Olivier 54150 - 13/10/2022 à 13h53

Bonjour NF1534

La peur de la rechute, je l'a vie aussi et c'est sûrement la croyance que je vais encore avoir besoin du produit dans l'avenir.
Donc c'est important de comprendre, savoir que je n'ai pas besoin de ce truc, plus jamais.
Si je prends mon abstinence à l'alcool comme référence, je dirais que c'est en traversant moultes épreuves sans avoir besoin de boire que j'ai renforcé ma non consommation. 24 ans sans une goutte d'alcool, c'est pas rien.

Quand j'ai arrêté le thc en 2014, malgré mes 15 bédos par jour depuis plusieurs années, ça été plutôt vite et bien. En à peine 4 mois tout étaient réglé. Plus de traitement, la fierté d'être sortie de ce truc, une sérénité retrouver suivi de pas mal d'événements heureux. (Congé sabbatique, achat immobilier, découverte de ce site, rencontres extraordinaires...)
J'étais très loin d'imaginer une éventuelle
re consommation. Alors dans quelles circonstances j'ai pu ce moi d'août 2018 penser qu'un joint me ferait du bien ?

C'est une histoire intime, c'est l'histoire d'Almarita pour les modérateurs qui s'en souviennent
Une rencontre qui m'a fait vivre l'inédit. Je parle d'émotions. Des trucs que je n'aurais jamais pu imaginer.
C'est dans l'incapacité de comprendre ces émotions, autant positives que négatives mais dans un spectre jusque là inconnu que j'ai dis oui, cela me ferais du bien.

Bien sûr ça a fonctionné, la finalité de tout psychotropes étant d'éteindre ce feu d'émotions. C'était ça ou brûler vif.

Passion, honte, chagrin, incompréhension, choix impossible, émotions contradictoire... le thc cette fois-ci ne me servais pas de substitut à l'alcool mais à une personne.

J'ai appris et vécu que la dépendance à une personne pouvait être la pire de toute, la plus douloureuse.
Michel Raynaud l'explique très bien avec son livre "l'amour est une drogue douce en général" expérience d'imagerie cérébrale à l'appui.
Il suffit d'identifier l'extraordinaire de ce que l'on vie à l'intérieur de soi à cette personne. Le piège parfait pour les humains.

Je dois absolument comprendre que ma chimie neuronale ne dépend que de moi, que j'en suis responsable. Sortir enfin d'une certaine victimisation.

Il me semble aussi important de ne pas sous-estimer le produit. Notre relation à lui qui est très personnel.
Certains peuvent fumer trois joints par ans, pas moi. Boire un seul verre d'alcool, pas moi.

Autant mon arrêt en 2014 a été radical autant ma reprise fut ambiguë en 2018. Tentative d'une consommation maîtrisé, arrêt, rechute, arrêt, rechute...
Voir https://www.drogues-info-service....teurs/Re-re-arreter-les-psychotropes
Je crois que l'important est que je n'ai jamais re fumé au même niveau qu'avant 2014 (15 par jour)

C'est nous qui faisons la dureté du produit, c'est personnel.
Il peut arriver que la nourriture soit une drogue dur, surtout ce n'est pas un choix.
Alors le p'tit joints, le p'tit verre qui fait pas de mal, faut arrêter avec ça et banir ces pensées pièges. Plus de drogue douce ou dur... C'est un poison pour sois, ou pas.
C'est le minimum à comprendre.

Aussi, et tu en parles très bien :
Accepter d'aller mal sachant que ça ne vas pas durer.

""Si notre regard portait au-delà des limites de la connaissance, et même plus loin que le halo de nos pressentiments, peut-être recueillerions-nous avec plus de confiance encore nos tristesses que nos joies. Elles sont des aubes nouvelles où l’inconnu nous visite. L’âme, effarouchée et craintive, se tait : tout s’écarte, un grand calme se fait, et l’inconnaissable se dresse, silencieux.""
-Rainer Maria Rilke:
Extrait de "Lettres à un jeune poète"

Encore merci pour cette découverte du PAWS. C'est mettre un nom sur la complexité à revenir à l'homéostasie, s'il n'y a pas vraiment de règle car c'est en fonction des personnes et des moments sa vie, c'est donner du sens. C'est important.

Donner du sens peut nous extraire d'une certaine passivité, donner l'impulsion et agir pour aller mieux.
J'ai cherché un peu, mais si tu as un lien sur le sujet, je prends

À très vite
Oliv

Nouvelle-France1534 - 15/10/2022 à 07h29

Merci beaucoup Oliv. d'avoir pris le temps de m'écrire. Tu as raison. Faut se fermer à toutes idées d'y retoucher à cette herbe pseudo bénéfique mais en fait qui est plutôt très maléfique. Aujourd'hui, fut pour moi une journée de merde. Y'en a comme ça... Je ne raconterai pas. Jour à oublié. C'est déjà fait!

Je t'envoie des liens au sujet du Syndrome Post-Sevrage. Malheureusement les infos sont surtout en anglais concernant ce sujet. J'espère que, même si tu ne maîtrisai pas l'anglais, que tu en retirera quelques infos mais, voici en résumé et en synthèse ce que l'on devrait comprendre et retenir de ce que l'on décrit au sujet du SYNDROME D'APRÈS SEVRAGE égue (PAWS=POST-ACUTE WHITHDRAWAL SYNDROME) qui nous gâche un peu, beaucoup l'existence.

