JE VOUDRAIS SAVOIR COMMENT SAVOIR QUEL EST LA SORTE DE DROGUE QUE MON FILS CONSSOME CAR JE SAIS QUE L AN PASSER IL CONSOMMAIT DE LA MARI MAIS LA IL A DES COMPORTEMENT PLUS AGGRESSIF ET PERD BEAUCOUP DE POIS ALORS JE VOUDRAIS SAVOIR SAVOIR QUEL SORTE DE CONSO IL PEUT PRENDRE. IL TRAVAILLE DANS UNE USINE ET IL FAIS ENVIRON 400.00 SEMAINE ET IL NA JAMAIS UNE CENS SUR LUI ET IL EST CHANGEANS HUMEUR EN QUELQUE SECONDE IL ETAIT PAS COMME CELA IL S EXPRIMAIT IL PARLAIT PAS BEAUCOUP MAIS LA SES UN GROS ZERO ET JE SAIS QUE SA ,,GANG`` CONSOMME ALORS J AI BESOIN DE ME FAIRE GUIDER

Mise en ligne le 17/06/2015

Bonjour,

Nous comprenons vos questionnements et inquiétudes mais les éléments que vous nous donnez ne nous permettent pas de vous dire quelle drogue consomme votre fils, ni même s’il en consomme vraiment.  Ce que vous mettez en avant vous fait faire des liens avec une reprise des consommations mais ce n’est pas si évident. On pourrait avancer bien d’autres hypothèses pouvant expliciter son agressivité, sa perte de poids, ses changements d’humeur, son silence… Tous ces signes en tout cas témoignent du fait que votre fils est peut-être en malaise et il serait intéressant de savoir pourquoi plus globalement il ne va pas bien. S’il recourt à des drogues de manière problématique ce n’est vraisemblablement pas sans raisons singulières.

La seule personne pouvant vous en livrer plus sur ses difficultés, son malaise, ses consommations, c’est votre fils lui-même mais il semble que le dialogue soit rompu. La première chose à faire serait donc d’essayer de reprendre un minimum de lien tous les deux. En tant que parent, vous pourriez solliciter de l’aide pour précisément être conseillé, guidé, soutenu,  face à ces difficultés avec votre fils.

Vous nous écrivez du Québec et nous ne savons pas quel dispositif existe sur place mais nous vous suggérons de vous rapprocher de professionnels spécialisés dans les relations parents/adolescents. En France plusieurs types de structures existent, nous vous les nommons afin que cela puisse vous mettre sur des pistes et trouver des « équivalents » au Québec. Il s’agit des « Maisons des adolescents », des « Point accueil écoute jeunes parents », des « Consultations jeunes consommateurs ».

Il existe aussi peut-être un service équivalent au notre au Québec duquel vous pourriez vous rapprocher pour obtenir des contacts. C’est dans ce sens que nous vous encourageons à poursuivre vos démarches.

Cordialement.