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Mon copain refuse de voir qu'il est dépendant à l'alcool

Par Profil supprimé

Bonsoir,
je ne pense pas pouvoir résumer le cauchemar que je vis dans un seul message.

Ce que je peux dire c'est que mon copain boit beaucoup trop. Il boit sans exception tous les jours. Cela peut être juste deux bières de 500 ml donc un litre en fin de compte, mais ça peut être 4 bières de 500 ml plus une bouteille de rosé comme hier soir par exemple.

C'est à peut près comme le vendredi et le samedi soir car c'est le weekend. Sinon c'est 2 à 4 bières de 500 ml ou 8 -9 de 250 ml en semaine. Nous sommes étudiants tous les deux et cela est devenu invivable pour moi. Je n'arrive plus à gérer ce problème, l'entretien de notre maison et mes cours. En plus, il faut que je pense à moi et à ma famille (ma mère étant veuve..).

Je viens d'une famille de la classe moyenne. Mon copain vient d'une classe plus aisée. Nous n'avons pas de soucis particulier et nous ne manquons de rien. Cependant, je sais (car je le vois) que le père de mon copain bu également trop et que sa mère buvait également beaucoup avant qu'elle fasse un AVC l'année dernière.

Depuis le début de notre histoire je savais qu'il était comme ça, mais je pensais que ça pouvait changer. Mais ce n'est malheureusement pas le cas. Ça va, ça vient. Il refuse de me perdre mais il refuse également d'arrêter l'alcool. Le problème c'est qu'il ne veut pas s'avouer qu'il est dépendant.Il m'a promis qu'il allait arrêter mais quand ils voient les publicités à la télévision, il rigole et en fait de même quand quelqu'un parle en tant qu'ancien alcoolique !

Je ne sais pas si sa mère buvait pendant qu'elle était enceinte de lui mais je sais que pour lui boire 3 litres de bière par soir c'est normal car c'est logique de boire 2 3 bouteilles de vins avec son père. Je pense qu'il est conscient mais qu'il ne veut pas l'avouer. Il a souvent des trous noirs pendant les soirées alors il n'en fait plus, du coup il boit tout seul à la maison et c'est horrible que je me réveilles, il pu l'alcool et il me case des objets et me mets du bazar dans la maison.

Il est toujours désolé et veut que je sois affective avec lui mais je ne peux plus ! Parfois, il le réveille dans la nuit, complétement désorienté, et il parle de n'importe quoi. Et le lendemain matin, il boit de nouveau pour oublier la veille.

Je ne sais absolument pas quoi faire et je suis à deux doigts de faire mes valises.

J'aimerai l'aider mais je ne peux pas, il ne veut pas en entendre parler. Je sais que c'est quelqu'un de bien mais l'alcool le détruit.

J'aimerai des solutions mais aussi j'ai besoin de parler avec des personnes qui peuvent ressentir ce que je ressens aujourd'hui...

Merci à vous.

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23 réponses


Profil supprimé - 08/02/2012 à 19h03

Bonjour Symphonie,

Je suis le modérateur de ces forums. Merci d'avoir laissé votre message ici.

Je crois qu'il faut que vous écoutiez vos limites. Vous avez conscience qu'un changement doit venir de lui mais que pour le moment il ne veut pas en entendre parler. Certains symptômes comme sa désorientation, ses propos incohérents et ses amnésies évoquent une situation d'alcoolisation grave, toxique pour lui malgré son jeune âge. Il semblerait que son alcoolisme ait des racines profondes et que le remettre en cause serait remettre aussi en cause de nombreuses choses concernant le mode de fonctionnement de sa famille. C'est donc très compliqué pour lui et cela favorise son déni. Le déni ne signifie pas forcément qu'il n'ait pas conscience du problème quelque part en lui. Il est simplement incapable d'y faire face.