Je ne suis pas un expert en la matière mais en toute humilité, même si tu en connaît beaucoup Oliv. de ce que je raconterai et au meilleur de ma connaissance, permet- moi de décrire en détail pour ceux qui n'on aucune idée (comme moi il y a quelques mois) encore de ce que c'est qu'une addiction. Selon ce que j'ai retenus comme info, c'est que toutes addiction est le résultat de l'adaptation du fonctionnement du cerveau qui s'est modifié de façon à s'adapter et a fonctionner (tant bien que mal), malgré la substance où les substances stimulantes, normalement non presente dans sa chimie normalement en homeosthasie. Le cerveau ainsi modifier a dorénavant besoin pour bien fonctionner (sans manque), de la substance qui l'a modifié. Sans cette substance, il cherche à trouver des solutions pour s'en procurer. Si on tiens bon en le forçant à ce modifier pour fonctionner à nouveau sans cette substance don t-il est devenu dépendant, il ne retrouvera sa pleine fonctionnalité que lorsqu'il aura retourné à sa fonctionnalité initiale. Malheureusement, il gardera son penchant pour la substance qui l'avait modifié. GARE AUX RECHUTES dans le temps5.

Cet-à-dire que dans les faits, dans le cas qui nous concerne Oliv., les molécules de THC vont aller se fixer sur des millions voir des milliards (Notre cerveau contiendrait 100 milliards de neurones) de neurones du système canabinoïde et vont provoqués un HIGH causé par une explosion quantitative de DOPAMINE surtout mais, aussi de sérotonine, etc. Avec pour résultat, afin de protéger notre cerveau contre ces méga niveaux de neurotransmetteurs chimiques, qu'il (notre cerveau) a en reaction, considérablement diminué la sensibilité de ceux-ci (neurones) pour ainsi, moins capturé de dopamine et autres (sérotonine, etc.) transmetteurs et à cause de ce fait, celà nous force à augmenter notre consommation avec le temps afin d'obtenir les même effets car le cerveau en ce modifiant ainsi et en s'ajustant, est devenu plus tolérant et insensible aux mêmes quantités de molécules de THC qu'il ne peux plus faire augmenter au même niveau qu'auparavant, les taux de DOPAMINE, etc. ce qui a eu pour effect de diminuer l'intensité des Highs. En d'autres mots on a toujour besoin de consommer plus de cannabis au fur et à mesure que le temps passe. C'est la spirale qui nous aspire et nous inspire à vouloir que l'on avale son venin. Respirer, inspirer, avaler, avancer aller! Le drame est de RESTER dans la spirale qui nous avale en avale. Poétique mais tragique. Désolé, j'étais inspiré...

Encore une fois, c'est pourquoi notre consommation augmente avec le temps au fil des modifications qui s'opère silencieusement dans notre cerveau et qui aussi paraitrait'il, modifierait également le parcours de son réseau de connections (filage). Le cerveau, quel belle machine adaptative. Le cannabis, une drogue DOUCE? VRAIMENT? Notre cerveau étant constamment inondé de DOPAMINE, Sérotonine, etc. ce qui aura comme conséquence que notre cerveau (ou notre ingénieux COCO ), va également fermé ses propres usines de production chimique de DOPAMINE et etc., car il en reçoit gratuitement et à la tonne qui sont fabriqués en sous-traitance magiquement fertilisé au THC. Tellement, qu'il doit s'en protéger de cette inondation constante, en modifiant ses neurones pour les rendrent beaucoup moins réceptives.

Quand on STOP les Psychotropes, notre cerveau FUCK. Notre cerveau se retrouve alors en manque de neurotransmetteurs chimique (SÉROTONINE, DOPAMINE, GABA, etcheterassss) qui transmettent normalement les informations de neurones, en neurones, de sortes que celà nous privent temporairement de plusieurs information nécessaire à faire de notre expérience de la vie, UNE RÉUSSITE et ce, le temps qu'il se réorganise (LE COCO à gogo) à re-sensibiliser ses neurones et ouvrir de nouveau toutes ces propres usines chimiques. Celà prends de 6 mois, une à jusqu'à 2 années pour qu'ils fonctionnes à nouveau normalement de façon autonome et naturellement en produisent des taux suffisamment élevé et fluctuent au gré des événements pour nous faire vibrer adéquatement nos moments de vie qui auparavant si nous n'avions pas consommer de THC, nous aurait indiqué que de demeurer des soirées sur le sofa, seul, nous aurrait poussé à penser à faire d'autre activité bien plus excitante, épanouissante et moins POUSSIÈRENTE. Je sais, poussièrente n'est pas du français, pas plus que du Québécois. Je viens de l'inventer ce mot dont la définition que je lui donne est: RESTER COMME CELÀ. SUR UN SOFA À VÉGÈTER PENDANT DES JOURNÉES ET SOIRÉE, DOPÉ DE DOPAMINE, c'est vachement POUSSIÈRENT. Surtout quand ça dure dans le temps...

Revenons au Symptômes du SYNDROME Après 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7... mois, on devrait voir apparaître graduellement des améliorations, des sensations agréable retrouvé au fil du temps car, déjà après 4 mois, je me rends bien compte que même mes idées noirs et négative, restent de plus en plus dans leurs purgatoires. Qu'elle y reste..

