Antigone - 10/06/2020 à 23h26

Bonsoir,

Une amie, dont a consommation devenait quotidienne et vraiment dangereuse ( dosage +++),
je la voyais consommer sa c sans plus aucun plaisirs. C'était à mes yeux de l'auto-destruction pure. Rien de "récréatif", au sens des premières consos (et je n'incite pas à la première conso...).

La situation nécessitait une hospitalisation. Elle est d'ailleurs encore d'actualité. La drogue décidait de tout. Peut-être, pardon de le dire, pardon pour elle, mais très certainement de sa vie.
Je l'ai convaincu d'aller en clinique. Le milieu fermé l'a mise à distance physique du produit. L'hospitalisation longue dans ce cas précis est La solution. Je n'en doute pas.

Vous parlez de solution médicamenteuse. Peut-être selon le consommateur, le pourquoi il y a conso, la durée d'imprégnation, les différents traitements déjà mis en place. La C n'a pas de substitut comme pour d'autres drogues.

Alors compléter une traitement par médicaments (curatif de fond) semble impératif en milieu hospitalier, du moins, dans le cas précité.

Enfin, la culpabilité résulte de sa propre consommation. JE la gomme en consommant, ainsi de suite..

J'espère avoir un peu répondu à votre question, et vous souhaite une bonne continuation.