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Vos questions / nos réponsesBonjour LCH_02,
Je suis absolument convaincu que tu es sur le bon chemin...cela sera encore peut être un peu trop long pour toi, mais c'est tout à fait normal..
Reste courageux comme tu l'es, tout ça sera bientôt une période de ta vie qui sera loin derrière toi.
Je suis sincèrement épaté par ta détermination à vouloir avancer. C'est elle qui doit être le moteur de tout le reste.
Je ne suis pas assez expert pour te répondre médicalement parlant donc je laisse le soin à des personnes compétentes de répondre à tes questions plus "techniques"
Je voulais juste t'apporter mon soutien et te dire à quel point c'est beau de te lire.
Sans t'en rendre compte, tu as déjà fait un long chemin !!!
Je viendrai chaque fois lire ton avancé, en attendant, portes toi bien !
Bonjour tout le monde,
Vos recit m ont beaucoup touché, j'admire votre sens du partage et je trouve que vous avez une conscience de vous même qui est incroyable. Jamais je n aurais osé me dévoiler comme cela. Mon histoire est similaire à la votre et comme ça fais 1 ans que vous avez écris, je me permet de vous relancez pour savoir où en êtes vous.
Vous m avez fais réalisé une chose c est que nous psycotons beaucoup car peu de gens peuvent écrire comme vous le faites être en Master, aller voir le médecin, reconnaître ses faiblesses.
Mais bon je pense qu il est plus facile d'admirer les autres que soit même.
Je vais vous partagez mon histoire avec cette drogue.
Tout d abord j ai commencé à une période de ma vie où tout allait bien le cannabis pour uen personne comme moi très actif, qui vis à 2000 m à fait beaucoup de bien, m as permis de me centrer sur moi même. Chose que je n ai jamais pu faire à cause de problème familiaux.
J'ai toujours eu enormement d amis, de copine et j avais une certaine aisance social qui m a ouvert beaucoup de porte.
Mais ai fils des années les briques ont commencé à tomber 1 par 1, de moins en moins d amis, une famille qui a éclaté, j ai arrêté mes études et en plus avec le covid, socialement ça a été très dure. Voulant me reprendre en main j ai arrêté en mars 2023, mais comme vous j ai eu l impression que ma vie été mieux avec le cannabis.
Durant cette période de sevrage, j ai eu de la dépersonnalisation, des crises d angoisse, de l anxiété et du stresse quotidient. C est comme si je n étais plus moi même et je ne voyais pas le bout du tunnel.
Comme vous j avais l impression d être fou, je n avais goût à rien, plus de plaisir, plus de libido, plus de passion, en sommes une dépression sévère.
Alors que je pensais que tout allait s arranger petit à petit avec l arret du cannabis enfaîte tout à empiré alors j ai repris en janvier 2024.
Plus de stresse, grosse baisse de l'anxiété, je ne me sentais plus seul mais j'avais conscience que je retardé le problème et que cette voie était la voie de la lâcheté, mais la j ai arrêté depuis 2 jours et je suis déterminé à arrêté une fois pour toute mais j ai peur que tout cela recommence donc j aurais aimé savoir où en vous en êtes ?
Tout d’abord merci à tous pour vos témoignages, cela fait quelques jours que j’ai entamé mon sevrage et que je lis plusieurs posts, c’est d’une grande aide pour comprendre ce que l’on peut ressentir.
Ayden91 : comment vas-tu ? Ton sevrage est encore en cours ?
Tu as tout mon soutien.
Pour ma part, j’ai envie de vous proposer mon témoignage afin de pouvoir, je l’espère, en aider certains, mais aussi et surtout, sans vous mentir, m’aider moi-même avant tout.
Ma femme me dit souvent que j’ai du mal à confier mes sentiments et mon anxiété, il est vrai, je vais donc tenter cet exercice avec vous par l’exposé de ma vie et de ce qui m’a conduit à vous la raconter brièvement, sans jugement je l’espère.
Mon histoire problématique avec le cannabis a commencé fin 2019 avec le décès de mon grand-père qui était l’exemple que j’avais de la réussite simple.
D’abord, je dois vous avouer que je pense tout de même avoir un terreau fertile à mon anxiété et ma dépendance : père alcoolique et drogué mais aimant / mère distante et ayant du mal à dire ses sentiments.
Un divorce (9 ans) très conflictuel (prononcé à 16 ans) qui m’a renfermé sur moi-même et les jeux vidéos afin d’éviter le conflit.
Un départ de chez ma mère (11 ans) défaillante vers chez mon père, aimant, mais défaillant aussi dans des conditions de vie/logement compliquées (local commercial sans cuisine ni douche).