Les symptômes partent et reviennent comme des fantômes mais s'estompe laissent de plus en plus de place à une vie satisfaisante mais encore loins d'êtres parfaites et impressionnante.

Dans ce processus de reconstruction, l'ANHÉDONIE est notre plus grande ennemie. Elle est selon plusieurs sources que j'ai consulté, celle qui recrute les rechutes...

ANHÉDONIE=Absence de sensation, de plaisir, d'envie, de motivation, de libido, etc. ces sensations qui nous font tellement apprécier la vie. L'ANHÉDONIE est le symptôme principal d'une dépressions.

Attention à L'ANHÉDONIE. ÉVITEZ LES RECHUTES. Souvenez-vous qu'elle fera un jour une chute sans parachute dans la chute des addictions et qu'elle disparaîtra un de ces jours pour toujour... Les mots d'ordres sont :
"PATIENCE ET ABSTINENCE"!
"RÉSILIENCE ET ABSTINENCE"!
"BIENVEILLANCE ET ABSTINENCE"!
"INDULGENCE ET ABSTINENCE"!
"DANCE ET DANCE DANS l'ABSTINENCE"! C'est encore vendredi ici! Non, déjà Samedi. Il est tard...

Voilà pour ma compréhension après avoir fouillé pendent des jours et des jours le Net au sujet du Syndrome qui suit presqu'automatiquement un sevrage d'une substances (Alcool, Cannabis, tabac, Cocaïne, Benzodiazépine, caféine, et etc.) qui provoque tous des modifications sérieuses au niveaux de notre noix de COCO et autres parties de nos autres parties de ROBOT (système canabinoide).

Un conseil; NE PRENEZ JAMAIS PLUS EN STOP UN PSYCHOTROPE. DANGER-DANGER-DANGER!
Laissé-le poireauter au STOP. Lol!

En terminant, ça ma touché de lire ton récit Oliv. au sujet d'une âme qui t'a fait chavirer en août 2018. Pas besoin de plus de détail pour comprendre que l'expérience humaine avec cette âme plutôt stupéfiante ( jeux de mots car tu l'a comparé à une drogue stupéfiante) ta beaucoup apporter et marqué. Vu l'intensité, je n'ai aucun doute que tu garderas cette âme en souvenir tout le reste de ta vie. Ça fait cliché mais c'est sûr qu'une expérience si intense est une chance. Elle nous prouvent que nous sommes en vie même si il y a eu des + et des - dans cette expérience enrichissante riche en émotions. Le quotidien est le contraire. Il nous tue! Lol! Et on l'oubli à mesure. Heureusement!

Désolé pour ce très très long post, j'espère que tout celà t'aidera comme ça m'a beaucoup aidés. Je voulais

Bon week-end à toi Oliv. et à tous.

Liens au sujet du Syndrome d'après sevrage ;

https://m.youtube.com/watch?v=16gZSr1Hemw

https://m.youtube.com/watch?v=Q7CwCb3x_pY

https://m.youtube.com/watch?v=yBwwmxXD234&t=0s

Nouvelle-France1534 - 20/10/2022 à 05h26

Si la rechute vous scrute, veillez Messieurs Dames, vous remémorer ce que peut-être vous étiez devenu en lisant ces témoignages décrivant ce qu'es un ou une usager de cannabis dans sa bulle. Un trou de c*l, comme l'on dit chez-nous.

Lisez-bien jusqu'à la fin du dernier message.

Comme une pendule qui veux s'arrêter pour rechuter, celà devrait vous remonter (et remotiver) à poursuivre votre sevrage pour ainsi vous garder en traction dans l'action jusqu'à destination. On ne veut pas devenir, redevenir ou finir comme ces gens qui souffrent et qui font souffrir.

Bonne lecture...

https://www.drogues-info-service....-dans-son-couple-a-cause-du-cannabis

Olivier 54150 - 20/10/2022 à 12h47

Merci NF1534 pour tes post très enrichissants.
Cela m'amène au désir de mettre en mots...
Le thc comme bon nombre de psychotropes empêche les remises en questions. Chaque prise de produits est fait pour occulter quelques chose à régler en soi.
Hélas, la plupart du temps cela se passe dans une complète inconscience.

En 32 ans de vie commune, alcool, canabis, mensonges...mon épouse et resté à mes côtés et ma offert son soutien en toute circonstance. L'amour, l'attachement, le dialogue, les plaisirs charnel, sa ténacité et une bonne dose de dépendance affective... elle m'a soudé à elle

Mais toute ces années de dépendance, de brouillard et de tricheries n'ont pas été sans conséquences, notamment avec mes enfants. Je ne les ai pas beaucoup vu grandir et perdu beaucoup de ma crédibilité de père. (Relations plutôt distantes.)
Confidences et dialogues c'est à leur mère qu'ils s'adresse.
Ils sont adultes et autonome bien sûr, quelques part le job a été fait, mais quand même... j'ai la sensation d'être passé à côté de quelque-chose d'important, quelques chose me manque à ce niveau.
Je garde espoir, je n'ai que 53 ans, mes enfants 30, de l'eau vas encore passer sous les ponts.
Le désir d'une famille plus uni et des projets communs devrait rester un bon moteur pour maintenir ma non consommation de psychotropes.
Oliv

