du tabac étude nationale peut vous aider face à votre consommation. ]]> Etudiants : répondez à un questionnaire sur vos conditions de vie et vos consommations Un questionnaire d’auto-évaluation en ligne est proposé à tous les étudiants français majeurs. Anonyme et sécurisé, il vous faut moins de 15 minutes pour répondre aux différentes questions. Les questions portent sur vos conditions de vie et votre état de santé, sur votre recours aux médicaments et vos consommations de produits psychoactifs. Ce questionnaire entre dans le cadre d’une recherche menée par le Centre d’Evaluation et d’Information sur la Pharmacodépendance – Addictovigilance (CEIP-A) des régions Ile-de-France – Centre Val de Loire. Il fera l’objet d’un rapport final et de communications scientifiques. Les résultats seront disponibles fin 2018 et vous pourrez les consulter sur le site du CEIP-A : http://addictovigilance.aphp.fr Merci, par votre réponse à ce questionnaire, d’aider la recherche à avancer ! Questionnaire « Santé et conditions de vie des étudiants » ]]> Les Festivals d'été : culture, évasion et responsabilité Identifiez les lieux de repos et d’assistance Un festival bien organisé n’a pas que des scènes et des lieux de vente de boissons. Essayez de repérer où se trouve le poste de secours, s’il y a des stands tenus par des associations de réduction des dommages, où sont les zones de « chill out ». Les associations distribuent du matériel et des informations vous permettant de limiter les risques liés à un usage de drogue ou d’alcool. Les volontaires discuteront volontiers avec vous pour répondre à vos questions. En cas de « bad trip » ou de malaise ils pourront vous accueillir en zone « chill-out » et... ]]> L'ordonnance du médecin obligatoire pour les médicaments à la codéine Hépatites : se faire dépister pour se protéger Faire un dépistage et se protéger Les usagers de drogues sont particulièrement exposés au risque d’être contaminés par le Virus de l’Hépatite C (VHC). En France, 44% des usagers de drogues sont touchés par le VHC et ce taux s’élève à 65% chez les personnes qui consomment de la drogue par injection (1). Les usages de drogues par injection ou par sniff peuvent être des portes d’entrée des virus de l’hépatite B ou C. Tout partage de matériel (« coton », seringue, paille, cuiller…) souillé par du sang est une prise de risque importante. L’existence de traitements efficaces et la gratuité des dépistages doivent inciter chaque personne ayant un usage de drogue par injection ou sniff à se faire dépister. Connaître son statut sérologique permet d’entamer des démarches... ]]> NBOMe : une substance peu connue mais dangereuse Une « nouvelle » drogue illégale Le NBOMe est une drogue hallucinogène qui fait partie de la vague des « nouvelles substances psychoactives » créées depuis quelques années pour contourner les lois. Cette substance et ses dérivés n’est cependant plus ni tout à fait nouvelle ni légale : elle a été classée parmi les stupéfiants en 2015. Elle est souvent présentée comme un substitut du LSD. Elle a été parfois vendue sous le nom de « mescaline synthétique ». Elle existe sous différentes formes : poudre blanche, liquide ou buvards imprégnés. Pourquoi est-elle dangereuse ? De nombreux cas d’intoxication au NBOMe ont été rapportés en Europe dont plusieurs mortels (2). Les dangers de cette substance tiennent à plusieurs facteurs. Tout d’abord elle a une... ]]> La prévention des overdoses en France rapport sur les drogues 2017, une hausse des décès par surdose, liée principalement à la prise d’opiacés. Ne consommez pas seul En cas de surdose, la présence de tiers peut sauver. Les proches peuvent repérer les premiers signes d’overdose, alerter les services d’urgence (112) et prodiguer les gestes de premiers secours. Les services d’urgence sont soumis au secret médical. Un spray qui sauve Les usagers d’opiacés peuvent se voir prescrire un spray à base de naloxone, antidote de l’overdose d’opiacés (héroïne, morphine…). Ce spray nasal est à utiliser dès les premiers signes en attendant les secours. Le spray est disponible dans les CSAPA (Centres de soin,... ]]> Canicule : attention à l'usage de certaines drogues Stimulants et opiacés L’Agence nationale de sécurité du médicament (Ansm) informe que les médicaments qui augmentent la présence de sérotonine dans le cerveau favorisent l’hyperthermie ou empêchent le corps de se refroidir (1). C’est le cas de plusieurs familles d’antidépresseurs mais c’est aussi le cas de l’ecstasy (MDMA), de la cocaïne, des amphétamines. D’autres substances psychotropes, notamment les neuroleptiques et certains opiacés (tramadol, dextrométhorphane) peuvent également  favoriser le « coup de chaud ». Le coup de chaleur : une urgence Le coup de chaleur se manifeste pas des crampes, une fatigue inhabituelle, des maux de tête, des vertiges ou nausées voire des propos incohérents. Si une personne fait un malaise suite à un coup de la chaleur... ]]> Consommer à moindre risque Je consomme à moindre risque ». ]]> La consommation de cannabis des Français Tendances ( n°119). En 2016 17 millions de Français entre 18 et 64 ans (42%) ont expérimenté le cannabis au moins une fois dans leur vie. 5 millions de Français (11%) en ont consommé dans l’année. 