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sevrage de cannabis et cauchemars

Par lulu1019

19 réponses


ishish - 14/12/2022 à 21h36

Salut, je ne sais pas si tu te souvenais de tes rêves/cauchemars avant, mais sache que rien que le fait de te souvenir de ça, perso c'est une réussite.

Alors oui j'en chie avec ces nuits blanches, mais je suis tellement content du fait déjà que je me souvienne de mes cauchemars donc je laisse faire...

Apparemment les rêves reviennent petit à petit.

J'en suis à 2 mois d'arret et je commence tout juste a re-rêver.

Attention, les choses que je regarde (TV, portable, jeux vidéos) impactent énormément les sujets de mes cauchemars.
Essaye de lire un livre, c'est peut-etre une solution, voir même d'écouter de la musique "douce" avant d'aller te coucher.
Courage

slaam - 29/01/2023 à 17h36

Bonjour tout le monde,

J'ai arrêté le cannabis ça fait deux semaines. Je vous raconte mon histoire afin d'en prendre conscience et aider d'autres jeunes à arrêter de fumer les joins de cannabis ( Le shit marocain ). Je vous raconte mon histoire tout mon coeur.

Je suis un mathématicien et ingénieur informatique. J'ai 28 ans. Je suis venu en France en 2020 pour travailler, mais j'ai commencé de fumer au Maroc à l'age de 18 ans ( Donc 10 ans de dépendance ).

Je me rappelle le premier jours arrivé dans ce pays, je suis sorti chercher le cannabis pour oublier le sentiment de solitude. Je fumais le cannabis pour me soulager et travailler. je n'étais pas le genre qui fume pour se balader, voire des films et perdre le temps, mais vraiment pour lire de longs polycopies et travailler en toute relaxation. Mais avec le temps j'ai senti que le cannabis détruit ma vie psychologique et professionnelle. Je m'énervais beaucoup et je suis devenu très aggressif. la dernière chose que j'ai cassé est ma télévision happy

Ce mois sacré de Janvier, J'ai décidé d'arrêter le cannabis du jours au lendemain. Auparavant je fumais un minimum de 10 joins par jours.

Je vous informe que les deux premieres semaines étaient les plus dures de ma vie même si j'ai vécu d'autres périodes de stress dans le travail et des problèmes familiaux. Je me rappelle que je n'ai pas pu dormir pendant 3 jours défilés, le 4eme jours j'ai dormi mais j'ai fait des nuits pleines de cauchemars et je me réveillais chaque heure, car j'étais habitué à s'endormir avec le cannabis. Pour se soulager j'écouter le Coran afin de m'aider et cela m'a aidé un petit peu.


Je suis sincère avec ma famille même si ils sont au Maroc, j'ai décidé de tout leur raconter afin de m'apaiser. Ma mère ma conseillé de voir un généraliste, il m'a donné du Mélatonine afin de dormir mais cela ne m'a pas aidé vraiment. Au bout de trois jours j'ai arrêté de prendre ce médicament en crainte de créer une autre dépendance.

Maintenant je me sens que je suis né de nouveau et qu'une nouvelle vie m'est offerte par Dieu.


Malheureusement le cannabis impacte nos santés, nos poches, mais le plus grave c'est qu'il détruit nos vies professionnelles.

Maintenant après que j'ai arrêté je me sens bien même si le sentiment de solitude est toujours là. Au moins je connais ce que je sens et je ne fais pas l'oublier par n'importe quoi.

Je ne reviendrais jamais chercher le cannabis. Malheureusement au Maroc tout le monde fume, tu vois les jeunes à l'école fumer au lycée. Donc cette idée du cannabis est implantée dans nos esprits à un age jeune.
Pour ceux qui n'ont pas une forte personnalité, ils vont être impactés.

Quand je vois que la France autorise le cannabis marocain ( qui est mélangé malheuresement par d'autres produits chimiques afin d'élargir la quantité ), même si je ne suis pas Français, cela me fait mal au coeur pour ce pays.

J'espère que les services de police puissent arrêter le cannabis non légalisé et qui n'est pas utilisé dans les traitements médicaux aux frontières.

