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La cocaîne, le partenaire du diable

Par David92120

Bonjour à tous,

Je m'appelle David j'ai 30 ans, un emploi cdi aucun problème particulier si ce n'est l'ennui peut être que je masquais par les sorties le weekend là ou j'ai notamment découvert les drogues dès 18 ans.

Le temps passant, je me rends compte que ma consommation a explosé et ne rentre plus dans la cadre festif. En peu de temps la cocaïne s'est immiscée discrètement dans ma vie jusqu'à me retrouver à en consommer totalement seul.
Jusqu'au jour où je me suis rendu compte que j'avais tapé de 2 grammes par jours pendant 4 jours. C'est là que j'ai décidé d'être aidé.

J'ai réussi à stopper quasi net pendant 50 jours, chose extraordinaire dont j'étais très fier, je me suis même dis que c'était désormais un mauvais souvenir dorénavant.

Cependant depuis 2 mois, impossible pour moi de sortir boire un verre sans que mon cerveau s'automatise et m'oblige à en prendre.
Est-ce un comportant normal? à la moindre consommation d'alcool je déclenche cette envie irrépressible de consommer.
Cela nuit à ma vie sociale, professionnelle et familiale. Ma famille et mes amis ont quasiment baissés les bras et je commence à faire de même c'est très compliqué.

Après cette consommation frénétique, 2 /3 jours de très forte dépression puis je remonte la pente hyper serein sur l'avenir avec une certitude que je n'y retoucherai plus. Et le cycle recommence...

Je ne sais vraiment pas quoi faire.

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2 réponses


Liov - 16/04/2023 à 18h07

Bonjour David,

Je suis dans le même cas que toi mis à part que moi mon maximum d’arrêt de consommation ça a été 2 semaine max et je rechute.

Je pense que dans nos cas c’est de s’éloigner de tout et de se faire aider par un centre ou un professionnel très fréquemment.

Être proche de sa famille et des gens qu’on aiment, pensé à eux.

Voilà tout.

MdV - 19/04/2023 à 22h03

J'ai 47 ans et je suis comme vous, avec la cocaïne on dirait un peu comme smeageul dans le seigneur des anneaux, ton cerveau à deux faces, le bien et le Mal et malheureusement c'est souvent le Mal qui l'emporte, la dépendance est intellectuelle donc très difficile à contrôler la descente dure des mois voir des années d'ailleurs je ne suis toujours pas sorti de ça, même si j'ai compris les clés je n'arrive pas encore à ouvrir les portes... courage à vous et n'oubliez pas que de parler et déjà une victoire en soi je n'ai rdv qu'au mois de juin mais sur liste d'attente dans un centre, pourvu que je puisse tenir jusqu'à là...

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