1,4 millions au moins 10 fois dans le mois et 700 000 en consomment tous les jours. Les consommations se stabilisent Il n’y a pas d’évolution notable des consommations entre 2014 et 2016. En revanche les niveaux de consommation sont bien supérieurs à ceux qui existaient dans les années 90, marquant ainsi la progression de la diffusion du cannabis en France. La consommation de cannabis est un « phénomène générationnel ». Le plus gros de la consommation concerne les 15-34 ans. 28% des 18-25 ans ont fait usage... ]]> Une vidéo pour les parents : usages de drogues chez les ados Stupéfiante addiction Articles en lien : Comment parler des drogues à mon enfant ? J’ai découvert que mon enfant se drogue ]]> Chemsex : une ligne d'appel pour les consommateurs de drogues en contexte sexuel Info Chemsex (by AIDES) ». Chaque personne contactant le dispositif aura un interlocuteur formé aux problématiques du Chemsex. Les réponses sont immédiates ou données au maximum dans les 6 heures après avoir laissé un message. Attention, cette ligne ne traite pas les urgences vitales. En... ]]> Héroïne : alerte sur des cas d'overdose en Seine-Saint-Denis L’Agence Régionale de Santé d’Ile-de-France et le Centre d’Evaluation et d’Information sur la Pharmacodépendance – Addictovigilance d’Ile-de-France-Centre ont eu connaissance de 3 cas d’overdose d’héroïne survenus le 20 juillet à Aulnay-sous-Bois. Ces cas laissent suspecter la circulation d’héroïne fortement dosée ou frelatée actuellement en Seine-Saint-Denis. Les usagers d’héroïne sont appelés à la plus grande vigilance. Voici des conseils de réduction de risque à l’attention des usagers :
  • Ne consommez pas seul
  • Commencez à consommer une faible dose, surtout lors d’un nouvel achat
  • Favorisez le « sniff » plutôt que l’injection ou la voie fumée
  • Evitez les mélanges avec d’autres produits favorisant les détresses respiratoires (benzodiazépines, alcool, autres opiacés)
  • Appelez les urgences (15 ou 18 ou 112) en cas de suspicion d’overdose
  • Demandez préventivement un spray nasal à base de naloxone (Nasclue®) à un centre de soins spécialisé dans les addictions
Les trois overdoses sont survenues indépendamment les unes des... ]]>
Spray nasal de naloxone : autorisation de mise sur le marché Mise à jour 12/01/2021 : Nalscue@ n'est plus commercialisé en France. Un autre kit à base de naloxone est cependant toujours disponible.  L’Agence nationale de sécurité du médicament (Ansm) a délivré le 28 juillet 2017 une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) pour le spray nasal à base de naloxone Nalscue®. Il faudra cependant attendre environ 3 mois pour que l’AMM entre réellement en vigueur. Ce spray nasal est à utiliser dès les premiers signes d’une overdose aux opiacés et en contrecarre les effets. Il reste indispensable d’appeler les secours (15 ou 112) en cas d’overdose. Nalscue®, précise l’Ansm, sera disponible en prescription médicale non obligatoire et pourra également être délivrée en CAARUD (Centre d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques liés à l’usage de drogues). Les patients doivent recevoir une formation spécifique à son utilisation. En attendant l’entrée en vigueur de cette AMM, c’est l’Autorisation Temporaire... ]]> La substitution aux opiacés : qu'est-ce que c'est ? Infographie sur la place du Subutex et de la méthadone dans le problème de la toxicomanie   Articles en lien : Je voudrais prendre un traitement de substitution Vivre avec la substitution J’ai envie d’arrêter mon traitement de substitution ]]> Prévention des usages de drogues : Parents, "écoutez d'abord" ! Pour plus d’informations : Écoutez d’abord : informations pour les parents 26 juin : la prévention et l'écoute des jeunes à l'honneur (Mildeca) Vidéo de la campagne "écoutez... ]]> Vidéo : comment réagir à la consommation de drogue de son ado ? A l’occasion de la Journée mondiale des Parents le 2 juin, Drogues info service propose une vidéo pour aider les parents.   Comment aborder le sujet ? Comment maintenir le lien dans ce contexte difficile ? Comment surmonter ses propres angoisses ? Articles en lien : Comment parler des drogues à mes enfants ? J’ai découvert que mon enfant se drogue ]]> Drogues en Europe : l'OEDT révèle les tendances 2016 Le succès de la MDMA, les nouveaux usages des stimulants, la domination du cannabis, l’expansion des nouveaux produits de synthèse ou encore l’augmentation des surdoses d’opiacés : dans son nouveau rapport sur les drogues, l’OEDT décrypte ce qui se passe en Europe sur le front des drogues. L’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT) vient de publier son 21e rapport européen sur les drogues. Plusieurs tendances se dégagent. La résurgence de la MDMA se confirme La consommation de MDMA (ecstasy) est en hausse en Europe. Elle concerne de plus en plus de jeunes fréquentant les lieux festifs traditionnels tels les bars ou les fêtes à domicile. Les teneurs en principe actif ont augmenté, rendant cette drogue plus dangereuse. Le nombre d’accidents de consommation et d’alertes sanitaires s’est multiplié. Des usages de stimulants à surveiller La cocaïne est globalement la drogue stimulante la plus utilisée en Europe même si les pays... ]]> Les demandes d'aide des usagers de cannabis augmentent fortement un bilan de la fréquentation de ces centres et consultations en 2014 et depuis 2007. Ces données révèlent une forte augmentation du nombre de personnes prises en charge pour le cannabis. Le cannabis est le deuxième motif de recours aux CSAPAS après l’alcool Le nombre de personnes demandant de l’aide pour leur consommation de cannabis a augmenté de 40% entre 2010 et 2014. Ainsi, en 2014, 56 000 personnes venaient principalement pour le cannabis contre 40 000 en 2010.  