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je fume du cannabis et je n’arrive pas à arrêter.

Par Profil supprimé

35 réponses


Profil supprimé - 14/05/2021 à 16h47

Moustik merci de ton témoignage !
Une chose que je n’aurais jamais imaginée il y a 5 mois de ça, j’ai définitivement arrêter. J’ai fumé du cbd quelques semaines avant d’arrêter totalement aussi. Au début je fumais les 2 puis après j’ai fumé les miettes de beuh en mélangeant au cbd, puis je me suis habituée au cbd et j’avais donc plus besoin de l’effet et enfin j’ai arrêter le cbd. Et aujourd’hui la cigarette me suffi, bon je fume plus de clopes qu’avant du coup. Mais je suis très fière d’avoir arrêter. Et pour être honnête je pensais jamais arrêter de ma vie je voyais pas ma vie sans

Aucun problème si tu veux en discuter en priver si je peux t’aider ça me fera très plaisir, j’aurais adorer qu’on en face autant pour moi

Profil supprimé - 14/05/2021 à 17h56

Bonjour Moustik,
Pour commencer, bravo pour vos 2 semaines sans THC, c'est une première étape, et vous avez franchi un palier compliqué, c'est une très bonne chose !!!
N'hésitez pas à vous exprimer ici, on est entre gens sevré / en sevrage (ou qui y pense), on peut éventuellement vous aider/soutenir et partager nos expériences.
Et les effets secondaires sont courant quand on arrête la drogue, donc reste à savoir quels sont les effets que vous ressentez !
En attendant de vous lire, je vous souhaite bon courage pour la suite.

Profil supprimé - 15/05/2021 à 08h51

Bonjour. Je vien au nouvelle.

Et je tien a vous apporter mon témoignage. Suite à des problèmes de santé (ganglion, mal à avalé, mal à respirer, et envie suicidaire) j ai fait un tas d examen. Au final, je me retrouve à 29 ans, avec un emphysème au deux poumon, avec un grand risque de pneumothorax. La cigarette aurais pu etre à l origine de tout sa, mais si j avais 40 à 50 ans. C est une maladie dégénérative, en gros sa progresse toujours. Pour le moment il me reste 67% de ma capacité à expiré. Le pneumologue ne comprenais pas, j ai donc parlé de mon adiction. Et il a donc compris. En fait c est le cannabis qui m'a créé ça.
J ai donc un rdv en adictologie.
Juste la peur ma fait arrêter. La je ne fume plusue des cigarettes, mais mon mal être est très important. Tout se que je veux, c est dormir et ne plus me réveiller. Car si je fumais c était pour dissimuler une dépression depuis mon enfance. On sait que le cannabis est un anxiolitique puissant, et surtout on sais su il ne faut absolument pas soigner une dépression avec des anxiolitiques, car sa empire et provoque des psychoses. J ai réussi à parler de mon mal être en écrivant une lettre que j ai simplement donner à mon médecin traitant. Qui a prévenu un centre médicaux social. Qui m ont appelé dans la foulée et pris en charge. Maintenant je me laisse guider et sa commence à aller mieux. Même si je sais que sa risque de prendre beaucoup de temps, je sais que je vais m en sortire et pouvoir revivre. Je vous conseil sincèrement d écrire à votre médecin sans retenir vos mots. Il comprendra et c est beaucoup plus simple. Force à vous

Profil supprimé - 17/05/2021 à 09h42

Si je peux me permettre, je fumais en partie car ça m’aider à dormir, j’ai toujours eu des troubles du sommeil. Et j’ai finalement décider d’arrêter car le cannabis ne m’aider plus à dormir. Il me crée des angoisses plus qu’autre chose.
Aujourd’hui je ne fume plus, et je ne dors plus non plus. C’est à dire que je suis très fatigué je vais me coucher vers 00h et à 6h je remarque que je ne me suis toujours pas endormie. Et je fini par dormir peut être 2h ou 3h de 7h à 10h, ce qui n’est pas suffisant. Et la nuit d’après rebelotte, maigres la fatigue qui s’accumule je n’arrive plus à trouver le sommeil, rare sont les nuits où je vais bien dormir. J’ai essayé les huiles essentielles, la lithoterapie, et je ne veux surtout pas qu’on me fasse prendre des cachetons, sinon à quoi bon arrêter la beuh pour prendre une autre « drogue ». J’ai également arrêter car j’avais des gros troubles digestifs, douleur à l’estomac et au intestins. Depuis que je fume plus je n’ai plus de grosses douleurs à léstomac, en revanche mes intestin c’est la fête toute les nuits. C’est de pire en pire, j’ai pris des traitements à base de simeticone etc mais rien n’y fais, sitôt que je vais au lit et que je m’allonge, paf j’ai le ventre qui chante et ça fait des borborygme intense et après douleur.

