Ce témoignage, écrit initialement en lettres capitales et donc peu lisible, a été remis en forme par le modérateur en respectant la parole de l'internaute telle qu'il l'a proposée. Cependant ce témoignage a été anonymisé (suppression du mail de l'internaute) conformément à notre charte.

Si telle est l'option prise par la personne qui en prend, la diminution des prises d'un opiacés (héroïne, méthadone, buprénorphine...) ne doit pas aller "crescendo" comme écrit - sans doute maladroitement - ci-dessus mais doit au contraire être progressive afin de limiter les crises de manque. Diminuer de 10 mg lorsqu'on prend par exemple 200 mg d'un opiacé ou d'un substitut n'a pas la même "valeur" que de diminuer de 10 mg lorsqu'on prend 100 mg : dans le premier cas la diminution est de 5%, dans le second elle est de 10% donc "plus forte". La meilleure option reste d'entamer une diminution en coordination avec un médecin spécialiste des addictions afin d'éviter certaines erreurs. Notre rubrique "Adresses utiles" propose le répertoire national des Centres de sons, d'accompagnement et de prévention des addictions (Csapa) où peuvent être rencontrés gratuitement des professionnels de l'addictologie.