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Abus de cocaine

Par Kerim

11 réponses


Missgaelle - 03/02/2024 à 14h10

Bonjour
A tous, même dépendance, mêmes problèmes, mêmes constats.
J’ai 45 ans. J’ai pris mon 1er vers 27/28 ans. J’en avais très peur. Et puis? A la suite d’une séparation très douloureuse j’ai plongé. A 10g/semaine. Évidement quelques verres de vodka avec un zolpiderm pour m’endormir. Et évidement un trait pour me relever.
C’est le boulot qui m’a fait ralentir en semaine mais je me rattrapais le week-end. Il m’est même arrivé de prolonger la prise le lundi matin.
Bref, aujourd’hui je suis mariée, j’avais un super job et un formidable petit garçon. Je ne tapais plus qu’occasionnellement les week-ends. Depuis septembre je vois que j’en prends de plus en plus à cause des tensions au taf. Et là ! Je me fais licenciée ! Sans crier gare, je ne l’avais pas vu venir.
Depuis je tape presque tous les jours et même sans pause, plusieurs jours de suite. Ce que je ne m’explique pas c’est que malgré tous les aspects ultra négatifs je n’arrive pas à me dire que je vais tout à fait arrêter. Ne plus jamais en prendre…
Voilà, c’était mon pauvre témoignage.
À défaut de vous aider j’espère que ça vous aura un peu soulagé de votre que vous n’êtes pas seuls
Bon week-end

vincebord - 05/02/2024 à 10h02

Bonjour Popilou . Je prends aussi de la coke pour mettre un pansement sur ma dépression. J en consomme de plus en plus et je suis maintenant à 1g par jour .J avais arrêté complètement l héroïne depuis 20 ans et je me sentais fort par aux drogue suite à mon parcours. Mais entre la descente et la dépression, je suis plus capable de gérer seul .Je vois donc un psychiatre et je suis dans une association pour gérer et ensuite arrêter cette saloperie de coke .
Bon courage à toi .

Bonjour Kévin
Je pense que créer un réseau n'est pas vraiment une bonne idée car même si on partage la même additiction. Au final on entretien ensemble le fait de parler de la coke et la solution est plutôt de s éloigner des dealer et consommateurs. Et surtout ce faire aider par des centres spécialisés.
Je te souhaite avant tout du courage et ton témoignage méritait emplement que je te réponde.

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