Nouvelle-France1534 - 26/10/2022 à 09h30

Bonjour Oliv. Vraiment limpide, concret et touchant ta description des événements qui reflètent comme un miroir, ta perception actuelle de ta vie passée, présente et dans l'aspiration de celle-ci pour le futur. Ta compagne semble spécialement doué d'humanité. Je pense qu'elle est restée à tes côté avec patience pour pouvoir être présente à ce moment-ci de ta vie. J'ai eu un peu beaucoup le même parcours et les même comportements et culpabilités. Vos enfants vont s'enrichir également de vos expérience personnels et de couple. Ton caractère (tempérament) devrait s'adoucir avec la sobriété et bien sûr "la cinquantaine". Tes enfants et ta conjointe devraient dès à présent pouvoir en profiter pleinement et découvrir un être, plus attachants et VRAIS. Puisque l'on ne peu refaire le passé, et t'en mieux, car aujourd'hui, aurait été une toute autre réalité, impossible a imaginer et existerait inévitablement, empêchant celle présente réalité d'exister. Vaut mieux l'accepter dans sa totalité et même la remercier d'avoir exister. C'est ce cheminement qui a créer ce présent d'aujourd'hui, ou il vous est intégralement permis de vous en inspirer (de ce passé) en allant de l'avant en le façonnent avec le meilleur de vous-même. Puisque riens n'est parfait, je pense que le futur sera parfois sûrement contradictoire et paradoxal. J'imagine même une conversation privée qui pourrait arrivé entre tes enfants. "Dis donc? Papa avant sa sobriété dans cette situation, trouve-tu qu'il était plus marrant et moins ceci où celà! Non?" Lol! En tout cas Oliv. Je trouve que tu respires la sagesse.

Tu parles également de prise de conscience. Je me remet aussi beaucoup en question c'est temps-ci. Une chose est sûr. C'est très déstabilisant. Cet été, j'ai lu sur ton fil que Pépite te suggérait de considérer la possibilité d'expliquer ta façon d'être par le HPI. Tu semblait un peu rejeter cette possibilité. Comme j'ignorais tout de cet acronyme (quand j'ignore quelques chose, je dois à tout prix savoir) et que quand je suis allé lire pendant des jours sur le sujet, j'avais moi-même des préjugés concernant la surefficience, haut potentiel ou surdouance, puis en lisant les caractéristiques particulières et typiques, j'ai tout de suite reconnu ma famille du côté maternel, ma mère, moi et au moins un de mes petits frères malheureusement décédé d'une crise cardiaque à 35 ans en laissant une veuve et 2 jaunes enfants.

Comme moi et etc... Il avait toutes les caractéristiques des HPI. grand sens de la justice, curiosité insatiable, autodidacte, multi-disciplinaires et contrairement à mon parcours scolaire, lui est devenu un génie de la finance très prisée menant 2 carrières simultanément. Ça la tué évidemment. Bien que tous (surefficient) sont uniques, tous partage une caractéristique très flagrante. L'INTENSITÉ. J'ai enfin compris cet été, ce qui pourrait expliquer ma vie entière et pourquoi elle fut si compliqué mais tellement enrichissante et colorées. À cause de mon parcours scolaire chaotique car inapproprié, j'ai comme, jamais même pensé à cet éventualité. Je n'ai pas encore pu passer les testes mais je pense que cette caractéristique me vas comme un gant et explique totalement qui je suis. Merci à PÉPITE).

En gros, c'est génétique. Si un des parent à ce cerveau, 50% de chance de l'avoir. C'est un cerveau qui possède plus de réseaux et de connections. Plus de matière grise et blanche. La neuroscience indique que les personnes équipé de ces cerveaux ont une prévelance d'activité plus marqué dans l'hémisphère droit responsable des émotions et sensations, ce qui donne une expérience de vie plus intense. Voir les choses plus dans le détail. Plus précisément, etc. Cette équipement plus performant est une lame à double tranchant. Plus d'anxiété, plus de doutes, PLUS PLUS PLUS... INTENSE.

La surefficience n'est pas signe de réussite scolaire, travail et surtout pas relationnelle. Je te conseil Oliv. d'aller vérifier les caractéristiques sur des site fiables en utilisant des mots clefs comme "surefficience adultes", "surdouance adulte". On naît surdoué. Si l'on découvraient que l'on est un adulte surdoué, cela veux aussi dire que l'on a été forcément un enfant surdoué (précoce). Seulement 1% des adultes sont dépistés. Plus d'un million (1625 000) (2.5%) de Français voit le monde à leurs façon sans prendre conscience que ceux qui les entoures majoritairement le voient d'une autre façon.

J'aimerai en avoir le coeur net et voir un Neuropsychologue spécialiste des surefficience adultes mais comme ont dit "Sa ne cours pas les rues". En tout cas Oliv. peut-être que cette caractéristique ne s'applique pas à toi mais je pense que si c'était le cas, que tu découvrirait enfin la particularité essentiel qui teinte ta vie et qui de ne l'avoir pas comprise a été au centre de tes égarements qui ont été sources de ton mal-être. Bien-sûr si tu ne te reconnaissait pas dans les caractéristiques de surexitabilités, hypersensibilité, c'est que ça ne s'applique pas à toi. Pour te faire sauver du temps, le chef de fil en la matière qui revient souvent est le Psychologue DABROVSKY (voir Wikipedia) avec sa théorie sur la DÉSINTÉGRATION POSITIVE (voir Wikipedia) qui fait vraiment beaucoup de sens selon moi qui dit que les surdoué doivent passer par des étapes dépressives de remise en question et désintégrer leurs vieilles valeurs à plusieurs reprises durant leurs vies, pour pouvoir ce realiser pleinement et atteindre une vie qui ressemble à ce qu'il espère avoir. Une plénitude. Peu de gens l'atteigne cette vie chez les neuronormaux.