Première cigarette/joint/bad trip l’année de ma 5eme avec un décrochage scolaire commençant doucement à cause du harcèlement (1 pantalon et 2 t-shirt pour la semaine ce n’est pas suffisant en collège privé) - début de la consommation croissante de tabac - consommation occasionnelle de cannabis - aussi subi l’ablation d’un testicule me renfermant davantage sur moi-même.
Première grosse cuite en 4eme et décrochage scolaire encore + important suite à un changement d’établissement avec encore du harcèlement (être un petit blond aux yeux bleus ce n’est pas suffisant en collège public)
Je passais mon temps dehors avec de mauvaises fréquentations de 5-10 ans mes aînées.
Pas de redoublement grâce à une compréhension de mon principal et validation du brevet des collèges.
S’ensuit une conseillère d’orientation qui me bazarde en lycée professionnel dans lequel je ne me sentais pas à ma place - j’ai subi ce cursus en me renfermant encore plus sur les jeux vidéos et les écrans avec peu de relations sociales.
Puis, je ne savais pas quoi faire mais, ayant toujours eu la certitude d’avoir un cerveau bien formé, je me suis dirigé vers une licence en droit.
Le fin du premier semestre de ma troisième année, 2 jours avant les examens, mon téléphone sonne et j’apprends que mon grand-père, inconscient, est hospitalisé et qu’il m’est impossible de me rentre à son chevet en Corse sous peine d’être défaillant à mes examens, que je compose donc.
La veille de la fin des examens, je sors de ma composition et un proche m’avait laissé un message, je le rappelle et il m’annonce le décès : là tout s’écroule et j’ai l’impression de chuter sur moi-même, de m’effondrer intérieurement.
Les funérailles et les fêtes de fin d’année ont lieu puis il faut retourner à la normalité, reprendre la fac et ce quotidien mais sans ce phare pour me guider.
C’est là que fumer du cannabis a eu, je pense, un tout autre sens pour moi. Il ne s’agissait plus de se défoncer, d’oublier les problèmes quotidiens, légers ou tracasseries, mais de maquiller le départ subi d’un proche, d’atténuer les sentiments douloureux.
2 semaines après, ma consommation n’a cessé de croître, de 1 à 2 joints occasionnels le week-end j’étais passé à 1-2 journaliers sans m’en rendre vraiment compte, pris par la continuité de ma vie et mon déni sur le décès subi.
2 mois après, j’ai subi un accident de la route non responsable à moto qui m’a laissé un traumatisme à la jambe
1 mois après l’accident : mars 2020, 1er confinement Covid alors que je devais reprendre la faculté, voilà 3 mois que je ne sors quasiment plus que pour aller chercher ma consommation, je m’isole à l’extrême, m’enfermant avec ma mélancolie, mon ordinateur et Marie-Jeanne.
Je finis ma licence dans le bordel global que tout le monde a pu connaître du premier confinement, mes sorties ne se limitent qu’à aller chercher ma consommation avec le stress de la fausse attestation.
Une fois la besogne faite, je m’enferme jusqu’à ce que je sois à court.
Passant l’été à travailler en saison en Corse, je loge chez ma grand-mère endeuillée, l’on s’épaule et je ne consomme quasi pas.
A la rentrée 2020, je démarre un master droit en alternance dans la finance, nouvelle année dans une nouvelle ville, l’été avec ma grand-mère m’ayant reboosté j’ai de nouveaux des rêves et je les place dans mes études inespérées quelques années plus tôt.
En octobre, le second confinement. Je me retrouve isolé, loin de mes proches, dans une ville que je ne connais pas. Je me fournis pensant, après quelques semaines d’arrêt, que cela allait être anodin.
Les semaines suivantes, ma consommation devient vraiment incontrôlable, j’enchaîne les joints de trop pour éviter de me réveiller et d’avoir à penser, à réfléchir, à subir les assauts de mon cerveau.
À côté de ça, ma défonce me donne de grosses fringales, je commence à développer des troubles alimentaires en me nourrissant quasiment que de (trop) de junk food ; j’ai complètement arrêté le sport et j’allume mon premier de la journée, dans mon lit, avant même que mon premier cours en distanciel est commencé ; les jours de travail, je rentre vite pour arrêter de penser et fumer, je fume du tabac la journée.
J’ai des douleurs chroniques à l’estomac, vais à la selle 10x/jour et n’arrive pas à m’alimenter sans substance.
Ma jambe me fait mal car je ne peux pas convenablement réaliser ma rééducation dans l’état mental dans lequel je suis.
Lors de l’été 2021, je tente d’arrêter en compensant avec une consommation excessive d’alcool, de CBD et de tabac, j’ai l’impression de voir mon père, je craque et ne tient que quelques semaines avant de replonger dans le THC.
Fin 2021, je rencontre ma compagne, elle sait que je suis fumeur, ne désire pas que j’arrête pour l’instant mais que j’y réfléchisse pour l’avenir, je note.
