déjà plusieurs sevrage en hospi a marmottan 3 poste cure et a chaque foi rebelote je déconne sans même man rendre conte ..dans mon couple sait la guerre normale.. personne ne veux d'un mari que se défonce qui se détruis si tu es aimé... donc prise de tette quotidienne du a ma dépendance je fume cette merde drogue légale la pharmacienne me dit toujours a la semaine prochaine et moi je la maudit a chaque foi a croire que sait un bon businesse pour eux???je veux vraiment arrêté.. car qui veux d'une vie comme sa ??? quand je suis en chien sait mange merde me le vende 10 euros imaginé Alors que sait la sécu qui leurs paye. et moi je demande toujours a dieu de les maudire car il me laisserai en manque si y'a pas d'argent vla l'entourage sait honteux mes eux non pas de fierté je pence il ne voix que l'argent et le pire sait queux aussi ceux défonce il connaisse le manque mais son San pitié 10 euros ou crève comment puis je arrêté San trop souffrire.. car je suis souvent en galère de sub j'arrive pas a géré et faux que jarrete absolument . SOS . a la dure San trop souffrire.. la j'ai 3 plaquettes de 2 mg et je veus arrêté avec sa j'espère j'ai 42 ans commencé l'héro a 16 ans le sub 10ou15 ans je le fume au lieux de le prendre comme un traitement. chui dans la merde et a force de me prendre la tette avec sait crevard un jours sa va sur man malle se terminé ..voilla pouvez vous m'aidé a d'écros un moyen sérieux qui a fait sait preuve mes en ambulatoire a la baraque coi svp aidé moi merci

Mise en ligne le 05/12/2013

Bonjour,

La première chose qui nous vient en lisant votre message expliquant vos difficultés avec le subutex c'est pourquoi ne pas passer à la méthadone. Effectivement, vous n'auriez plus la possibilité de détourner le mode d'usage de votre traitement de substitution et cela cadrerait peut être davantage votre démarche d'arrêt.

En dehors du sevrage hospitalier ou "à la dure", que ce soit avec de la méthadone ou avec du subutex, le principe est le même, il s'agit de réduire très progressivement et par palliers successifs les dosages, pour ne pas souffrir du manque, jusqu'à ne plus rien prendre du tout.

Evidemment, ce que nous vous disons là est sans compter tout le versant psychologique de la dépendance aux opiacés qui est pourtant fondamental à prendre en compte et à prendre en charge. Comment se fait-il que vous ne preniez pas le subutex "normalement" mais en le fumant, comment se fait-il que vous en consommez au-delà de ce qui vous est prescrit... Autant de questions qui seraient à travailler avec un professionnel dans le cadre d'un suivi ambulatoire si vous le souhaitiez.

Vous nous sollicitez sur "un moyen sérieux" pour décrocher mais nous sommes persuadés que vous n'êtes pas sans connaitre les différentes possibilités. Nous ne pensons pas pouvoir vous apprendre quoi que ce soit à ce sujet. Ce sur quoi nous pouvons vous pousser à vous interroger c'est sur les raisons pour lesquelles vous n'arrivez pas à décrocher, sur le fait de "redéconner", comme vous le dites, sans même vous en rendre compte.

Si vous n'avez plus de suivi en centre d'addictologie nous vous encourageons à en reprendre un afin de refaire le point sur la substitution mais également afin d'être accompagné et soutenu psychologiquement dans votre démarche d'arrêt. Si vous le souhaitez, vous avez également la possibilité de nous joindre au 0 800 23 13 13 tous les jours de 8h à 2h (appel anonyme et gratuit depuis un poste fixe) afin de discuter plus précisément de votre situation et de vos difficultés.

Cordialement.