En terminant, en quelques mots, pour un sureffissient, tout les aspects de la vie doit avoir un sens émotionnel avec passion (travail, famille, maison, temps libre) sinon, dépression, compensation (addiction)...

Aussi, j'ai cessé les Zopiclone que j'utilisais quotidiennement en 1/2 comprimé de 5 mg (donc.2.5 mg que j'ai diminué à 1/4 (1.25 mg) sur 2 sem. puis 0mg depuis 2 jours) et comme avec le cannabis, j'ai des symptômes de sevrage qui revienne et je subit un rebond d'insomnie. Faible concentration, cerveau dans la brume, fatigue, déprime, anhédonie, dysphorie... Je revie à nouveau cet état temporaire. On m'a prescrit voilà plus d'un mois, des antidépresseurs mais j'aimerais persister à patienter pour ne pas ajouter un autre produit à mon cerveau. Quand penses-tu? J'avais lu que tu en avait dans ton cocktail de 2014. Je ne fait pas d'anxiété par contre même sans Zopiclone qui est un genre de benzodiazépines. P'tite vie! Faut être patient.

P.s. je voulais t'en parler de la surefficience, douance, surexitabilité mais c'est un sujet délicat. Maintenant je m'en fout de passer pour un fou. Surtout que je n'ai pas encore vu de Neuropsychologue à ce sujet. Ici on me dit qu'il y a une longue liste d'attente. Si depuis toujour, tu te sent souvent en décalage dans ton entourage, c'est une piste à explorer selon moi. En tout cas, c'est mon cas et ça ferait beaucoup de sens. Non seulement j'ai toujour vue les jupons qui dépasse, mais je les vois couleur fluo... Lol!

StéFan

Olivier 54150 - 27/10/2022 à 17h00

Hello Stef

En 2014 j'étais vraiment imbibé de thc. Plus de 10 joints par jour.
Grace à la police qui m'enlevait mon permis pour 3 mois j'ai dû arrêter net.
Jsuis allé voir mon doc et je lui ais dit de me donner qqc de costaud.
Mon doc à 70 balais ou pas loin. Les addictions c'est vraiment pas sont truc. Pour lui un joint ou de l'héroïne, c'est pareil...je crois . Il est lui même un peu alcoolo. Bref, il reste quand même un très bon généraliste.
Il m'a prescrit à l'époque : valium, Tranxen et subutex. Et bien crois moi, avec ça j'avais plus trop envie de fumer.
N'importe quel médecin, te dira que donner du subutex pour sevré du thc, c'est de la folie pur.
Bein, j'ai pris ce traitement trois mois, et ça c'est bien passé. Quelques transpiration quand même à l'arrêt.
Je ne savais pas vraiment ce qu'était le subutex. Aujourd'hui je vois ce truc d'un autre œil, disons avec beaucoup de méfiance.
Ceci dit, je n'ai pas vraiment ressenti d'addiction avec. Faible dose (2mg) et courte période.

J'ai d'ailleurs repris ce traitement pour ma déprime du mois dernier, 10 jours seulement, trop peur de m'enfoncer.

Il m'a donné en plus un antidépresseur. Un vrai, du seroplex, style prozak, celui qui fait effet seulement au bout de 3 a 6 semaines de traitement. Mais vu les effets secondaires (une sinécure pour jouir et même pissé), je ne l'ai pris que 10 jours, donc jpeux pas dire si c'est efficace.
Par contre ça doit être le top pour un éjaculateur précoce , d'ailleurs il est aussi prescrit pour ça

J'ai appris très jeune à me méfier de ces traitements. Prescrit à tort à ma mère car les médecins ne trouvais pas sa maladie qui c'est révélé plus tard une simple turberculose ganglionnaire bovine, que j'ai eu aussi. (Crème fraîche acheté à la ferme) j'avais 15 ans.
J'ai vu un copain, qui à force d'en prendre c'est vu incapable de se lever pour marcher et deux autres sous de lourd traitement, se suicider. Bref je n'ai pas une très belle image de tout ça.
Je rechigne pas, c'est aidant, c'est là et ça me rassure, mais pour moi en faible dose si possible et de courte durée.

Les neurosciences c'est super pointu mais surtout il reste bien des mystères. Je dis souvent, s'ils avaient tout compris, les neurologues seraient extatiques tout le temps
Quelques notions de chimie du cerveau et de psychologie c'est bien, ça aide mais ce que j'aime vraiment c'est quand la matière et le temps n'existe plus. La physique quantique avec Philippe Guillemant ou Nassim Aramen.
La survie de la conscience avec Jean-Jacques Charbonier, Patricia Darré et bien d'autres.
Stéphane Allix, Olivier Chambon, Christophe Allain, Franck Lopvet, Joe Dispanza, Genève Delpech, Maddly Bamy...

