Bonjour, je suis un jeune polyconsommateur ayant été dépendant au tramadol maintenant substitué avec du Subutex 2mg, seulement voila le traitement me convenait parfaitement les premier mois comblant totalement le craving, le manque physique comme psychique mais l'accoutumance à fait que maintenant ca comble bien moins qu'au début. J'ai tenté a plusieurs reprise de consommer du Tramadol ou de la codéine a des dose conséquente tramadol jusqu'à 500mg en une prise et codeine pareil de 400 à 600mg mais même en attendant 48h-72h rien n'y fait ma tolérence a exploser a cause du subutex et les opioides de pallier deux ne me font plus rien, après une tentative de récupérer de la morphine de rue (Skenan Gare du Nord) pas tres concluante (menace au couteau raquette de mon argent) je me suis dit que ce n'etait peut être pas la meilleur solution le marché noir... puis des potentiel personne pouvant me procurer de l'Oxycontin que j'ai refuser (question d'éthique je ne pouvais accepter, meme si j'en mourrait d'envie je ne pouvais accepter de l'oxy d'une personne ayant un cancer...) fin bref cela permet de remettre un contexte meme si ce n'es que des exemple et qu'il y a eu plein d'autres histoires de ce genre. J'ai fini par me tourné réellement vers la médecine et l'addictologie en essayant de trouver un compromis avec mon addictologue (qui m'envoya chier car j'ai été demander le subutex a mon généraliste pour des raisons qui a cette période, été totalement valable pour moi du a des excès finissant a l'hôpital, overdose, melange détonnant etc...) c'etait le subutex pour m'empêcher de consommer des opioides ou un overdose qui aurait été fatale tellement j'était déconnecter de la réalité et consommant toujours plus . Maintenant je n'ai plus de suivie addicto j'ai repris rdv au csapa avec un nouvelle addictologue que je n'ai vu qu'une fois qui estime que mes consommation récente doivent etre gerer par un psychologue et non un addictolgue (le psychologue qui meme si il accepte de me suivre maintient l'idée qu'un suivie addictologique est indispensable) J'aimerai ainsi tenté un traitement hors AMM en passant par la Circulaire Girard, apres avoir bien étudier la chose parler avec des personne dans le meme cas que moi je pense qu'un sevrage progressif/dégressif au Dicodin L.P serai bien plus adapter que la buprénorphine que je n'aarive pas a diminuer seule (mon généraliste me renvoyant vers le CSAPA) la galere car tout le monde me renvoie vers le csapa et le cspa me renvoi tout cours estimant que mon cas n'es plus "assez grave" pour que je sois suivie régulierement ce qui a causé une reprise des consommation compensant cette envie d'opioides avec des benzo, de l'alcool, du cannabis, mais aussi a gerer les probleme dfe traitement tout seul a 18ans... apres voir abusé du traitement subutex mes 2mg quotidient ne couvrait plus les 24h me retrouvant out les jours en manque j'ai du de moi meme me procurer du Tussidane ( dextromethorphane dissociatif agissant sur les récepteurs NDMA pour faire baisser la tolérence) et me recaler sur mes 2mg de buprénorphine quotidien. Fin voila j'ai du mal a aller droit au but tellement il y a de chose qui se sont passé que je trouve pour certaines inadmissible moi qui avait totale confiance avec mon addicto qui ma laisser tomber en l'espace de quelques mois pour un rien... J'aimerai pouvoir changer de TSO et avoir un avis professionel sans jugement et sencé pas un simple "Arretez de vous prendre pour un medecin jeune homme. " alors que je demande juste si tel traitement peu etre possible ? utile ? le tout en etant toujours respectueux. Mais c'est a croire que la majorité des médecins ne traite que les moutons les personne avant leur cachets sans meme savoir se que c'est quand moi je cherche toujours a comprendrte pour mieux comprendre cette maladie qu'est l'addiction et tout faire pour qu'elle ne me pourrisse pas la vie a un point de non retour. désolé pour les fautes d'orthographe par avance et le contexte un peu long a expliquer pour pouvoir mieux comprendre mon cas. Mais voila mes question porte simplement sur cette Circulaire Girard autorisant les opiacés hors AMM pour la dépendance lorsque les tso classique ne fonctionne pas. Ainsi que sur le Dicodin proche de la codeine, avec une liberation prolongé empechant le pique d'euphorie ce "rush" "flash" opiacé, donc je pense bien plus adapté que le subutex qui ne me convenant pas "m'oblige a me tourner vers d'autre produit par simple envie de combler cette envie infernale.

Mise en ligne le 24/01/2023

Bonjour,

Nous sommes sensibles à vos interrogations en ce qui concerne le traitement qui serait le plus adapté à votre situation. Nous sommes conscients que vous avez mené beaucoup de recherches et expérimenté différents traitements qui ne vous ont pas permis de répondre à vos besoins.

Nous ne pouvons que vous inviter à vous recentrer sur vos besoins. Si ceux-ci correspondent à la nécessité d'un sevrage, vous pouvez faire le point avec votre médecin addictologue qui pourra adapter les dosages de votre traitement de substitution afin que cela soit confortable pour vous et que vous puissiez vous sentir bien dans votre vie. Comme vous le savez déjà les traitements de substitution n'ont pas pour vocation de vous procurer des effets psychoactifs mais ils sont là pour vous permettre de reprendre le cours de votre vie sans avoir à subir de syndrome de manque. Même à dose élevée, il n'y aura pas d'effet euphorique et sédatif. Par ailleurs le subutex n'expose pas à un risque de tolérance. 

Nous entendons que vous souhaitez que votre médecin se prévale de la circulaire Girard pour vous prescrire des médicaments qui vous semblent plus adaptés et qui vous permettraient un effet sédatif et euphorique et que cela vous semblerait plus aisé de diminuer progressivement ce type de médicaments.

Seul un médecin peut vous aider pour cela. Il pourrait vous être utile de vous sentir libre d'exprimer ce que ces différentes expériences vécues vous ont fait ressentir et d'échanger sur ce que vous imaginez pouvoir vous convenir mieux.

Si c'est un sevrage auquel vous aspirez, il se peut qu'un sevrage hospitalier soit indiqué pour vous si vous souhaitez être entouré et soutenu. Sachez que si vous craignez le craving (l'envie irrépressible de consommer), ce sevrage hospitalier peut être consolidé par un séjour en soins résidentiels collectifs (post cure).

Comme nous ne savons pas ce qui pourrait vous convenir, nous ne pouvons que vous inviter à contacter votre médecin addictologue ou à nous contacter si vous souhaitez des renseignements complémentaires sur des orientations possibles.

Notre service n'est pas médical, nous ne pourrons donc pas vous conseiller en ce qui concerne des médicaments ou des posologies. Pour information, nous nous permettons de vous glisser un lien vers nos fiches Buprénorphine et opioïdes.

Pour une orientation, du soutien ou toute autre question, nos écoutants sont disponibles 7jours sur 7 de 8h à 2h du matin au 0800 23 13 13 (appel anonyme et gratuit) ou par tchat depuis notre site internet de 14h à minuit

Avec tous nos encouragements dans vos démarches,

Bien cordialement.