Bon courage et merci de m'avoir donné la chance d'exprimer ce que je ressens.

Laulila - 21/04/2023 à 04h36

Bonsoir,

Pour répondre à ta question je te dirais écoute toi, si tu sens que tu as du mal à gérer solo alors oriente toi vers un professionnel. Je pense que les psychologues sont bien adaptés à la situation, dans un premier temps bien-sûr. Après tu peux aussi en parler à ton généraliste qui permettrais de chapoter un peu tout ça et mettre de l'ordre dans ta prise en charge.

En ce qui me concerne j'ai 26 ans, je fumais depuis mes 16 ans quotidiennement, plus ou moins selon la période mais habituellement dès le matin donc minimum 3/4 par jours mais ça pouvait monter à 10-15.

J'ai décider d'arrêter de fumer pour reprendre le contrôle de ma vie, et avoir le sentiment de Vivre ma vie que je voyais couler entre mes doigts. Retrouver la mémoire qui m'a quitter il y est de ça des années. Retrouver de l'énergie aussi, et surtout du sens à ma vie.

Mes relations amoureuses se sont toujours soldés par des échecs et mes relations sociales sont très minimes maintenant, tout mes amis ayant arrêtés. ne suis pas d'une compagnie très stimulante et je pense tourner en rond dans mes discussions.

Je suis infirmière et ça n'a pas toujours été simple dans l'exercice de mon métier malgré que j'ai dépensé énormément d'énergie à faire mon travail du mieux possible.

J'ai donc arrêté il y a 8 jours la weed mais pas les clopes.

J'ai passé 3 jours à suer des litres la nuit, me réveiller trempée.
Depuis mon arrêt je fait des cauchemars toutes les nuits et parfois j'ai du mal à me rendormir, comme ce soir (il est 4h12 du matin et j'ai fait un mauvais rêve : le pire du lot).

Je pensais qu'il serait difficile d'arrêter la journée : c'est le cas !
Si je peux donner un conseil pour la journée c'est d'éviter au maximum dy pensé et dieu sait que ce n'ai pas simple, essayer de vous rabâcher les bonnes raisons de votre arrêt et surtout ne projeter pas votre attention sur l'idée de s'en rouler un. Donc le laisser pas l'occasion à votre cerveau d'imaginer sortir le plateau, ne le laisser pas non plus imaginer tirer une barre sur ce pétard que tu aimes tant.
A oui aussi pour les derniers jours j'ai fumer sur du vieux tabac tout sec la weed la moins bonne qui trainait chez moi, histoire de me laisser un souvenir sur le court terme médiocre, ça à plutôt bien marché pour moi .

Mais alors je vous explique pas la nuit quand on se réveille, l'idée de refumer pour arrêter ça est aussi voir plus difficile à gérer que la journée, je l'aurais pas cru.
Conseil pour la nuit be... J'en ai pas aha mais juste je m'interdit de fumer même des clopes parce qu'on va pas non plus se mettre à fumer entre 2 rêves non plus on s'en sort plus sinon.

A part un moral bancal et des mal de tête je n'ai pas d'autres symptômes que les cauchemars.

Je me force à ne pas craquer car je ne veux pas avoir fait ce début de travail pour rien. Je ne veux pas avoir à tout recommencer.

Concernant les cauchemars, je me demande si notre cerveau essaie de digérer tout ce qu'il n'a pas eu l'occasion de traiter en 10 ans de conso ? Ou si il se venge ? Je sais que nous, Homo sapiens, n'avons pas encore persé les mystères des rêves mais c'est si puissant que je ne peux m'empêcher de croire qu'il y a une bonne raison à tout ça.

Bon courage, et bonne nuit

Zizou45 - 29/04/2023 à 03h41

Bonjour tout le monde,

Pour ma part à bientôt 3 mois d'arrêt les cauchemars sont toujours présents et j'ai beaucoup de mal à les digérer au réveil.

J'ai toujours un état dépressif peut être à cause des cauchemars.

Actuellement je fais une cure de millepertuis ce n'est pas trop mal.