C’est désormais le deuxième motif de recours aux CSAPA, après l’alcool. Des trentenaires de plus en... ]]> Attention, de la cocaïne coupée par de la scopolamine circule actuellement en France Les signes inquiétants Les premiers signes d'intoxication aiguë sont : sécheresse des muqueuses, dilatation des pupilles, trouble de l'accommodation (pour voir net à certaines distances), nausées, vomissements, tachycardie, hypertension artérielle. A plus forte dose : agitation, confusion, hallucinations, état délirant, convulsions, hyperthermie et dépression respiratoire pouvant entrainer le décès. Les effets peuvent durer plus de 24 heures. Les précautions à prendre Si vous êtes consommateur de cocaïne, pensez à prendre en compte ces conseils de réduction des risques... ]]> Alerte : circulation d'un mélange cocaïne- scopolamine en Seine-Saint-Denis ! L’ARS suspecte le 08/07/2016 une série d'intoxications par un mélange cocaïne scopolamine. 5 personnes ont été hospitalisées entre le 6 et le 7 juillet au CH Robert Ballanger d’Aulnay-sous-Bois : 4 prises en charge aux urgences et 1 en réanimation. Cette association est inhabituelle  et peut être à l’origine d’effets graves chez les utilisateurs (notamment tachycardie, agitation, confusion, hallucinations pouvant aller jusqu'au délire et dépression respiratoire). Il n'est pas possible d'identifier visuellement le mélange qui a un aspect banal de poudre blanche. Articles en lien Fiche Cocaïne du Dico des drogues ]]> Un spray anti-overdose à disposition des usagers de drogues Mise à jour 12/01/2021 : Nalscue® n'est plus commercialisé en France. Un autre kit antioverdose à base de naloxone reste disponible. Les usagers de drogues prenant des opiacés (héroïne, méthadone…) vont pouvoir se procurer un spray nasal à base de naloxone. Le spray Nalscue® est à utiliser dès les premiers signes d’overdose et en attendant les premiers secours. Une overdose d’opiacés peut être mortelle si rien n’est fait à temps. Le surdosage se reconnaît par une respiration anormalement lente, l’engourdissement puis l’endormissement de l’usager, une extrême pâleur et le bleuissement des lèvres et des extrémités (mains, pieds). L’utilisation rapide du spray à base de naloxone permet de contrecarrer les premiers effets de l’overdose. Il reste indispensable d’appeler immédiatement les secours (15 ou 112) et de garder la personne sous surveillance en attendant leur arrivée. Le spray Nalscue®, pourra être prescrit par les médecins de certains Centres de soins, d’accompagnement... ]]> Les consommations de drogues en Outre-Mer sont moins importantes qu'en Métropole Des consommations moins importantes pour toutes les drogues La consommation de tabac, d’alcool et de  drogues illicites est moins importante dans les Départements d’outre-mer (DOM) chez les adolescents et chez les adultes que dans les départements de l’hexagone. Il existe cependant quelques différences notables entre les DOM et quelques exceptions. La consommation régulière de cannabis à la Réunion, la Guyane et à la Martinique est comparable à celle de la métropole chez les hommes, tandis qu’elle est faible en Guadeloupe. Dans les Consultations jeunes consommateurs (CJC) de la Réunion, le cannabis n’en reste pas moins le premier motif de consultation. Dans les DOM, les niveaux d’ivresse et d’alcoolisation régulière sont tous inférieurs à ceux de la métropole. La... ]]> De nouvelles substances dans la liste des stupéfiants arrêté paru au journal officiel le 9 novembre 2016, L’acétylfentanyl, le MT-45 et 4,4’-DMAR ont été classés comme des stupéfiants. L’acétylfentanyl est un opioïde synthétique le plus souvent présenté sous forme de poudre ou de comprimé. En Europe, 40 cas d’intoxication impliquant notamment de l’acétylfentanyl ont été rapportés à l’Observatoire européen des drogues et de la toxicomanie (EMCDDA en anglais) dont 32 décès. Le MT-45 est une substance analgésique de la famille des pipérazines et dont l’action semble en partie comparable à celle de la morphine. Il a été le plus souvent retrouvé sous forme de poudre blanche et parfois il a pu être mélangé à de l’héroïne brune. En Europe, MT-45 a été associé à 34 intoxications dont 21 mortelles, toutes en Suède. Le 4,4’-DMAR est un stimulant de synthèse qui a été associé en Europe à 31 décès, seul ou en association avec d’autres drogues.... ]]> Où trouver des seringues neuves et du matériel stérile ? A l’occasion de la journée mondiale du sida, Drogues info service facilite l’accès aux lieux qui délivrent des seringues neuves et du matériel stérile. Trouvez près de chez vous les équipes qui délivrent du matériel, de l’information et des conseils sans condition de démarche de soin. Ces lieux peuvent être fixes comme les CAARUD (Centre d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques liés à l’usage de drogue) ou mobiles comme les antennes mobiles d’échange de seringues. Pour trouver un lieu fixe ou mobile d'accueil, entrez une ville ou votre département : Repérez en un clic les automates d’échange de seringue et bornes délivrant des seringues neuves en échange d’un jeton ou d’une seringue usagée. Pour trouver un automate d'échange ou de délivrance de seringues, entrez une ville ou votre département : ]]> MAAD digital : l'information scientifique sur les addictions pour les 13-19 ans Cannabis et bad trip". Il décrypte également des sujets