Il aurait très certainement besoin de votre aide s'il désirait arrêter car cela ne serait vraiment pas facile. Il faudrait aussi absolument qu'il prenne contact avec un centre de soins spécialisé dans les addictions (que l'on peut trouver sur ce site dans notre rubrique "S'orienter" que je vous mets en lien ci-dessous). Mais honnêtement cela peut très bien venir aussi dans des années, après de nombreuses années de souffrances pour vous.

La question vous concernant est donc "quels sont vos besoins ?", "comment les satisfaire au mieux ?". Vous n'êtes en tout cas ni responsable ni en charge de son alcoolisme, qui est une véritable maladie qui mériterait des soins spécifiques. Prendre d'abord soin de vous est une bonne option, qui n'empêche pas que vous puissiez l'aider {s'il} vous demandait de l'aide un jour.

Comme vous le voyez mon intervention n'est pas très optimiste mais c'est qu'à ce stade personne d'autre que lui ne détient la clé pour avancer. Je vous conseille donc de réfléchir à la situation, de demander conseil à vos amis ou votre famille, d'aller voir éventuellement l'un de ces centres de soins qui pourrait aider votre ami pour vous renseigner vous-même sur ce que vous pouvez faire encore ... ou pas ! Ces centres reçoivent en effet aussi les proches, même s'ils ne connaissent pas la personne concernée.

Notre ligne Ecoute Alcool (0 811 91 30 30) ou ce forum vous restent ouverts pour en parler encore si vous le voulez bien.

Cordialement,

Le modérateur.

Profil supprimé - 10/02/2012 à 23h12

J'ai oublié de vous dire qu'il ne voulait absolument pas entendre parler des psy, centres, consultations ou médicaments... Donc je ne vois pas où est la solution !

Profil supprimé - 13/02/2012 à 10h16

bonjour,

Jai vraisemblablement le même problème.Mon copain ne boit pas la semaine par contre le week end il se lâche complètement. Il a eu les mêmes symptômes , désorienté, discours incohérent.... Il y a quelques semaines il a même eu une brève amnésie. Il m'a tellement fait peur que j'ai du appeler les Samu.A l'hopital, le médecin m'a dit que c'était surement du à l'alccol et que pour sur c'esrt uenpersonne qui souffre. Car des aller-retour au urgences il a en fait, il m'a dit que quelque part c'est un cri au secours malheureusement mon copain ne veut pas se faire soigner.
Il était dernièrement sous obligation médicale car il a fait 3 mois de prison pour avoir blesseé quelqu'un alors qu'il était sous emprise de l'alcool. Ce suivi au CCAA n'a servi à rien. lors des visites ont lui demandé simplement si tout allait bien. forcément il répondait oui. cela durait 10mn grand maximum. J'avais mis tous mes espoirs sur ce suivi. mais finalement rien n'a changé, il n'a pas été aidé.

Profil supprimé - 20/02/2012 à 07h50

je comprend vraiment ce que tu vis, mon copain aussi boit et quand on en parle il me dit ne pas avoir de probleme avec l'alcool et boit par plaisir. il boit 2 bouteille de whisky par week end et la semaine je ne peux dire ce qu'il boit car il est en déplacement avec son travail mais pendant 3 mois il a été au chomage et la semaine c'était soit 1 bouteille de whisky ou quand "il faisait un effort" c'était 1 bouteille de vin et un dizaine de biere et ca tous les 2 jours. c'est pas facile a vivre. je suis dans le meme cas que toi, je pense aussi a faire mes valises mais au fond de moi je n'ai pas le courage de le faire car je l'aime malgrés tous. et je sais que tant qu'il ne savoura pas a lui meme qu'il a des pbs rien ne changera