Je finalise mes études, ne trouve pas d’emploi me convenant et me tourne vers une formation certifiante dans mon secteur d’activité que je valide début 2024
Pendant ce temps, ma consommation fait le yoyo, les moments où je suis à sec, je me tourne vers le CBD ou le tabac pour compenser mais mes barrières cèdent, seul le THC me permet de maintenir ce semblant de bonheur.
Les moments où je m’arrête de consommer ? Je suis détestable, dépressif, ailleurs, chaque phrase de ma compagne est prise comme un reproche, j’ai l’impression qu’elle ne comprend pas ce que je vis même si je suis responsable de ma dépendance.
Quand je suis seul, mes larmes coulent lorsque je me perds dans mes pensées sans pouvoir les accrocher ou, a contrario, je suis capable de déconnecter des heures sans bouger et ne rien faire, comme si mon esprit était ailleurs, végétant.
Mi-juillet, j’ai connu un bad trip m’ayant laissé mal et fait réalisé que je ne pouvais plus continuer sur cette pente descendante, j’ai donc arrêté le THC depuis, en compensant avec un peu de CBD (arrêt il y a une semaine) et du tabac (arrêt hier )
À ce jour, j’ai repris la cigarette électronique avec un taux de nicotine moyen.
Je n’ai pas d’appétit, des tremblements, une libido inexistante, des migraines, des envies de vomissement, des douleurs abdominales, l’impression d’être déshydratée et des selles fréquentes comme à chaque moment où j’ai tenté de me sevrer ; mais je pense qu’il est nécessaire d’affronter cela pour éviter de redémarrer ce cercle vicieux de la dépendance.
Je n’ai toujours pas trouvé d’emploi et mes droits expirent le mois prochain, j’ai peur de l’avenir et de retomber dans mes travers.
Merci de m’avoir lu, en espérant que mon témoignage puisse aider certains d’entre vous, comme j’ai pu l’être.
Salut senti, le sevrage se passe très bien. Ce qui m étonné pas d angoisse pas d'anxiété. Je prends des médicaments à base de plante pour dormir ce qui aide énormément à tenir car quand la fatigue est là, ta motivation ne l est plus.
Je prends aussi du millpertuis une plante utilisé en Chine c est un mini antidépresseur qui me fait énormément de bien, c est naturel et sans risque.
J'ai une sensation de vie que je n ai pas eu depuis très longtemps......
En tout cas merci de t en soucier.
Peut être aussi que le fait d'en parler ça m a aidé, parfois l acceptation et le non contrôle juste être vrai ça fais du bien. Ton histoire m à endorment touché, mon père et ma mère sont exactement dans la meme situation que t'es parents.
Mais je voulais avant tout te remercier de ton partage, tu as eu raison. Tu vas aider les autres avec ton témoignage, donner une partie de soit c est le plus beau des dons donc n hésites surtout pas à partager.
Un message comme ça dans la nuit est un appel à l aide, ça m a fondu le cœur, crois en toi essaye de te sevrer. Pense à toi tu le mérites, tu mérites d être heureux tu es un gars avec pleins de ressources, tu vas y arriver. J en suis convaincu. Prends soin de toi ...
Bonjour à tous,
Je me lance aussi dans le sevrage du cannabis et du tabac. Pour faire rapide, j'ai 46 ans et je fume la clope et le shit depuis mes 15 ans, tous les jours.
Cela fait maintenant une dizaine d'années que, pas une journée, sans exception, n'est passée sans joint. Depuis mes quarante ans environ, grosse difficulté de sommeil, je n'arrive pas à m'endormir donc je me lève et fume 2 joints, je me recouche mais je ressens comme une sensation d'impatience des membres, obligé de me lever à nouveau et de refumer 2 joints et cela, 3 ou 4 fois dans la nuit. Je ne dors quasiment pas, mon cerveau est tout le temps en ébullition, je me lève pour aller au boulot sans reveil et sans être fatigué qui plus est...! Il m'arrive de m'endormir 1 heure après le boulot et la nuit, rebelotte... Impossible de dormir.
Je suis actuellement en vacances à l' étranger et j'ai décidé d'arrêter, le tabac comme le shit. Je n'ai pas fumé de joint depuis 4 jours, alors que je peux m'en procurer. Je me sens melancolique et triste et depuis 24 heures, je n'ai pas touché à une clope non plus....je suis bien décidé à poursuivre mes efforts mais quand je lis tous les témoignages de sevrage, j'ai peur de ne pas avoir la volonté nécessaire quand je serais à nouveau chez moi.... En effet, toutes mes activités sont accompagnées de cannabis. Les devoirs avec mes enfants, l'exercice de ma passion (la musique), les sorties en famille, bref, j'en ai besoin pour apprécier la moindre activité...