À l'école, redoubler 3 fois en primaire, jamais aimé ça. Passé un c.a.p de délinquants en 1987 et jsuis vite partie. Service militaire à 18 ans. Ensuite objectif autonomie, donc entré dans la première usine que j'ai trouvé. Provisoirement, mon idée était de faire routier, tracer la route.
32 ans plus tard jsuis toujours dans cette usine, et je déteste ça.

Trop sensible et en décalage oui, mais hpi non, je pense pas. Je manque de logique, de mémoire et de capacité à apprendre même si pas mal de choses m'intéressent.

Nouvelle-France1534 - 02/11/2022 à 09h18

Bonjour Olivier. Hier, j'ai vu que tu m'avais répondu car je suis aller voir. Je n'avais pas reçu de notification le 27. Hier, je t'avais écrit un long post mais j'ai perdu le contact du serveur et malgré que j'avais prévu le coup, j'avais sélectionné le texte mais j'ai oublié une étape, celle de COPIER et quand j'ai fait COLLER, il n'y avait rien. TABARNAK d'Ostie de criss de câliss de Viarge, de p**in de ciboire, de...! J'avais tout perdu... Frustrant tu dis? Je n'avais plus le temps de te réécrire et bien, me revoici aujourd'hui et en bien meilleur forme.

Merci beaucoup pour les infos concernant tes expériences des médicaments. Je me fis plus au expérience des gens qu'au Doc. Je n'ai pas plus envie de prendre des antidépresseurs qu'avant de te lire surtout qu'avec l'anhedonie, à par de manger et le sex, pas grand chose m'exite. En plus, je ne suis pas un ejaculateur précoce non plus, si j'en prenait, que je compenserait sur la bouffe par manque de piquant et chatouillement, et je gonflerait plutôt du bedon avec du JUNK FOOD. Pas question...

Ta raison Oliv, subutex est pour le sevrage des opioides. J'ai été voir en lisant ton post. Bizar qu'il t'a prescrit ce produit non adéquat. Il avait peut-être pris un verre de trop? Faut faire attention à notre cerveau durant le syndrome post sevrage je pense. On dirait qu'il est vraiment très sensible au moindre substance chimique. Avant hier, parce que j'ai diminué malgré que tranquillement le ZOPICLONE, et parce que l'insomnie fait un rebond, j'ai pris un comprimé au complet (3.5mg) histoire d'enfin dormir une nuit complète, hier, j'étais complètement déprimé sans énergie avec des idées tellement noire que je me suis dit que je ne retoucherai plus jamais à celà et que ça suffit. J'étais tellement confus... Hier soir je n'ai rien pris. Tu sais pas quoi Olivier, j'ai dormis encore mieux qu'avant et aujourd'hui, j'ai passé une journée où j'étais presque comme avant ma consommation de cannabis. Une des meilleurs journée depuis juin. Je pense que ce pseudo benzodiazépine sans en être un, a joué un rôle amplificateur des symptômes depuis mon arrêt. Parce que ça calme ce médicament hypnotique, qui augmente le GABBA, ferait diminuer la dopamine qui donne de l'énergie. Hier, j'étais vraiment à plat à cause de ça je crois. Aujourd'hui, j'ai pensé que je devrai m'attendre à être hyperactif, j'ai pris du café decafeiné pour ne pas tomber dans l'anxiété et trop deborder d'énergie et pour vérifier mon hypothèse au sujet du Zopiclone. Et bien oui. J'avais les idées claire, de l'énergie à revendre et un peu hyperactif malgré sans caféine. Je me sentais vraiment beaucoup mieux.

Comme le cannabis, je ne retoucherai plus jamais à cette merde qui est même interdite au USA (à cause des cas d'accident de la route) mais pas chez-nous malheureusement. J'en ais pris pendant au moins 10 ans de cette merde et quand je travaillais dans la vente, j'observais parfois que j'eprouvais des problèmes d'élocutions avec les clients. Un peu gênant. Ça fait partie des effets secondaires de cette merde qui par contre, ne donnerais pas comme effets secondaires, de problème d'éjaculation précoce, ou d'érection dans l'pentalon avec les clientes ou clients (c'est selon les goût). Lol!

Non mais, moins on consomme de merde non nécessaire, plus on est protégé je pense. La nature souvent, s'arrange tout seule et nous répare à son rythme. Nos cerveaux sont en mode réparation et calibrage. Ils doivent faire leurs travaux de remise au paramètre d'usine et pouvoir fonctionner comme avant les prise de substances compensa tristes. J'éprouve une espèce de sensation d'inflammation au cerveau depuis le début de mon sevrage. Ce n'est ni un mal de tête, ni une céphalée, ni une migraine. Comme une sensation de surchauffe qui arrive avec la fatigue en fin de journée. Hier par contre, ça a été, du levé au couché et ce fut plus intense. Sur ce site, avec tout les témoignages que j'ai pu lire, personne ne mentionne éprouver ce symptôme. Peut-être que j'ai un cancer au COCO et qui fait chauffer le lait de coco, ce qui me donne cette sensation de pression chauffante au niveau du cerveau. L'hiver est à nos porte ici, ça promet. Pas besoin de tuques cet hiver... Sérieusement Olivier, éprouve-tu parfois cette sensation quand la fatigue s'installe? Ça m'intéresse de savoir.