Profil supprimé - 21/02/2012 à 13h40

Bonjour, ce que je m'aperçois en vous lisant toutes, c'est que nous sommes a peu près dans la même situation...
J'ai 29 ans et je suis avec mon ami depuis 2 ans.
Tous les soirs (sauf dimanche soir), il rejoint ses amis au bar et il boit... plusieurs whisky, de la biere...
Le week end, il boit à en oublier ses afdaires, ce qu'il a fait.
Quand je lui parle de son éventuel problème avec l'alccol, il me dit qu'il en a pas et qu'il pourrait s'en passer. Sauf que il ne se passe pas 2 jours de suite, sans qu'il ne boive. Et je m'en rends bien compte que lorsqu'il n'a pas bu sa dose la veille, le lendemain, il est irritable, agressif...jusqu'à ce qu'il rentre "apaisé" car il a bu.
Je suis comme vous, je l'aime, mais je ne me résigne pas non plus. Je veux des enfants mais ne me projète pas avec lui.
Quel enfant voudrait un père qui au lieu de rentrer à la maison les soirs, irait boire dans le bistro du coin tous les soirs?
Et je suis malheureseument persuadée maintenant que même l'arrivée d'un enfant, ne le fera pas changer... sad

Profil supprimé - 31/05/2012 à 14h42

Bonjour,
je suis une de plus a etre dans ce cas,pareil je n'aurais pas assez d'un seul message pour resumer mon calvaire.Mon copain a de gros problemes avec l'alcool,il est issue d'une famille algerienne kabyle.Il a 28ans, travaille dans le commerce vestimentaires (société familiale,avec ces 3autres freres qui je précise on la meme addiction a l'alcool).Une relation de 2ans et 1ans et demi que l'ont vie ensembles.et cela fait bientot 6mois qu'il se met dans des état pas possible avec cette alcool qui le tue a petit feu de jours en jours,Il boit ces fameuse canettes de biere tres elevé en teneur d alcool (canette bleu et or!!!)il peut en boire une dizaine par soir,il boit meme au travail(dans la régis du magasin)avec ces grands freres,sa ne les genes pas du tout d'etre torchés devant les clients!!,il rentre tres tard et quand il rentre s'est pour m'en envoyés pleins la figure,il me reveille pour me casser la tete avec des histoires qui ne tienne meme pas debout ou pour me ridiculiser,me diminuer ,pour m inssulter,je suis quelqu un de très impulsive ,je fais pourtant bcp d'efforts pour me maitriser mais au bout de 2h d angoisse je me met a le frappé violament a m'en faire tres mal mais lui ne sent rien malgré les égratinures le lendemain!je suis désespérée,je sais pas pourquoi je n'arrive pas a partir,je me souviens de la personne sans alcool qu'il etait y'a 1ans,une personne formidable,aimante,responsablel homme presque parfait!et le pire c'est que le lendemain,il me fait culpabiliser en disant que je l'ai frappé!il me retourne le cerveau!je suis la victime du calvaire de l alcool et finalement il me met l'etiquette de la mechante qu'il le pousse a reboire le soir meme!c 'est une histoire sans fin!je pense que sa famille est a lorigine de tout sa!il ne l'aime pas bcp ou plutot font semblant de l'aimé,il bosse tres dure pour finalement avoir 500euros a la fin du mois!et prendre ds la caisse le soir un ptit billet pour se faire sa carguaison de canette!il ne veut pas partir de sa famille prétendant qu'il ne veut pas les abandonnés!moi je suis a 200km de ma famille jai tout abandonné pour lui:travail,appartement,famille,amies!!et ici je ne trouve pas de travail,heureusement que j'ai mon chomage,je reste du matin au soir seule,je n'est pas d'amies ici,je fais les 100pas ds l'appartement avec une boule au ventre en ruminant "savoir dans quel etat il va rentré et quel sera notre nvl prise de tete!je fais tout pour lui!et voila le remerciement!j'ai dans l'espoir qu'il arrete de boire,je lui est pourtant posé un ultimatum!soit il arretait de boire ou je partais,il ne me repond pas kan il est a jeun mais le soir des qu'il rentre!il me demande de faire mes cartons et se moque de moi,me rabaisse une fois de plus!!je suis perdue!j'aimerais me reveillée un matin et etre amnésiquue,ne plus savoir qui il est et faire mes cartons sans regrets!(je suis assez ironique quand mr me parle de religion!!!)
que faire?!