Je suis un peu perdue sachant que je travail en tant que serveuse pour la première fois samedi 22 mai.
Voilà j’essaie quand même de vivre mais c’est pas simple d’arrêter le cannabis. J’en suis très heureuse je ne voudrais pas y retoucher pour rien au monde mais ne pas dormir est assez difficile, si des gens on des conseils je prend

Profil supprimé - 17/05/2021 à 14h22

Coucou Ali. Je suis content que tu ai arrêté, et aussi que tu ai un travail. Moi sincèrement je pense que tu dois passer par des medicament qui pourais te calmer.
Car en effet tu dois être très anxieuse. Je pense que tu le sais déjà, mais le stresse, l anxiété ou même la déprime toit se qui est psychique à des répercutions physiques sur le corps. Un exemple très connu est l ulcère a l estomac, mais il y en a beaucoup d autre. Il faux bien que tu ai conscience que lorsque le psychisme est détraqué, il modifie le fonctionnement de ton corps et ça c est chimique. Quoi que tu face si tu ne te rerégle pas chimiquement sa n ira pas. Les médicaments ne sont pas des drogues si ils sont utilisés au bon moment et suivi avec un médecin. Apres essay de bien réfléchir c est de la logique. Courage et force a toi.

Profil supprimé - 17/05/2021 à 15h53

Bonjour Ali,

Bravo pour votre arrêt, si je peux me permettre, je suis fier de vous !!! Et sans hypnose finalement, bravo ! happy
Est-ce que la cause de vos insomnies vient du fait que vous réfléchissez/ pensez trop le soir ?
Si c'est le cas, peut-être que vos insomnies passeront quand vous reprendrez le travail, après une grosse journée de service la fatigue sera bénéfique, et surtout le travail fait du bien mentalement donc il est probable que vos nuits soient meilleures (une fois le stress des premiers jours passés) !
ça a été le cas pour moi lors de mon sevrage, et j'avais le même état d'esprit : je ne voulais pas remplacer une drogue par une autre donc je suis passé par un traitement phytothérapique au début, qui a fonctionné quelques jours seulement mais en définitive, le travail a été le seul remède efficace pour ma part.
Ou alors c'est une psychose peut-être ? Angoissez-vous à propos de vos intestins ? Moi je croyais que j'allais mourir d'un infarctus pendant plusieurs mois, ça rendait mes nuits plutôt tumultueuses !! blunk
Je ne suis pas médecin donc mon avis n'est que le reflet de ma propre expérience, mais si ça peut éventuellement vous aider ...
Je vous souhaite bon courage pour la suite, et surtout prenez soin de vous, ça aide aussi à se sentir mieux !!
P.S : bon courage pour votre premier jour samedi !!


Et bonjour Zcreativ,
Je vous souhaite également à vous beaucoup de courage pour affronter cette situation, vous êtes prêt à vous battre et faites preuves d'optimisme, c'est une très bonne chose !!! Force à vous !