Pour le HPI, je ne veux pas insister mais une dernière fois, ce que tu me décrit comme parcours, surtout scolaire, peut paradoxalement être à cause de cette douance non dépisté car pour ma part, moi aussi je suis un décrocheur scolaire. J'ai eu un parcours scolaire très similaire au tiens et pour que tu comprennes, je suis allé voir les équivalences des niveaux scolaire du système Français et Québécois. Et bien, avant le collège 5e, sans doubler d'année, je passais toujours inextremis et mon esprit partait souvent dans tout les sens car JE M'ENNUYAIS vraiment monstrueusement à l'école sauf en géographie ou la, j'avais 98% en moyenne annuelle. Puis en 5e à 12 ans, mon mépris de l'école ses multiplié par 1000x. Mon esprit est totalement partie durant 4 ans car j'ai TRIPLÉ ma 5e sans réussir une matière primordiale nécessaire pour aller en 4e, cet à dire l'anglais. Trois ans pour passer en 4e et à la fin de cette 4e, et oui, à 16 ans, j'allais doubler ma 4e. Non mais, un idiot moi? J'ai quitté l'école, je me suis cherché durant presque 2 ans puis, je suis parti vivre une aventure dans un programme de 9 mois ou j'ai appris l'anglais en 3 mois en Colombie-Britannique, 3 mois à Pond-Inlet au nord de l'île de Baffin (là où il fait vraiment très très frette et où j'ai été oublié durant une heure sur les glace de l'océan gelé et pour me détendre, ... je me souviens que je m'étais... Je venais d'avoir 18 ans...✌ (voir Wikipedia POND INLET) à côté du Groenland. Puis j'ai pris un cour de cuisine à mon retour au Québec car j'aimais bouffer. Sans autre raisons. J'ai décroché après avoir pris plusieurs kilo. Je suis repartie pour la France pour un été en 1985 où j'ai travaillé à débroussailler les bord d'une rivière en Champagne où je garde un souvenir encore imprimé sur la peau de mes épaule suite à un violent coup de soleil que j'ai aquis sur les bord du lac du Der Chanteqcoque. Puis j'ai fait du stop vers Strasbourg, Fribourg und Main. Retour en France, en Lorraine à Nancy, Belgique, Pays-Bas (Amersfoort), Angleterre (juste Douvre) Retour en France, Normandie, St-Malo, Laval en Mayenne puis, Paris pour retour au CDN. Puis, encore non branché sur mon avenir, retour en Colombie-Britannique à Vancouver à travailler en usine à calibrer des thermostat de chauffage électrique... 2 ans plus tard, retour au Québec à Montréal (ce qui reste de la Nouvelle-France), boulot d'agent de sécurité où j'ai pu lire en travaillant puis diagnostic d'une maladie incurable. Choc débile. Arrêt travail durent 1 an. (Je m'en suis finalement sorti vivant après plusieurs années de stress et de détresse, dommage pour certains.✌ ).

Retour au travail, j'ai par chance trouvé un boulot à contrat intermittent très payant au gouvernement. Puis, mille boulots sans pour autant jamais sentir de grandes satisfactions. Pour moi Olivier, j'ai besoins de passion au travail. J'ai toujours eu envie d'être mon patron. En somme, l'école de la vie fut mon école. J'apprend et me développe de façon autodidacte. L'école je l'aurai aimé mais si elle aurait été adaptée. Mes parents non pas réagis à mes échecs scolaires mes dans le temps, les enfants précoce n'étais pas autant repéré... Pour ce qui est de ta mémoire, le cannabis me la enlever aussi, temporairement je l'espère. Une chose est sûr, je ne inscrirait pas à une formation en ce moment. J'oublie tout faute d'avoir les idées claire.

Voici quelques liens sur le sujet. Si tu te reconnaissait enfin, de le savoir va t'aider à mieux te connaître et de trouver le mieux-être. Sinon, ça ne fait pas de mal de comprendre la réalité des personnes avec un coco FULL EQUIPPED. En tout cas, je ne voulais pas insister mais je pense que tu manquais un peu d'information sur ce sujet des surefficience. Certains on un parcours scolaire sans problème et même impressionnant mais pour beaucoup malheureusement, ces le contraire. C'est une catastrophe. Comme l'a été le miens. Les signes HPI souvent, l'enfant s'ennuyait beaucoup à l'école, l'enfant et l'adulte a une soif insatiable d'apprendre dans de multiples demaines, intérêts multiples, aime l'humour noire, fait souvent des métaphores... Ressente de l'empathie et un sens egue de la justice. Déteste les injustices, etc. Les surefficients pour ce fondre vont s'adapter au autre personne fonctionnant dans la norme, en se fabricant un FAUX SELF. Voilà pour ce sujet. Je ne voulais pas insister mais je trouverais dommage que tu exclurait cette piste Oliv. Je ne t'en reparlerai plus si tu me disais que celà ne s'applique pas à toi.

A+ Oliv en espérant que ça s'endure de ton côté et que ton retour au travail se passe bien. Bonne soirée, journée ou nuitée, où etc....