Je n'ai vraiment plus du tout l'envie de refumer cette merde, j'ai essayé la cigarette mais je n'y arrive pas pourtant je ne fumais pas de cigarette avant car j'aime pas le goût.

N'hésitez pas à me poser des questions et donner moi de vos nouvelles.

Prenez bien soin de vous
Ziya

Younx - 02/05/2023 à 11h43

Salut,

d'expérience, je ne rêve "pas" quand je suis fonsdée, mais énormément quand j'arrête.

Je pense (mais c'est une idée que je n'ai pas vérifié scientifiquement), simplement que soit on fait plus de sommeil paradoxal en étant sevré, ou alors qu'on ne se rappelait juste pas des rêves en étant défoncé.

Donc OUI c'est normal d'avoir un sommeil agité et de rêver ou cauchemarder plus fréquemment (ou du moins s'en rappeler cette fois ci), je pense que c'est arrivé à tout le monde en sevrage.

Par contre NON le cauchemar n'est pas pour moi un symptôme de sevrage. Il est soit lié à une grande anxiété , qui peut être liée au fait d'arrêter (parce que c'est stressant de se challenger pour arrêter et qu'on génère forcément de l'angoisse) ou liéé à une autre angoisse.

A toi de réussir à trouver la source de tes cauchemars. Est ce que c'est lié au fait que tu angoisses en arrêtant ? Dans ce cas ça passera avec le temps.
Ou est ce que c'est lié à un autre évènement ? Et la je pense que faire de l'introspection et/ou aller voir quelqu'un peut être une bonne idée happy

Courage ! Les premières semaines sont les plus dures et tu as passé le cap.

Gemini - 10/06/2023 à 07h03


Bonjour.

Pour commencer j'aimerais répondre à Younx (dernier témoignage au dessus du miens), si on est tous là à avoir cette discussion ce n'est pas pour rien. Alors commencer l'un de ses paragraphes par "Par contre NON le cauchemar n'est pas pour moi un symptôme de sevrage" c'est vraiment contre productif en plus d'être totalement dans le faux, car oui, le retour du rêve comme le cauchemar répété est clairement un symptôme du sevrage de thc, notamment parce que la phase de sommeil paradoxal est inhibé par la fumette, on appel le retour virulent de la phase de sommeil paradoxal l'effet "rebond", ou la tentative du cerveau de récupérer les rêves manqués, il y à beaucoup à lire dessus mais le réfuté de façon aussi catégorique est clairement contre productif.

Ensuite, pour ce qui est de ma propre expérience je suis également en période de sevrage après un arrêt brutal au bout de plus de quinze ans de fumette, je compte passer d'abord le sevrage du THC avant d'entamer celui du tabac, n'ayant pas envie de chuter en cours de route. Je passe cependant des nuits particulièrement éprouvantes, avec plusieurs phase de cauchemars entrecoupés de réveil en sueur et le coeur battant à tout rompre. Ma réaction la plus saine consiste à me renseigner le plus possible sur le sujet qui est pas mal documenté, je pense que pouvoir poser des mots sur ce que l'ont vit comme le comprendre aide grandement à la "guérison". Je vous invite donc tous à vous renseigner sur le sujet, ça aide à comprendre que tout celà est totalement normal mais également à ne pas se sentir trop seul.

Pour ce qui est des remèdes d'experts du sommeil, il n'y en à pas vraiment, bien qu'il est fortement recommandé de consulter surtout quand les cauchemars créent beaucoup d'angoisse dans la journée, ce que j'ai lu de plus intéressant sur le sujet ce termine comme suit "C'est une tentative de récupérer tous les rêves que vous avez manqués en fumant de l'herbe, conclut-il. Normalement, l'effet s'arrête au bout de deux ou trois semaines dans la plupart des cas. Quand votre corps aura tout rattrapé, il retournera à ses affaires habituelles.". J'en suis personnellement à un mois mais j'ai toujours eu le sommeil compliqué, et bien que je trouve celà assez compliqué à vivre je ne vais pas m'arrêter en si bon chemin, et vous souhaite à tous du courage en espérant que celà se calme pour moi comme pour ceux qui vivent la même épreuve actuellement.