plus scientifiques telles que la compréhension des addictions ou la contribution de la recherche sur le cannabis aux neurosciences. Il propose aussi des sélections de vidéos scientifiques et ludiques, un quiz sur les drogues et une section « court-circuit » qui permet par exemple de réaliser des exposés sur des thèmes liés aux addictions. Un espace est également prévu pour les enseignants, qui leur... ]]> Dépistage routier des stupéfiants : l'analyse salivaire remplace l'analyse de sang Les conducteurs gardent la possibilité de demander un prélèvement sanguin. Rappel de la procédure de dépistage Sur le bord de la route le dépistage immédiat ne change pas. Les forces de police font un dépistage par l’urine ou la salive. Si le dépistage est négatif rien ne se passe. S’il est positif c’est là qu’intervient le changement. En cas de résultat positif les policiers ou les gendarmes procèdent désormais à un prélèvement salivaire et non plus à un prélèvement sanguin. C’est ce prélèvement salivaire qui sera analysé en laboratoire et qui permettra de confirmer ou non le résultat du premier dépistage. Les forces de police sont cependant tenues... ]]> Meilleurs vœux pour 2017 ! ]]> C'est parti pour l'enquête "Baromètre santé 2017" bs2017.fr, permet de s’informer sur l’enquête et de vérifier si l’on fait partie des personnes tirées au sort pour répondre à l’enquête. Source : Baromètre santé 2017 : une enquête pour connaître les attitudes et comportements des Français en matière de santé ]]> Fumer des drogues augmente les risques de cancers respiratoires Toute combustion libère des substances cancérigènes Les drogues ne font pas exception. Fumer du cannabis expose à des fumées nocives et peut être à l’origine de cancers de l’appareil respiratoire. Et ce, même si le cannabis consommé ne présente pas de risques avérés de cancer.
Éviter de fumer pour réduire les risques
Compte tenu de la toxicité de la fumée pour l’appareil respiratoire du fumeur, s’il vous est impossible de vous abstenir de consommer, privilégiez d’autres modes de consommation. Ainsi, vaporiser le cannabis est moins dangereux que le fumer. En effet, l’usager inhale de la vapeur d’eau contenant du THC et non de la fumée produit d’une combustion. La température de la vapeur inhalée, plus basse que celle de la fumée, la rend également moins agressive pour l’organisme de... ]]>
Une application Techno+ pour s'informer et réduire les risques Une plongée dans le milieu des toxicomanes précaires Le site belge « l’avenir.net » vient de publier un webdocumentaire qui nous plonge dans le monde des toxicomanes désocialisés de Charleroi, en Wallonie. "Ici, même les murs ont le sida" dresse un tableau très sombre des conditions de vie d’usagers qui oscillent entre invisibilité et stigmatisation. Un monde de survie, rythmé par la nécessité de se procurer la prochaine dose. Un monde cependant dont on peut, parfois, se sortir. Ce documentaire est issu de l’expérience de terrain d’un psychologue et d’un travailleur social qui ont publié un livre sur le sujet, « 24 heures héro » [1]. En creux se dessine la misère et l’abandon de quartiers qui subissent de plein fouet la crise économique. Une situation que l’on retrouve dans de nombreuses autres villes, aussi bien belges que françaises.  A lire et regarder : Ici, même les murs ont le sida [1] Dylewski P. Essiaf S. 24 heure... ]]> La liste des cannabinoïdes de synthèse interdits en France s'élargit arrêté du 31 mars, de nouveaux cannabinoïdes de synthèse viennent d’être inscrits sur la liste des stupéfiants. Un communiqué de presse de l’Agence nationale de sécurité du médicament (Ansm) rappelle que les cannabinoïdes de synthèse présentent des risques graves pour la santé et un risque d’abus et de dépendance. 12 familles chimiques et 10 nouvelles substances appartenant au groupe des cannabinoïdes de synthèse sont désormais interdites. Jusqu’à présent seules 7 familles étaient interdites, il s’agit donc d’un élargissement important de la liste des substances interdites. Articles en lien : Cannabis de synthèse (Dico des drogues) Les drogues interdites L’usage de stupéfiants Le trafic de stupéfiants ]]> Cannabis : deux tests pour évaluer sa consommation Addict AIDE a récemment mis à disposition des usagers de cannabis deux tests pour évaluer leur consommation. Les tests ALAC et CAST, centrés sur les habitudes de consommation et les expériences sous cannabis, aident à repérer une éventuelle consommation problématique. A l’issue de ces tests une évaluation de la consommation est restituée, des ressources sont proposées ainsi que des pistes d’orientation. Un troisième test pour mesurer la gravité de l’addiction quelle que soit son origine est également disponible sur le site Les résultats des tests permettent de se situer mais ils peuvent aussi susciter des questions, des angoisses, l’envie d’en savoir plus. Drogues info service est à la disposition de tous pour en parler, s’informer, obtenir une orientation : 0 800 23 13 13 tous les jours entre 8h et 2h (gratuit et confidentiel). Pour en savoir plus : Addict’Aide... ]]> Usages de drogues : la parole est aux femmes fil de discussion pour les femmes dans les forums pour les consommateurs. Les forums de Drogues info service offrent un espace de dialogue facile d’accès et anonyme. La création de ce fil de discussion est une invitation à franchir le pas pour toutes celles qui hésitent à en parler. Dans un monde où les hommes sont