Stef

https://m.youtube.com/watch?v=CoMaYaLW5IQ

https://m.youtube.com/watch?v=Id1R5X2_dOk

https://m.youtube.com/watch?v=J1WkmKG77eU

https://m.youtube.com/watch?v=FM5e6ZujCqg

https://m.youtube.com/watch?v=sp_OoOBqbYo

https://m.youtube.com/watch?v=pa0qSqz_EBg

https://m.youtube.com/watch?v=bw41q2hLkTI

https://m.youtube.com/watch?v=kMEjMwY686Q

Nouvelle-France1534 - 03/11/2022 à 09h24

Re salut Oliv. Hier j'ai un peu exagéré sur la longueur du post mais c'était pour vider la question et t'équiper pour que de ton côté, que tu ne passe pas à côté de cette grande possibilité d'être HPI selon moi. La façon que tu t'exprimes dans tes écrit, est particulièrement intelligente, juste et authentique, signe d'intelligence sans contredits...

Tu sais pas quoi? Et bien comme par hasard, j'ai appris par ma soeur hier que mon frère qui avait fait toute une belle carrière HEC ensuite organisé le financement (200 000.00$ sur Wall Street vers 1996) d'un gros projet de câblodistribution en Europe qu'il a dailleur supervisé puis avais quitté cette compagnie pour divergence d'opinion sur l'orientation de la compagnie, puis vers ses 30 ans, il est entré dans une très grosse (énorme) boîte de service publique du Québec pour qu'il obtienne un poste de cadre après avoir passé un test d'intelligence qui selon ma soeur à révéler qu'il était pourvue d'une intelligence atypique rare "A" côté gauche et "A" côté droit. Je ne sais pas ce que cela veux dire (hémisphère du cerveau Gauche et Droit?) Elle ne m'a pas dit de score IQ. Il est décédé à 35 ans peu de temps après. Ça confirme ce que je soupçonnais que lui aussi. Il a eu un parcours normal et des plus moyen en primaire et collège. Il avait même voulus prendre une sabbatique durant le collège et ma mère lui avait dit que TU NE FERA PAS COMME STEF. Tu va rester et au moins terminer ton collège. Lui, il était obéissant! Par la suite, il a rencontré une fille qui voulait aller à l'université qui est devenue spécialiste en réadaptation et aussi, la mère de ses 2 enfants et elle l'a accompagné dans tout son processus scolaire. Depuis que Pépite ta écrit sur le HPI et que je me suis renseigné la dessus et que je sais que c'est génétique, je l'avais inclus ce frère dans ma liste des HPI possible qui composent notre famille. Ma mère présente ses caractéristiques, moi, ce frère, mes 2 soeurs, un autre frère mais 2 autres de mes freres, +/- non. Donc, sur 7 enfants, 5 présente les caractéristiques et sont tous sauf typique... Pour clore le sujet, ce frère qui à fait les HEC, à part sont parcours universitaire et professionnels extraordinaire, à la maison, ne ressemblait ni à un génie, ni à un dromadaire. Un gars sportif bien ordinaires qui déposait ses verres de lait vide d'un côté du canapé où ma mère en découvraient une bonne douzaine d'accumulé en faisant le ménage. On aimait bien s'obstiner et j'avais le dernier mots✌. Étant plus vieux de 4 ans. Il aurait presque ton age aujourd'hui Oliv. 53 en fev 2023.

Je suis allé voir sur YouTube Charbonnier et chambon. C'est quand-même intéressant ce mélange de science et psychologie, philosophie, etc. Faire des liens comme ça, faire communiquer des disciplines, ça manque énormément en ces temps ou les gens sont si ignorant en dehors de leurs spécialités. Cest pour celà que l'on voit t'en d'universitaires adhéré à des théories comme: LA LUNE EST FINALEMENT COULEUR VERTE ET L'A TOUJOUR ÉTÉ, ON LA VOIS BLANCHE DEPUIS QU'UN FILTRE À BASE DE POUDRE BLANCHE, À ÉTÉ POSÉ À SA SURFACE QUAND LES AMÉRICAINS SONT ALLÉ EN 1869 SOUS LES ORDRES DU PRÉSIDENT RICHARD NIXON POUR FAIRE PLAISIR AU PRÉSIDENT FRANÇAIS GEORGES POMPIDOU QUI PRÉFÉRAIT QUE LES TOURISTES LA VOIT BLANCHE QUAND ELLE SURPLOMBE LA TOUR EIFFEL OU SUR LES JARDINS DE VERSAILLES PLUTÔT QUE Dune lune VERTE CACA. Non mais... Je sais que si je publiais ceci sur le Net, que plusieurs diplômés de grandes universités qui pense avoir des gros cerveaux adèreraient à cette certitude.

Mais bon, sur ce Olivier, concernant ma deuxième journée sans Zopiclone, pas top comme hier. Le sommeil à été difficile à trouver. Il est resté caché durant 3 heure avant qu'il me rejoigne et aujourd'hui, le cerveau plus brumeux que dépressif. Au moins y'a ça de mieux.

À bien tôt Olivier

PS J'aime ça écrire et en ce moment, ça me change les idées.

Nouvelle-France1534 - 04/11/2022 à 09h51

Le cannabis et ses vices...

Voici un article de l'université de Montréal, vraiment intéressant au sujet du cannabis et les problèmes cognitifs. Cannabis, drug douce? Vraiment pas...

https://nouvelles.umontreal.ca/ar...bis-altere-des-fonctions-du-cerveau/