Soyez forts, vous n'avez pas besoin de ce poison (pourtant parfois si doux) pour vivre dans ce monde fou.

Adieuthc - 11/06/2023 à 21h13

Avant de commencer bravo et merci à aconitum pour des raisons évidentes !

Pour ma part j'ai 37 ans et ai arrêté la fufu il y a 5 mois. J'ai fumé pendant 20 ans , et je n'ai pas passé plus de trois jours sans fumer ces quinze dernières années (à part un arrêt de trois semaines en 2015).

Que ce soit shit ou beuh je les fumais quasi purs, juste un peu de tabac pour la combustion ... 5/6 Bedos par jours, toujours une petite feuille mais des joints très concentrés. Bref j'étais devenu très très addict.

Et plus le temps passait plus je me sentais devenir esclave de cette soi-disant "drogue douce". Cet esclavagisme se traduisait par une situation financière exécrable (déjà que je roule pas sur l'or). 50 euros en poche et frigo vide, c'était 40 euros de teuch et 10 de bouffe ! Mais je continuais... Pour pouvoir dormir et refouler encore et encore mon passé compliqué. Mon antidépresseurs à moi que je me disais...

Et puis le déclic ! L'absurdité poussé à son paroxysme, et je pense la perte d'un être cher, m'ont enfin fait réagir. Et j'ai compris en ce jour du 13 janvier 2023 que j'allais définitivement en finir avec cette m..de.

La première semaine à été assez simple tellement j'étais imbibé. Puis les problèmes ont réellement commencé. En ce qui me concerne je n'ai pas eu de douleurs physiques contraignantes, mais mes nuits sont devenues infernales. Bien sûr beaucoup de mal à m'endormir mais surtout une fois endormi des cauchemars voire des terreurs nocturnes... toutes les nuits... avec un souvenir très vif pendant toute la journée suivante.

J'ai donc vu mon médecin après 3 semaines d'arrêt qui m'a prescrit un hypnotique (Noctamide 2 mg) ainsi que du Xanax en me faisant bien comprendre que cela devait être provisoire. "Monsieur il me sera plus difficile de vous sevrer du Noctamide que du cannabis" me dit le toubib.

Mais il a halluciné quand je lui ai dit que le Noctamide ne m'aidait même pas. On est à un mois d'arrêt à ce moment là et ce somnifère assez puissant ne me fais pas dormir et je fais toujours des rêves de dingues... "Continuez" me dit le toubib.

Étant donné que je fais confiance à mon médecin j'ai continué et cela a enfin payé au bout de deux semaines de traitement. Le Noctamide me permettait enfin de m'endormir. Mais les rêves était toujours aussi handicapant... "Continuez" me dit le toubib.

J'ai continué et bien m'en a pris car au bout de 4 semaines de traitement (2 mois d'arrêt cannabis) j'ai enfin commencé à dormir à poing fermés. Et à partir de là très vite le Noctamide est passé de l'état de "bénédiction" à l'état de "malédiction". Car ce médicament puissant qui ne me faisais aucun effet au début, a commencé à en faire trop... Je pouvais dormir 10 heures d'affilées sans réveils intempestifs, mais le lendemain je me traînais comme un zombie tellement j'étais cassé.

Et c'est à ce moment-là (2 mois et demi d'arrêt de fufu) que j'ai compris que j'avais fait le plus gros du sevrage de thc. J'ai donc arrêté le Noctamide non sans mal au bout d'un mois et demi de traitement, et simultanément j'ai commencé à faire de la muscu quotidiennement.

Quand j'ai arrêté la fufu 65 kg pour 1m80... Aujourd'hui je pèse 73kg (et que du muscle) !

Mon alimentation est plus saine et consistante grâce au sport quotidien et mes nuits commencent à être vraiment convenables. Je fais toujours des rêves mais non seulement ils sont moins oufs, mais en plus je m'en souviens de moins en moins.

Toute ma petite histoire un peu pathétique et barbante, mais tout cela pour vous faire comprendre que ce sevrage est un long chemin de croix. Bien sûr nous réagissons tous différemment mais les difficultés restent les mêmes qui que nous soyons.