surreprésentés, les femmes dépendantes des drogues rencontrent bien des difficultés pour accéder aux soins. Victimes de stigmatisation, elles doivent affronter des difficultés psychiques, économiques et sociales que la honte ou la culpabilité aggravent. Il reste la difficulté à en parler, renforcée lorsqu'on est enceinte. La honte de cette foutue étiquette de droguée, toxico, dépravée ; de ne pas être une bonne mère... Les besoins spécifiques des femmes doivent trouver des réponses adaptées. Le fil... ]]> L'addiction aux jeux sous-estimée chez les usagers de drogues Une étude menée dans le Bas-Rhin sur 466 usagers de drogues suivis par un Centre de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (Csapa) montre qu’ils jouent bien plus que la population générale aux jeux d’argent et de hasard. Pourtant ceux-ci demandent peu d’aide pour le jeu. Au Csapa « Le Cap » dans le Haut-Rhin, 60,9% des usagers de drogues jouaient aux jeux d’argent et de hasard en 2013. C’est 1,3 fois plus qu’en population générale. Surtout, ils sont 3,6 fois plus nombreux à être des joueurs à problème et 6 fois plus nombreux à être des joueurs excessifs. Cependant seules 4 personnes sur 466 avaient demandé au préalable de l’aide pour le jeu. Il est possible que le problème de drogue supplante le problème de jeu dans l’esprit des usagers. Pourtant l’étude montre que les usagers « joueurs à risque » consomment aussi plus de drogues que les usagers non-joueurs ou sans... ]]> Qu'importe son nom, c'est du cannabis ! Vos Questions/Nos Réponses". Articles en lien : Fiche cannabis du Dico des drogues Questions les plus fréquentes sur le cannabis   ]]> Violences et drogues : des femmes en souffrance Usage de substances et violences Les effets des drogues créent un état de vulnérabilité auquel les femmes sont particulièrement sensibles. Il favorise leurs prises de risques et la perte de contrôle. Ces moments de vulnérabilité des femmes, perçus par certains hommes, sont propices au chantage sexuel, aux actes de violence ou d’abus sexuel. La prise de drogues ou d’alcool... ]]> Dépistage des drogues : le tableau des durées de positivité actualisé tableau des durées de positivité présent dans la rubrique sur le dépistage des drogues. L’allongement des délais de détection du cannabis dans le sang et la salive chez les fumeurs intensifs et quotidiens est l’une des nouveautés de ce tableau. Pour toute question sur le dépistage les internautes peuvent utiliser la rubrique « Vos questions/nos réponses » pour obtenir une réponse sous 48h ou appeler la ligne d’écoute au 0 800 23 13 13 tous les jours de 8h à 2h (appel gratuit). Articles en lien : Comment dépiste-t-on les drogues ? Les résultats d’un test de dépistage   ]]> Vidéo : l'influence du cannabis sur la mémoire Articles en lien : Le cannabis altère-t-il les capacités d'apprentissage et la motivation ? Peut-on faire un bad trip avec du cannabis ? ]]> Prise de GBL/GHB en soirée : savoir limiter les risques GHB dans le corps, se développe en soirée et est responsable depuis fin 2017 de plusieurs comas dont l’un a abouti à la mort d’un jeune homme. La diffusion de cette drogue dans l’espace festif touche un nouveau public jeune qui consomme ce produit sans en connaitre les risques et les moyens pour les réduire. Petit rappel des précautions à prendre quand on fait usage de ces substances. Limiter les risques Les personnes qui consomment du GBL recherchent une sensation d’euphorie et de désinhibition. Il y a cependant très peu de différence entre la dose euphorisante, la dose provoquant une perte de conscience et la dose mortelle. La consommation de GBL ne doit donc absolument pas être banalisée car les effets négatifs et potentiellement mortels peuvent apparaître brutalement. Si vous consommez du GBL ou du GHB, le premier conseil... ]]> Mieux connaître Santé publique France à travers son rapport annuel rapport annuel 2017 de Santé publique France. ]]> Participez à l'enquête européenne en ligne sur les drogues Sept pays européens dont la France lancent une grande enquête européenne en ligne sur la consommation de drogues. Les consommateurs de cannabis, ecstasy/MDMA, cocaïne et amphétamines (y compris méthamphétamine) de plus de 18 ans sont invités à y participer. Cette étude est anonyme. La compléter nécessite entre 10 et 15 minutes. Elle vise à connaître les quantités et les fréquences d’utilisation des différentes drogues illicites ainsi que les sources d’approvisionnement des usagers. Les résultats seront publiés courant 2017. En France, cette initiative est pilotée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) en partenariat avec l’Observatoire européen des drogues situé à Lisbonne. Six autres pays (la Croatie, la République tchèque, la Lettonie, les Pays-Bas, la Suisse et le Royaume-Uni) proposent le même  questionnaire. Je participe   Article en lien : En savoir plus sur ]]> La campagne sur les CJC Alcool, cannabis, cocaïne, ecstasy, jeux vidéo, tabac… La consommation de votre enfant vous inquiète, il est devenu difficile d’aborder le sujet sans que cela tourne au conflit ? Il existe un lieu pour en parler et faire le point afin d’éviter qu’une consommation évolue en addiction, ce sont les Consultations Jeunes Consommateurs (CJC). Pour les faire connaître, la Mildeca, le Ministère chargé des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes ainsi que l’Inpes lancent une campagne de communication. Ces spots mettent en scène les visions caricaturales