Quand je vais bosser ou que je sors, je ne pense qu'au soir au moment où je vais fumer un joint...Je précise que je ne fume jamais le matin avant d'aller au boulot. J'aimerais ne fumer que 1 ou 2 joints le soir mais mes difficultés d'endormissement m'en empêchent.... Quand je lis qu'il faut des mois voir plus pour ne plus ressentir le manque, ça me fait peur....
Salut à tous ,
Je fête mon mois de sevrage (commencé le 14 juillet la fête du pétard)
J’avais passé un mois de defonce intense (filtré/zamal et tout ce qui se trouve au dessus de la norme et ce du matin au soir) bon c’était les vacances et je commençais à virer à la dépression suite à un surmenage.
Aujourd’hui ça va quand même mieux hormis les sensations de fourmillements et des petites douleurs inter costales de temps en temps, et quelques moments des pensées en vitesse x2 mais ce qui m’a un peu troublé depuis quelques jours c’est que je me réveille à 5h le matin avec l’impression que le cerveau ne s’est pas reposé , je pense à tout et rien en même temps avec un peu la nausée et le ventre brassé.
Il y a 3 jours j’ai eu une grosse perte d’appétit et le lendemain j’ai vomis, mais vu que j’avais rien dans le ventre je pense que c’était plutôt des spasmes.
Tout ça avec une grosse sensation d’angoisse à me demander si j me n’avais pas un truc mais avec la dose de cheval que je me suis infligé je pense que cela peut avoir un lien, (et logiquement j’ai augmenté le clope)
Je voulais savoir où vous en êtes de votre côté car malgré les épreuves à surmonter, ce groupe fait un bien fou
J’avais posté en début de sevrage sur le post (sevrage cannabis / rechute compulsive) pour ceux qui veulent les détails de ce que j’ai pu traversé) mais le bilan de tout ça s’avère être une bonne leçon de vie.
J’ai vu un hypno qui m’a initié à l’EMDR et qui m’a demandé de noter les choses positives quotidiennes et de détourner le négatif ce , qui m’a apaisé un peu le stress + j’ai essayé de prendre soin de moi malgré que je manque encore de positivité.
En espérant que la contribution soit une source de motivation , je souhaite à tout le monde de passer de bonnes vacances et d’apporter une énergie autour de vous.
Force
Salut à tous !
Et merci de répondre à certains des questions.
J’ai arrêté plusieurs fois et j’ai repris plusieurs pour des raisons stupides..
cette fois ci cst la bonne, j’ai passé les 30 ans et je considère plus fumer comme un plaisir mais comme une contrainte ..
j’enchaîne les blessures sportives ou même physique.
J’ai décidé d’arrêter car je vais me faire opérer la semaine prochaine, rien de bien grave, mais de nature très anxieux , je vis un véritable enfer .. 32 jours sans fumer et j’ai l’impression d’être malade ou d’avoir des problèmes de santé.. pourtant les symptômes n’étaient pas si horrible au début, aider par des anxiolytiques les 5 premiers jours.
Je dors peu, des rêves assez intenses, des terreurs nocturnes, et une impression de mort constante, sans oublier des maux de tête, douleurs dos, poitrine ect ..
je suis en permanence hyper stressé, je peux plus faire du sport et l’approche de l’opération et de meurs me stress en plus haut point, c’est une opération d’hernies inguinales bilatérales, opération que j’ai déjà eu et je sais à quoi m’attendre.. pas forcément le plus agréable mais je pense que mes angoisses sont exacerbés par mon sevrage..
les médecins ne veulent pas m’en prescrire et je dois attendre la semaine prochaine, avec une angoisse constante. Même si je sais que je serais incapable de dormir les deux jours qui précèdent l’intervention.. la meurs de l’anesthésie et de la galère ..
Avec ceci j’ai aussi fais un effluvium telogene, je perds par poignés mes cheveux, merci le stress et ça rajoute un peu plus d’angoisse..
hâte de pouvoir voir la fin de tout cela, le sport me manque et j’en ai encore pour un moment ..
Jc’est la troisième fois que j’arrête, je sais que cela la bonne ! Mais c’est la première fois que je suis autant en galère..
J’ai envie de retrouver une santé, de pouvoir vivre de nouveau et essayer de rattraper tout ce temps perdu à être une locque, le chemin est encore long .. et j’me demande quand j’arriverai à me passer de tous ces soucis qui aujourd’hui me ronge.
J’attends de me faire opérer et je pense prendre rdv afin de m’aider aussi dans cette démarche, certainement avec une cure d’anxiolytiques sauf si on trouve mieux à me proposer..
je voulais me soigner physiquement avant mais j’ai un peu trop négligé le côté mental et bien être.
Merci à vous en tout cas ! Et ne lâchez rien
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