Surtout ne vous découragez pas et ayez une volonté d'acier car le secret réside là dedans. Ayant déjà essayé je peux dire que je ne suis pas fan des psychothérapies mais cela n'engage que moi.

Par contre je n'était pas fan non plus des médicaments et pourtant c'est grâce à eux que j'ai pu passer ce cap si fatidique des terribles insomnies. En gardant à l'esprit que nous allons chercher à compenser le manque de thc par des substances médicamenteuses ou voire même l'alcool.

Le but n'étant pas de remplacer une addiction par une autre il faut rester extrêmement prudent.

J'espère vous avoir aidé tenez le coup

Adieuthc - 11/06/2023 à 21h36

En fait c'est simple la consommation de THC supprime le sommeil paradoxal.

Romaninho - 26/10/2023 à 12h22

Bonjour à tous ! Merci pour tous ces messages si informatif !

J'ai 36 Ans et fumais quotidiennement 2 grammes d'herbe/résine depuis l'âge de mes 17 Ans...
J'ai subitement arrêté au cours de la mi-Septembre de cette année !
Je n'ai jamais ressenti le manque de fumer, mais par contre, j'ai eu le même cursus que vous
(Sueur intense la nuit, rêve particulièrement désagréable qui ne donne pas la sensation à notre cerveau de "se reposer" puisqu'il est dans une dimension "très réaliste"blunk à l'heure ou j'écris ce message, j'ai arrêté depuis 1 mois et demi. Je suis atteint d'épilepsie focal mais ça ne je sais pas si c'est dû à la prise de drogue, ou un grave accident de la route il y'a quelques années qui ma fait faire un choc brutal du crâne contre l'habitacle....
Je consommais depuis le début de cette année de la cocaïne tous les vendredi en week-end.
Je me couchais la nuit entre 5-7 heure du matin et me levait l'après-midi vers 15 Heures !
J'ai oublié aussi de vous préciser que je consommais presque la moitié d'une bouteille de whisky tous les soirs !
BREF ! J'ÉTAIS UN VRAI JUNKIE !
Depuis mi-Septembre j'ai déménagé dans une région très lointaine de la mienne...
J'en ai profité pour faire un sevrage brutal mais complet de tous ces démon et changer d'hygiène de vie ( repas quotidien aux heures respectés et sommeil réglé entre minuit et 9 heures du matin )
Je n'ai jamais ressenti le manque de toutes ces addictions comme je l'ai dit au début, mais pour moi, le plus dur reste les rêves. Bien qu'ils soient rarement "agréable", ils sont surtout "très réaliste" et particulièrement en rapport avec ma vraie vie ( Je rêve souvent qu'une horde de personnes m'attaque dans mon ancienne ville, ou je rêve de mes anciens amis...La nuit dernière j'ai rêver que j'avais un accident avec la voiture de ma tante, que je conduis assez souvent en ce moment ). Ces rêves sont si réaliste que j'ai souvent la sensation du soulagement au réveil de me dire " Ouf ! Ce n'était qu'un rêve !!!! " Le problème est que ces rêves ne me donne pas l'impression de dormir... Et lorsque j'accumule trop de dette du sommeil, je fais des crises d'épilepsie convulsive très puissante ( Je me suis fracturé 7 vertèbres et lombaires en 2020...)
Comme la plupart des gens ici, ces rêves me donnent des maux de crâne au réveil, et me plonge dans une grande anxiété. J'espère que cela diminuera au fil des mois car je suis parfois tellement dans la tourmente et dans un tel "mal-être" que je pense au suicide....

Merci en tout cas pour tous ces messages lu au dessus qui m'ont fait comprendre d'où vient tout ce mal être.
La drogue me répugne maintenant, et je ne consomme qu'un seul verre d'alcool le soir en apéro.
J'espère que mon sevrage ne sera pas aussi dur et long que ce que je vis en ce moment car le cannabis à été présent de longues années dans mes neurones.
Si vous auriez des conseils à me donner je les prendrai avec plaisir ! Encore merci à vous tous. ++

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