et fantasmées induites par des conduites potentiellement addictives, et montrent comment les CJC peuvent être un lieu de retour au dialogue entre l’adolescent et ses parents. Animées par des professionnels des addictions et de l’adolescence, les CJC accueillent les jeunes et/ou les parents pour évaluer la situation et proposer si besoin un suivi personnalisé. Il... ]]> Bienvenue sur le nouveau site de Drogues info service Bienvenue sur notre nouveau site ! Découvrez nos espaces interactifs : forums, "Vos questions / nos réponses", témoignages, chat... et aussi de nombreuses informations dans nos pages, notre "Dico des drogues" nouvelle version, ainsi que la rubrique "A lire à voir" où vous trouverez des idées de lectures et de films à regarder si vous souhaitez vous documenter. Bonne navigation ! Pour toute remarque concernant ce site, merci d'utiliser le formulaire de contact ; nous vous répondrons au plus vite.  ]]> Drogues info service s'affiche Drogues info service a désormais une nouvelle identité graphique et de nouveaux supports de communication pour lui permettre de faire connaître ses activités. Déclinés sous forme d’affiches de différentes tailles et de petites cartes au format « carte de visite », tous ces documents peuvent être commandés gratuitement depuis la page www.drogues-info-service.fr/documents/commande par les professionnels souhaitant les diffuser. Ce nouveau matériel fera aussi l'objet d'un vaste plan de diffusion auprès des professionnels de la santé, du social et de l'éducation qui les recevront d'ici la mi-juin. Articles en lien : Rapports d'Observation (activités des années passées d'Addictions drogues alcool info service) Bienvenue sur le nouveau site Drogues info service (présentation du site) ]]> Sept familles de cannabinoïdes de synthèse classées comme stupéfiants arrêté ministériel du 19 mai 2015 paru au Journal Officiel le 27 mai 2015. Le classement porte sur les cannabinoïdes appartenant aux Naphtoylindoles, Naphthylméhylindoles, Naphtoylpyrroles, Naphtylidèneindènes, Phénylacétylindoles et Cyclohexxylphénols. Derrière ces noms se cachent plusieurs dizaines de substances spécifiques, dont l’arrêté du 19 mai dresse une liste non exhaustive. Cette décision intervient après une évaluation de ces substances par la Commission des stupéfiants et psychotropes de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) qui a mis en évidence leur dangerosité potentielle ainsi que le risque d’abus et de dépendance attaché à certains de ces cannabinoïdes. Vendus jusqu’à présent en tant que « drogues légales », l’usage de ces cannabinoïdes de synthèse devient passible d’un an de prison... ]]> Le protoxyde d'azote "sous les projecteurs" Le protoxyde d'azote, qu'est-ce que c'est ? Depuis quelques semaines, il fait l'objet d'articles sur internet et Drogues info service fournit explications et précisions aux journalistes en quête d'informations. Plus connu sous le nom de "gaz hilarant", il est aspiré (souvent dans un ballon de baudruche), provoque un état euphorique, des fous rires et modifie la perception pendant quelques secondes. Mais quels sont ses effets sur l'organisme ? Les risques ? Comment les réduire ? > Lisez notre fiche consacrée au protoxyde d'azote ]]> Alerte sur une drogue : la PMMA Des comprimés « d’ecstasy » en circulation en Europe contenant de fortes doses de paraméthoxyméthamphétamine (PMMA) ont été signalés récemment par le système de veille belge Eurotox (1) et l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT). Plusieurs décès avec présence de PMMA ont eu lieu ces derniers mois au Royaume-Uni et en Belgique. Les comprimés identifiés ont une forme de pentagramme avec comme logo le « S » de Superman, mais d’autres formes de comprimés peuvent  aussi en contenir. La PMMA est une drogue relativement méconnue des usagers, notamment parce qu’elle est le plus souvent vendue sous le nom « d’ecstasy » et que les consommateurs s’attendent donc à prendre de la MDMA. La PMMA est d’ailleurs souvent mélangée à de la MDMA ou de la paraméthoxyamphétamine (PMA) (2). Plusieurs facteurs rendent cette drogue dangereuse : Articles en lien : La fiche cannabis du Dico des drogues Le cannabis altère-t-il les capacités d'apprentissage et de motivation ? Est-il possible d'arrêter seul le cannabis ? ]]> Les mécanismes des addictions Plaisir et addiction [VOIR LA VIDEO] Dans cette vidéo, le professeur de physiologie Mickaël Naassila explique pourquoi les adolescents boivent facilement plus d’alcool que les adultes mais aussi comment les drogues agissent sur  le cerveau. L’addiction change le mode de fonctionnement du cerveau. Il donne aussi des pistes sur ce qui pourrait permettre de « changer le circuit » et s’en sortir. Au tableau Jean Pol Tassin ! L'addiction [VOIR LA VIDEO] Dans cette vidéo, le professeur Jean-Pol Tassin explique l’addiction vue par un... ]]> Problèmes de drogue au travail : des témoignages à écouter sur le site de France Culture Articles en lien : Arrêter, comment faire ? Personne ne sait, je n'ose pas en parler ]]> Cannabis : ne le laissez pas à la portée des enfants ! A écouter : "Comment repérer et traiter les addictions au travail ?" la page web de la radio. Articles en lien : Comment aider un proche ? Comment savoir si j'ai un problème ? ]]> Prévention : l'Inpes réactualise ses supports de prévention sur le cannabis Retrouvez et téléchargez ces brochures sur le site de l’Inpes : Affiche « Ce que le haschisch te donne d’un côté, il te le retire de l’autre » Brochure « Cannabis ce qu’il faut savoir » Brochure « Cannabis : les risques expliqués aux parents » Guide d’aide à l’arrêt du cannabis ]]> Classement comme stupéfiants d'une famille de substances hallucinogènes l’arrêté sur le site Legifrance. A lire sur les NBOMe : Classification « générique » des NBOMe sur la liste des stupéfiants et psychotropes en France   Articles en lien : Les drogues interdites ]]> Vidéo : les principaux faits sur les drogues en Europe