Pizzawomen - 17/09/2021 à 11h47

Bonjour j’ai bientôt 22 ans, j’ai commencée à fumer du cannabis en rentrant au lycée il y a maintenant bientôt 7 ans parce qu’on m’avait tentée et que mon entourage fumait déjà pas mal !
Je fumais sur les joint des autres jusqu’au jour où je commençais à me procurer mon propre paquet, et de plus en plus le cannabis a pris place dans ma vie, sans dire que j’étais dans un mal absolue durant toute ces années, le pétard m’a fait maintenue en vie, c’est devenue beaucoup trop vitale, je fumais beaucoup tous les jours j’ai fumée la cigarette pendant un an mais j’ai arrêter parce que je fumais trop de cannabis.
J’ai du arrêter après une opération des amygdales pendant 2 semaines, à la fin des deux semaines j’étais desséchée sans vie déprimée je pleurais bref effet sevrage j’ai craquer et refumer de plus belle tous les jours, oui parce que je suis déjà née avec des problèmes de santé respiratoire, mais avec le temps tout s’est dégradée je le sentais petit à petit que tout ça me brûlait à petit feu, mais c’était pas grave parce que ça allait encore et que j’étais déjà bien addict, à force une tRhinite chronique est apparue, crachats, douleur au thoracique, mal au coeur, mais ça allait…c’est ce que j’étais convaincue de me faire croire, j’allais si mal mentalement que c’était devenu une partie de moi. Impossible de m’en séparée. J’ai pris des drogues dures en soirée ou teuf mais ce n’est jamais allé plus loin je ne suis pas du tout addict et je ne bois pas ou très rarement.
Mon compagnon fume aussi depuis longtemps, mon entourage fume aussi, je veux arrêter je sais que petit à petit ça bousille ma vie, ma santé. J’ai du faire une opération des sinus pour en retirer, m’enlever les amygdales, pris des traitements pour mes problèmes respiratoires qui s'aggravait à cause de la fume, je pense au cancer jour et nuit, mes douleurs et courbatures, les poumons qui crame, je n’arrive plus à travailler, je n’ai plus de force, plus de motivation maintenant, je veux m’en sortir je rêve de n’avoir jamais commencée, j’ai mes côtes qui gonfles et j’ai des douleurs de partout et bordel je n’ai que 21 ans, je suis terrifiée, je n’arrive pas à me prendre en main seule et demander de l’aide encore moins, j’arrive à peine à contacter un docteur je suis une personne anxieuse assez facilement irritable,
Je m’en sens incapable j’ai peur je sais que je dois arrêter à tout prix pour ma santé mais je sais pas si je tiendrai le coup j’arrive pas à me lancer.
J’ai besoin d’aide d’urgence je pense…
Merci.

Moderateur - 17/09/2021 à 15h18

Bonjour Pizzawoman,

Vous savez vous avez déjà franchi des étapes importantes qui vous mèneront vers un sevrage et la réussite !

En effet vous avez pris conscience qu'il y avait un problème, une contradiction entre le fait de fumer du cannabis tout en ayant vos problèmes de santé.

Vous avez aussi la volonté de changer cela et c'est primordial.

Donc déjà bravo à vous !

Ce qui vous manque encore c'est la confiance en vous, le cheminement pour renoncer aux plaisirs à court terme que vous procure le cannabis, la méthode et le soutien pour y arriver concrètement.

C'est en fait tout à fait normal d'avoir d'un côté envie d'arrêter, d'être terrifiée à l'idée de le faire et d'aimer encore un peu ce que vous procure le cannabis. Cela s'appelle de l'ambivalence. Saisissez-en vous ! On ne vous demandera jamais, dans une consultation dans un centre d'addictologie, de faire du "tout ou rien", d'arrêter ou rien. Au contraire vous y trouverez un accueil bienveillant qui va vous prendre par la main là où vous en êtes et vous aider justement, à votre rythme, à prendre confiance en vous et à faire des progrès. Avec eux vous pouvez prendre votre temps, vous pouvez poser des questions sur comment cela va se passer "après", vous pouvez préférer diminuer plutôt que de tout arrêter. Les principes des Centres de soins, d'accompagnement et de prévention en addictologie (Csapa) c'est vraiment de s'adapter à vos objectifs, de vous aider à les clarifier et de vous aider à mettre en œuvre ce qu'il faut pour que cela passe pour le mieux pour vous.

Encore une fois vous avez déjà franchi des étapes importantes alors même si je sais que vous avez écrit que vous ne vous sentiez pas capable de demander de l'aide pour le moment je vous invite à franchir votre peur. Vous n'êtes pas la seule à la ressentir, d'autres avant vous ont eu exactement la même appréhension. Lorsqu'ils ont rencontré un professionnel dans un CSAPA ils se sont pourtant sentis écoutés, très soulagés et enthousiastes à l'idée qu'ils allaient pouvoir avancer. Et vous allez voir : les choses vont être beaucoup plus faciles que vous ne l'imaginiez avant d'y aller.

Courage à vous. Si vous souhaitez l'adresse d'un CSAPA nous pouvons vous en donner. Les consultations sont gratuites. Appelez-nous, chattez avec l'un de nos écoutants ou encore utilisez notre rubrique "adresses utiles" (dans la colonne de droite ci-contre).

Cordialement,

le modérateur.

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