Profil supprimé - 04/06/2012 à 20h56

Bonsoir à toutes!!
Je suis désolé pour ce que vous traversez je connais aussi! Moi j'ai 29ans je suis maman d'une petite fille de 2ans mon compagnon boit depuis 5ans (suite à la mort de son père et a sa mère qui lui a tourné le dos) sa consommation a augmenté avec les années avant c'était occasionnel un pac de bières par ci par la puis c'est devenu depuis 2ans presque tous les jours je dirai tous les 2jrs comme certaines d'entre vous (c'est bizard les coïncidences) et il boit 2pac minimum la semaine comme le week end. Moi Sandra contrairement à toi il n'est pas agressif au contraire il pleure comme un bébé quand il est soul, il a egalement des absences, il a même oublié un soir en se couchant qu'il était dans notre chambre il a cru être aux toilettes (il a pissé par terre) je l'ai insulté... je suis quelqun de calme, de poli mais la j'en peux plus j'en deviens vulgaire et agressive tellement il m'agasse.. je l'aime c'est mon homme et le père de ma fille mais j'ai l'impression que ca ne va jamais s'arreter. A chaque fois qu'on en parle le lendemain il dit qu'il veut changer arreter mais ca ne se fait pas... j'attends mais je suis a bout. Herureusement grace à dieu ma fille ne comprend pas et puis svt elle dort deja quand il est soul. C'est horrible comme on se sent impuissante.. je vais essayé de prendre des conseils dans un centre.. j'ai peur de l'avenir.. ca me fais du bien de vous parler car autour de moi j'ai trop honte d'en parler...

Profil supprimé - 28/06/2012 à 00h01

Bonsoir moi je vis à peu près les mêmes choses j ais 26 ans mon ami en à 31 nous avons 2petites filles et il boit beaucoup trop.tous les soirs en rentrant du travail il boit entre 4 et 6 verres d apéritif anisé je pense que vous voyez de quel alcool je parle.et le week-end end c est pire.une bouteille lui fait environ 3a4jours par moment 2.
Le pire c est qu il boit et des qu il commence à en avoir un coup il m insulte me dis que je ne suis rien je ne suis qu une merde, il dit des choses qui n ont aucun sens dit des mensonges et quand je lui tient tête c est pire car il ne supporte pas d avoir tort il veut tjs avoir raison il m à déjà frappé aussi.
Le pire c est qu au début c était un verre 2maximum et c est arrivé à 1/3de la bouteille chaque jour pratiquement.
En plus il dit que c est de ma faute si il boit il me met tout sur le dos et ne veux pas admettre qu il est malade!
Plus les jours passent moins je le reconnais.
Par contre à jeun il est très gentil et avec les filles aussi.
Je ne peux pas partir je l aime on a des enfants car je ne veux pas qu elles en souffrent et en plus on vient juste de faire bâtir.
Ce qui me stress aussi c est qu on vit chez la belle mère pour la construction de notre maison et quand il cri elle ne dis rien car elle a peur de lui.
Merci d avoir pri le temps de lire mon histoire.

Profil supprimé - 23/08/2012 à 17h18

Bonjour Symphonie,

Ton histoire ressemble étrangement à la mienne à quelques détails près. Je vis depuis 5 ans avec un alcoolique et au mois de mai de cette année, j'en ai eu plus qu'assez de son alcoolisme et de tous les problèmes qui en découlent! J'ai bcp d'amour et de compassion pour mon ami et mon plus grand désir étant de l'aider dans sa souffrance.
En plus d'être alcoolique depuis l'âge de 14 ans c'est un ancien toxicomane sous méthadone depuis plus de 10 ans.