  • La prédominance du cannabis en Europe
  • Les coûts de santé importants dus à l’héroïne et à l’injection
  • La grande quantité des stimulants disponibles (cocaïne, MDMA et nouvelles drogues de synthèse)
  • Ces illustrations animées abordent les aspects épidémiologiques, sanitaires, répressifs et les données connues sur le trafic de ces substances. Découvrez la vidéo en français. Articles en lien : European Drug Report 2015 (en anglais, site de l'OEDT) ]]>
    Le coût des drogues illicites pour la société française Le Coût Social des Drogues en France », réalisé par Pierre Kopp. D’après cette étude, le « coût social » annuel des drogues illicites est de 8,7 milliards d’euros. 67,6% du « coût social » des drogues illicites est dû aux pertes en vies humaines (estimées à environ 1600 morts par an), aux coûts de perte de qualité de vie et aux pertes de production dues aux drogues. Le coût des drogues illicites pour les finances publiques s’élève à 2,4 milliards par an. En effet, par définition, les drogues illicites ne rapportent pas d’argent à l’État si ce n’est indirectement, par les économies de retraites engendrées par les décès prématurés et qui sont estimées à 24,6 millions d’euros. La dépense de la collectivité pour les drogues illicites se répartit donc entre le coût des soins (1,4... ]]> Les CJC, qu'est-ce que c'est ? la page dédiée aux CJC ou appelez au 0800 23 13 13, 7j/7 de 8h... ]]> Les usages de drogue au travail : reconnus mais peu visibles cannabis qui arrive en tête : 10%... ]]> Augmentation de la pureté de l'héroïne : la vigilance est de mise Dans un tel contexte, la vigilance est de mise ! Nous vous recommandons de ne jamais consommer seul votre héroïne, ce qui permet à un proche d’alerter les secours en cas d’overdose (15 le SAMU). En présence d’un nouvel achat, testez-le avec prudence : utilisez une faible dose d’abord et préférez un autre mode de consommation que l’injection. Evitez autant que possible de consommer d’autres produits en même temps et notamment ceux qui pourraient favoriser la dépression respiratoire et le coma : les autres opiacés (méthadone, codéine, tramadol…), l’alcool, les benzodiazépines, la kétamine, le GHB-GBL et les anti-histaminiques. Des conseils pour les proches En présence d’une personne qui fait une overdose,... ]]> "Addict'Aide", un nouveau site internet dédié aux addictions Addict’Aide, le village des addictions ». A partir d’une page d’accueil graphique représentant un village, les internautes peuvent explorer 11 « maisons » thématiques qui leur permettent de découvrir des contenus proposés via différents partenaires. Des maisons par « publics » sont présentées : la maison des usagers, celle des familles ou encore celle des jeunes. Des maisons pour les institutions et les professionnels également : la maison des professionnels de santé, celle des pouvoirs publics, celle de la recherche ou encore celle de la presse. L’information, la prévention et le repérage des problèmes d’addiction ainsi que les questions de santé au travail ne sont pas oubliés. D’autres rubriques sont proposées en plus des « maisons ». Le menu « Les addictions » déroule des entrées par produit ou type d’addiction, « les ressources » permet de trouver... ]]> Un documentaire scientifique très riche sur le cannabis L’esprit sorcier », sous-titré « le site de la science et de la découverte », consacre un dossier interactif au cannabis. Au travers de nombreuses vidéos sont abordés les effets du cannabis sur le cerveau, la dépendance au cannabis, l’histoire de cette drogue, le statut légal du cannabis à travers le monde. Réalisé en partenariat avec des spécialistes des addictions et de la législation sur les drogues, ce documentaire au format web permet à l’internaute de faire rapidement « le tour » de ces questions pointues tout en restant accessible. A voir : « Cannabis, quand ses pieds montent à la tête » Articles en lien : Les questions les plus fréquentes sur le cannabis  La fiche cannabis du Dico des drogues ]]> Deux salles de consommation à moindre risque autorisées à titre expérimental Vidéo : "Clap ! sur les Addictions - le cannabis" Articles en lien : > Le cannabis altère-t-il les capacités d’apprentissage et la motivation ?   > Peut-on faire un bad trip avec du cannabis ? ]]> Dépistage routier des stupéfiants : les nouveautés de la loi de santé L’analyse de la salive simplifie la procédure Jusqu’à présent, si le dépistage des stupéfiants sur le bord de la route était positif, il devait être confirmé par une analyse sanguine. Bientôt, si le résultat est positif, les forces de police pourront procéder à un second prélèvement de salive qu’ils enverront dans un laboratoire d’analyses toxicologiques. L’analyse précise de la salive permettra de déterminer s’il y a des traces de stupéfiants ou non. Si des traces de stupéfiants sont retrouvées, le conducteur sera poursuivi pour « conduite en ayant fait usage de stupéfiants » et encourra deux ans de prison, 4 500 euros d’amende, la perte de 6 points sur son... ]]> Création de Santé publique France Depuis le 1er mai, l’ensemble des services du Groupement d’intérêt public Addictions drogues alcool info service (Adalis) sont repris par la nouvelle Agence nationale de santé publique, Santé publique France. Les services d’aide à distance (ligne téléphonique et site internet) de Drogues info service sont intégrés à la nouvelle agence et poursuivent leurs missions d’information et d’aide en direction des publics. Découvrez l’ensemble des missions de Santé publique France sur son site internet : www.santepubliquefrance.fr Lire le communiqué de presse ]]> ASUD ouvre une plateforme "Drogues et hépatite C" Sur son site internet, l’association Auto-Support des Usagers de Drogues (ASUD) vient de lancer une rubrique « Drogues & Hépatite C ». A travers 9 fiches pratiques, les internautes pourront connaître la maladie, s’informer sur le dépistage, acquérir les gestes pour prévenir la transmission du virus et comprendre comment se soigner. Ces outils à la fois complets et accessibles permettront à chacun, quel que soit son degré d’implication, de trouver des informations qui le concernent directement. Les personnes intéressées pourront également échanger sur ces sujets à l’aide de forums consacrés à la maladie et aux traitements. Articles en lien : La réduction des risques ]]> Une campagne de l'ONU : "Ecoutez les enfants d'abord !" Dans un document à l’attention des décideurs politiques, l’organisme international souligne que la bienveillance aide les enfants et les jeunes à s’épanouir. Il invite les décideurs à mettre en place des programmes de « compétences parentales » qui ont prouvé leur efficacité chez les jeunes en matière de réduction des usages détournés des médicaments sur ordonnance. D’autres programmes, aidant les enseignants... ]]> Questions les plus fréquentes sur nouveaux produits de synthèse (NPS) Drogues info service publie une nouvelle rubrique « Questions les plus fréquentes sur les nouveaux produits de synthèse (NPS) ». Les NPS, qu’est-ce que c’est ? Ces produits sont-ils légaux ? Quels sont les risques ? À quoi cela ressemble-t-il ? Certaines questions plus spécifiques sont également traitées, comme par exemple de savoir s’il y a du THC dans le cannabis de synthèse ou encore que sont ces fameux « sels de bains » vendus sur Internet. Le tout dans un format court et concis. Pour en savoir plus sur les NPS, lisez Questions les plus fréquentes sur les nouveaux produits de synthèse (NPS). Pour approfondir le sujet vous pouvez également lire dans notre Dico des Drogues :
    • La fiche cannabis de synthèse
    • La fiche cathinones
    • La fiche pipérazines
    • La fiche méphédrone (4MMC)
    • La fiche méthoxétamine
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    Drogues stimulantes et fortes chaleurs : attention au coup de chaud Beaucoup de drogues stimulantes (ecstasy, cocaïne, cathinones, amphétamines…) ont la propriété naturelle d’augmenter la température corporelle et de favoriser la déshydratation. Par temps de canicule il est conseillé de reporter ou diminuer ses consommations. En cas de consommation il est conseillé de boire régulièrement, de limiter ses activités physiques (malgré la stimulation) et de rester dans la fraîcheur. Si vous vous sentez mal (mal de tête, nausée, vertige…) vous faites probablement un coup de chaud. Appelez ou faites appeler les secours (112) qui sont tenus par le secret médical. Par temps de fortes chaleurs il est conseillé :
    • De boire de l’eau régulièrement
    • De passer du temps dans un endroit frais
    • De se rafraîchir en mouillant son corps
    Retrouvez les conseils de Santé publique France Canicule : les précautions à prendre.  ]]>
    Chemsex : un site pour s'informer et faire le point Chemsex.be propose non seulement un graphisme original mais aussi et surtout des informations pointues sur les « chems » (drogues), la réduction des risques, les contextes d’utilisation des chems et la gestion des lendemains. Un site complet qui s’adresse à tout homme ayant des relations sexuelles avec des hommes en utilisant des drogues. Pour le public Français, des informations sur les aides en France sont proposées dans l’article de Drogues info service consacré au chemsex. Le site : Chemsex.be La source : Découvre le premier site francophone qui parle de sexe et de drogues sans jugement ]]> Overdose d’opiacés : de la naloxone disponible en pharmacie Depuis quelques mois un kit anti-overdose d’opiacés à base de naloxone peut être délivré en pharmacie, avec ou sans ordonnance. Prenoxad® est un kit d’injection intramusculaire à administrer en cas de surdosage à un opioïde et en attendant les secours. Ce kit d’injection est également disponible dans les CSAPA, les CAARUD et les unités de prévention et de soins spécialisées. Prenoxad® est le second kit-anti-overdose disponible en France après le spray nasal Nalscue®. Ce dernier n’est cependant pas disponible en pharmacie mais uniquement dans les CSAPA, CAARUD et unités de prévention et de soins spécialisées. Prenoxad® et Nalscue® devraient être bientôt rejoints par d’autres spécialités à base de naloxone. Plus d’informations sur Prenoxad® peut être obtenue sur un site dédié. Mise à jour 12/01/2021 : Nalscue® n'est plus commercialisé en France. Prenoxad® reste disponible. Un nouveau spray nasal à base de naloxone devrait être commercialisé à... ]]>