Sa famille: père alcoolique et violent décédé il y a de nombreuses années, 2 de ses 3 frères et sa soeur le sont aussi! sa mère a préféré se réfugier au sein d'une secte depuis près de trente ans et à essayer d'embrigader ses enfants pour qu'ils échappent à la violence et alcoolisme du père. Hormis ces grandes lignes, un grand silence subsiste sur leur enfance et impossible de savoir ce qui c'est passé dans cette famille mais c'est déjà bien assez! L'alcool permettant d'oublier et d'anesthésier tout ça. De plus dans leur éducation ils n'ont vu et vécu qu'avec l'alcoolisme et la violence du père et la démission éducative de la mère aucun autre repère, difficile de se construire comme ça.

Il fallait que je casse ces habitudes de vie destructrices pour lui et pour notre couple.
A force de discussions pour lui ouvrir les yeux et d'avertissements en tous genres durant des mois voire des années et que rien ne change, j'ai décidé un soir de le quitter et lui ai demandé auparavant de faire un choix simple et net: c'est moi ou la bouteille! c'était sous le coup de la colère et de l'exaspération! Sous l'emprise de l'alcool son choix a été fait très vite: c'est la bouteille! Donc je suis partie en prenant quelques affaires et je suis allée chez une amie pendant quelques heures! A mon retour sur ses conseils, j'ai fait comme s'il n'existait plus et le lendemain, une fois sobre, je lui ai reposé la même question en étant ferme et lui expliquant que mon choix à moi découlerai du sien et là à ma grande joie il avait changé d'avis, je lui ai donc demandé de prendre contact avec un médecin addictologue et de prendre RDV tout de suite; c'était la condition siné qua non, je m'engage à rester et à t'aider si tu t'engages à te soigner sérieusement.
2 semaines après, le jour du rdv est arrivé et je me suis effondrée dans la salle d'attente du centre d'addictologie et là une psychologue m'a prise en charge alors que mon compagnon était dans le cabinet avec le médecin.
Là il en est à son 75ème jours d'abstinence, sous médicament pour l'instant et sans doute pour un moment. Par contre il ne veut toujours pas consulter un psy ou participer à des séances de parole.

Comme te conseillait le modérateur il faut se faire aider, toi comme lui, et pour l'aider au mieux il faut que tu sois forte et surtout bien conseillée, seule ça me semble très difficile.

Il faut aussi combler le vide par des activités une fois le processus entamer, changer ses habitudes de vie.

Ne pas oublier que ça reste une maladie et bien souvent une maladie honteuse en plus, pour le malade et pour l'entourage. C'est difficile d'en parler à ses proches et c'est pour cela qu'on se réfugie derrière un écran. De plus boire est synonyme de convivialité, de sociabilité, de fêtes mais c'est pas la fête tous les jours quand on vit avec un alcoolique et loin de là d'ailleurs. Oublier les blessures de son enfance ou pour d'autres raisons c'est moyennement drôle.

Chaque histoire de vie est différente mais le calvaire des conjoints d'alcooliques et le même à peu de chose près pour tous.
Je ne suis pas sûre qu'il faille attendre d'un alcoolique qu'il prenne conscience qu'il doive arrêter de boire (cerveau trop imbibé), le seul fait de boire est un appel au secours et c'est la preuve d'une grande détresse. Lui tendre la main était ma réponse à sa souffrance.
Aujourd'hui il est conscient de tout ça. Il découvre de nouvelles facettes de sa personnalité qu'il ne soupçonnait même pas. Il n'est qu'à son tout début de vie sans alcool et tous les jours c'est une nouvelle bataille de gagner toutes les contrariétés du quotidien sont autant de prétexte pour replonger...je sais pertinemment que rien n'est jamais acquis mais pour l'instant il tient bon et c'est l'essentiel.

Je n'ai pas de conseils à te donner, mais juste mon expérience qui est je pense un message d'espoir pour toi et peut être d'autres personnes.

Courage à tous, après les épreuves le bonheur!

Armoni

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